A en croire Moustapha Cissé Lô, c’est un dignitaire mouride qui a déboursé la somme de 10 millions de francs CFA pour l’organisation de la marche des libéraux de vendredi dernier à Mbacké.
Le Parti démocratique sénégalais et ses alliés ont battu le macadam à Mbacké. Une marche qui n’aurait pas connu la réussite qui est la leur sans l’apport d’un marabout de Touba. À en croire Moustapha Cissé Lô, c’est ce dernier qui aurait remis la somme de 10 millions aux libéraux pour leur permettre de gagner le pari de l’organisation et de la mobilisation. « C’est une contribution de 10 millions visant à déstabiliser l’Etat qui a été versée. Nous avons l’information de sources concordantes. Nous sommes en train de pousser davantage les investigations. Le chef de l’Etat et président de notre parti a été informé pour la conduite à tenir », révèle le deuxième vice-président de l’Assemblée nationale en marge d’une rencontre entre les services fiscaux de l’Etat et la Chambre de commerce et d’industries et les Opérateurs économiques de Touba. Il a promis de donner l’identité de ce marabout le moment opportun.
Quand Moustapha Cissé LÔ grand mècène de Macky (?) s’offusque du supposé financement de la Marche de M’backé !
J’ignore si c’est à cause de leur éducation ou de leurs parcours politiques qui font de certains de nos compatriotes des esprits tordus et de potentiels dictateurs, mais certains commence à me donner le tournis !
Voilà un homme politique dont les excès de langage sont connus de tous les Sénégalais, mais à force de vouloir réagir sur toutes les sorties qu’il juge être de nature à ternir l’image de son mentor de Président il dit souvent des idioties !
N’est-ce pas ce même monsieur Moustapha Cissé » LÔ qui se vante très souvent d’avoir mis des dizaines de millions à la disposition de Macky Sall alors candidat à l’élection Présidentielle de 2012 ?
N’est-ce pas un certain monsieur Dia, richissime homme d’affaire au Pays des hommes intègres qui mit sur la table de monsieur Macky Sall pour l’aider à gravir les marches du pouvoir ?
Ne dit-on pas que d’autres mécènes de l’étranger dont je ne citerais les noms ici avaient participé en Euros pour l’Avènement du Yonnu Yokkouté ?
Que je sache, monsieur Moustapha Cissé LÔ, notre loi fondamentale s’est prononcé très clairement pour réfuter tout apport financier qui viendrait de l’extérieur dans le cadre de nos élection, mais que tout Citoyen Sénégalais aurait la liberté et le droit de donner autant de moyens qu’il voudrait pour venir en aide à un candidat lors d’élections au suffrage universel.
Qu’un Marabout Macké M’backé apporte son soutien à l’organisation d’une marche initiée par le PDS ou l’APR, où serait le problème, monsieur LÔ ?
Comme disait ma défunte mère : Moustapha, tékkil sa gualath nia diamla » !
État de droit, gouvernance vertueuse, transparence, etc. à l’épreuve des faits.
« Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »
Un recteur qui ignorait royalement l’autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l’Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d’une telle gravité qu’il ne doit certainement son « salut » (c’est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce la transhumance du PDS à l’APR à la 25ème heure. Les « amis » avant la patrie.
Sauvons nos universités publiques du naufrage.
(leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen)
Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l’enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l’UNESCO. Nos instituions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management ([b]mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.[/b]) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire ([b]avantages indus, intimidations, etc.[/b]), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.
Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s’évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d’existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l’inaction de l’État.
En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.
A l’État de faire l’état de la gestion de ceux qu’il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.
L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d’enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.
Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d’être juge et parti.
Il n’est jamais trop trad pour bien faire un devoir citoyen.
———————-kathior, 24 novembre 2012 00:18 de nettali —————-
DÉCLARATION SAES
La section SAES-UGB s’est réunie en AG ce jeudi 11 octobre 2012 en vue d’évaluer la situation qui prévaut en interne au sein de notre institution universitaire.
Devant le constat :
d’une situation générale de mal gouvernance,
de non fonctionnement des structures et directions démultipliées,
de non respect des textes universitaires,
de mauvaise gestion des deniers publics alloués à l’UGB,
de la dégradation des conditions de travail,
de recrutements massifs et clientélistes de personnels non prévus dans le budget en cours,
de retard dans le paiement des salaires et de retenues sur salaires non versées.
L’Assemblée Générale de Saint-Louis condamne avec la dernière énergie le mode actuel de gestion du Recteur Mary Teuw Niane….
…
L’Assemblée générale, note avec indignation, désolation et amertume que le Recteur de l’UGB n’a respecté aucun des engagements qu’il avait pris lors de ses dernières rencontres avec le bureau de la section SAES.
Ainsi, l’AG exige :
le respect des textes en vigueur sur le recrutement de personnels enseignants non titulaires,
le paiement sans délai de toutes les sommes dues :
Heures Complémentaires du second semestre,
perdiem de voyage d’études aux ayant droits restants,….
le versement effectif des prélèvements opérés sur les salaires des enseignants au profit de certaines institutions financières,
le paiement effectif des sommes dues aux institutions sanitaires,
L’AG regrette la lecture partielle ou contextuelle que le Recteur fait des textes qui nous régissent. Elle insiste sur l’urgence de la situation désastreuse dans laquelle se trouve l’UGB et interpelle les pouvoirs publics sur la nécessité d’auditer les fonds alloués.
Nous restons mobilisés pour la sauvegarde et la défense de notre institution.
Vive l’Université sénégalaise, vive le SAES.
Fait à Saint-Louis le 12 octobre 2012.
L’Assemblée Générale
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SYNTUS (Syndicat des travailleurs de l’UGB de Saint louis).
Saint Louis, 22/06/2012.
APPEL A LA COMMUNAUTÉ CONTRE LES DÉRIVES D’UNE GESTION SOLITAIRE.
Depuis quelques années la gestion solitaire, le subjectivisme, le népotisme et les règlements de compte sont monnaie courante a l’UGB. Dans la vie des établissements ( UFR LSH, CCOS…) comme dans la gestion des ressources humaines (recrutement, traitement salarial, nominations) les exemples ne se comptent plus. Retraits de prérogatives, mises en quarantaine et tentatives d’humiliation sont le lot de ceux et celles qui qui refusent de marcher au pas et qui ont osé faire face.
LE SYNTUS FERA FACE COMME PAR LE PASSE.
Nous avons toujours préfère le dialogue social constructif a la confrontation. C’est pourquoi depuis la tentative avortée de licenciement dont certains de nos camarades ont été victimes en 2010 et toutes les tentatives vaines de déstabiliser notre syndicat, nous avons voulu rester sereins et positifs.
Seulement la récidive dans l’irrespect et le manque de considération à l’ endroit des travailleurs y compris certains de ces collaborateurs attitres, du Recteur, mettent gravement en péril la gestion démocratique et la justice sociale.
C’est pourquoi sentinelle au service exclusif de l’institution, le SYNTUS est résolu a faire face pour réinstaller la confiance et la joie de travailler ensemble toutes composantes confondues au développement concerté de l’UGB.
VIVE LES SYNTUS, VIVE L’UGB.
L’Assemblée générale
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PLUS DE SOUCI POUR VOS PROBLEMES SENTIMENTAUX OU SOCIAUX
Grace à lui ma vie s’est reprise de la meilleure manière sur tous les plans
Moi pour mon histoire, mon époux s’est mis à changer du JOUR AU LENDEMAIN sans raison, et je suis allée sur un site d’annonces et je suis tombée sur le voyant robert qui m’a tout donné et il m’est revenu et en plus de cela il a fait que mon activité prospère. Juste un témoignage vous pouvez l’ecrire vous qui etes dans le besoin [email protected]