Le ministre du Tourisme et des Loisirs, Yousous N’dour, dans les documents officiels devrait toucher une enveloppe de deux (02) milliards de nos francs pour le fonctionnement de son ministère. Cependant, seuls six cent cinquante (650) millions F Cfa ont été dégainés et mis à sa disposition. Selon « Libération », après avoir supporté cette situation sans broncher, « You » a finalement tapé sur la table, lors du dernier Conseil des ministres.
Pour celui qui veut vendre la destination Sénégal, même si l’austérité est de mise, il n’en demeure pas moins que les Finances devraient lâcher du lest pour permettre à certains ministères de bien remplir leur mission.
dakaractu.com
Le Ministre du tourisme n’appréhende pas assez bien les paradigmes du tourisme nouvelle tendance dont les populations de tous les pays ont besoins!
Ce n’est plus une question de moyens budgétaires, mais de centres d’intérêts qu’un touriste pourrait avoir pour visiter tel ou tel pays.
Que je sache, les pays tels Cuba, le Cap-Vert, Madagascar, et Ile Maurice ne mettent pas la moitié de ce qu’a notre Ministère du Tourisme, et pourtant !
Le Sénégal ne doit pas miser sur le seul tourisme balnéaire pour attirer au moment où d’autres pays offres plus de prestations à un coût moindre. A dire vrai, il n’y pas grand-chose à visiter au Sénégal, si on le compare à d’autres pays dont le taux d’ensoleillement est identique.
Le Sénégal doit développer une autre forme de tourisme de loisir sur les 150 kilomètres de Kayar à Saint – louis, sans cela, on irait droit dans le mur !
Il faut se mettre à la place de ceux qui pourraient envisager de venir chez-nous, personne d’entre nous n’irait faire le tour du Sénégal en famille pour le plaisir de visiter.
OUI!Je suis tout å faît d’accord avec Tons Diop.Il est aussi prouvé qu’en ce qui concerne
aussi bien le secteur de l’art que celui du tourisme;il appartient å ceux qui y évoluent d’y investir et celå dans le sens le plus large.L’actuel ministére doit en faire son crédo.
Une créativité d’abord qui repose sur une inspiration purement authentique.
La cadence du rythme des productions artistiques importe peu;å mon avis.La qualité prime.
There is a huge gasp between producing something who once in the groove;is a best
seller but with like we call « a dayfly or ephemeral success.My hope is that in a near fu- ture this can happen as a dream who become truth,according to the richness or our
national folklore… N’Dank-n’dank moy taxa mana japeu golo çi niayes…@CEDDO