Accusé de « gestion solitaire de l’Unsas », Mademba Sock n’a pas usé de la langue de bois pour répondre à ses détracteurs. Parmi tous ceux qui se sont attaqués à lui, Mme Awa Wade a certainement été celle qui a le plus reçu ses foudres.
D’après Le Quotidien, Sock qui considère cette dame comme quelqu’un qui « a des problèmes personnels », a convoqué la théorie des trois « L » pour lui répondre. Et Mademba de dire: « Elle a l…, elle a lâché, maintenant elle lynche. Elle est un petit fœtus qui veut sortir du placenta syndical ». Evoquant la supposée position de Awa Wade, le patron de l’Unsas indique que celle-ci n’est pas partagée par « son syndicat (Uden) ». « Elle a pris ses initiatives. Or, beaucoup de camarades de l’Uden ou la plupart des camarades de Dakar vont participer à l’action unitaire. Parce qu’elle n’a pas convoqué d’instances de secrétariat. Elle a convoqué un groupe pour prendre cette décision-là, j’en suis informé », a soutenu le syndicaliste. Et M. Sock de révéler qu’elle a effectué des malversations dans des projets qu’elle a eu à diriger et les justificatifs qu’elle a donnés sont insuffisants par rapport au niveau des ressources qu’elle a gérées (…). « Il y a des gens qui sont sous l’emprise de la manipulation. Les petit fœtus ne me gênent pas « , a tonné Sock qui signale au passage que l’Uden est un syndicat « qui doit des arriérés de cotisation à l’Unsas ».
Leral
Comme disait l’autre raciste, on dirait que le nègre ne croit qu’aux positions de pouvoirs dans sa société !
Il y a une vraie vie après la politique, le Syndicalisme et tout autre station de privilège et il est temps que notre camarade Mademba Sock se désiste de lui-même, après vingt-cinq ans à la tête de ce syndicat dont les luttes les plus époques eurent lieux sous son instigation.
Comme il est demandé aux hommes politiques du monde entier de s’en aller au bout de plusieurs années, je trouve très légitimes que les camarades de Sock en fassent de même pour redonner du souffle et une cure de jouvence à la direction centrale.
J’encourage ceux qui se battent pour qu’il lâche le morceau à continuer à médiatiser leur cause, pour pousser Sock vers la sortie.
Le Sénégal a beaucoup changé en dix ans, il faut Mademba Sock prenne le train de ce changement pour éviter une scission de la Centrale.