Ce qui s’est passé du jeudi 9 au mercredi 15 à l’hôtel Safari de la station balnéaire de Saly, livrera peut-être, sous peu, ses secrets.
Le quotidien La Tribune barre sa Une avec cette affaire pas claire. De source sûre, Aminata Niane, ministre conseillère sous le gouvernement du Premier ministre, y a séjourné pendant six jours, sous la surveillance d’éléments de la police qui se relayaient à deux pour assurer la sécurité de la maîtresse des céans.
Le motif du dispositif sécuritaire mis en place autour de l’appartement de l’ancienne directrice de continuer d’intriguer certains clients et les riverains de l’établissement hôtelier. Un embargo des lieux qui n’a été élevé que mercredi dernier.
À l’origine de l’intervention des limiers, identifiés comme des éléments en service au Commissariat urbain de Mbour, un appel à intervention dans les locaux qui abritent l’hôtel en question. Aussitôt déportée sur les lieux, la cohorte qui avait à sa tête le chef de service n’est pas directement entrée dans l’hôtel. En effet, selon les informations livrées par la source, les agents ont été sommés de se mettre à l’écart pour des raisons non encore élucidées.
En tout état de cause, sur place, une ambulance et quelques blouses blanches étaient présentes devant l’appartement occupé par Mme Niane. Après une attente de quelques minutes, décision fut prise par l’officier de police qui menait l’opération de mettre en place un dispositif de sécurité. Il expliqua en même temps à ses éléments qu’Aminata Niane était menacée. Pour quelles raisons et par qui ? On n’en sait pas grand chose pour l’instant.
L’ex-Directrice générale de l’Apix était souvent citée parmi les dignitaires de l’ancien régime devant être poursuivis dans le cadre de la traque des biens mal acquis. Mais certains se sont étonnés du fait que son nom ait été biffé de la liste transmise au Parquet spécial.
Pour prouver son innocence et démontrer à l’opinion qu’elle n’avait rien à se reprocher, Aminata Niane avait alors présenté sa démission pour se mettre à la disposition de la Justice. Mais elle a été maintenue par le chef de l’État comme ministre conseillère, pour ensuite se voir catapultée par ce dernier à la Banque africaine de développement (Bad).
Selon le quotidien L’Observateur, elle a même pris fonction depuis jeudi et occupe le poste de conseillère spéciale en chef du vice-président chargé des infrastructures (Transport, eau, énergie et assainissement), un département qui fait 60% du portefeuille de la Bad.
PAPE ALLE NIANG et ses amis de la presse ont profere des mensonges a l’encontre de cette dame. Diffamations,rumeurs infondees,traffic d’influence, mechancete! Voila les maux qui gangrennent l’espace politique au centre duquel se trouve des journaleux a la solde. N’est-ce pas PAPE ALLE NIANG? Contrairement aux envieux, elle a prefere se soustraire de ce cette boue puante dans laquelle vous avez voulu la faire patauger.Preferant ainsi monnayer son talent chez d’autres intellectuels Africains qui ne vivent pas uniquement de la calomnie.