Le 1er décembre 2008, avec le président de l’Apr, monsieur Macky Sall, il nous a semblé urgent de mettre les projecteurs sur ceux et celles au Sénégal qui regardaient devant eux, ont osé ou osent aller au bout de leurs projets, au bout de leurs rêves. Oui nous avons osé. Et oser, c’est croire en soi, vaincre sa peur, dépasser les présupposés, surmonter les difficultés, repousser les limites. Oser c’est le premier pas vers le succès, c’est prendre son destin en main et sa place dans la société et dans le monde. Oser, c’est ce que le président Macky Sall n’a cessé de faire toute sa vie. Aussi avec lui, nous avons osé, nous avons cru, et le 25 mars 2012 nous avons réussi l’impensable. Il est temps pour les républicains que nous sommes de nous prendre en main et de nous défaire de notre casquette d’opposant que nous continuons semble t’il de porter, pour enfin terminer la phase de conquête du pouvoir, en relevant les manches et osant être ce que nous sommes aujourd’hui, c’est-à-dire les dépositaires du pouvoir. En imprimant le débat politique, en allant vers le peuple, et surtout en portant dignement et courageusement le projet de société que notre leader, le président Macky Sall a mis en place. Vous le savez! Les grands de ce monde doivent leur succès au fait qu’ils ont osé. Ces gens ont révolutionné le monde, fait progresser la technologie, les sciences, la politique, la paix et ont conduit le développement de leur pays. Ils ont entraîné derrière eux des millions d’adeptes, de militants de sympathisants, de soutiens en tous genres. Et ensemble, ils ont bouleversé tout ce qui était en place avant eux. C’est ce que le président Macky Sall a réussi le 25 mars 2012 en obtenant 65% des voix.
Ce grand jour historique, le corps social ne s’est pas contenté seulement d’un souhait de changement, il l’a convoqué, et il a montré des dispositions à s’investir pour le précipiter, sans délai et par tous les moyens. La réponse du président Macky Sall ne s’est pas faite attendre. Autant que le peuple souverain, pour prouver et précipiter ce changement, malgré les dispositions institutionnelles de gouvernance en vigueur, le président Macky Sall fraîchement élu, confirme sa démarche de rupture, sa détermination à engager le changement sans délai, en réduisant de deux ans son mandat de sept ans. « La patrie avant le parti » n’est pas un vain mot, ou juste un slogan, bien au contraire. « On gagne ensemble on gouverne ensemble » avait dit le président Macky Sall aux douze autres candidats venus le soutenir au second tour. Ce même esprit de gestion collégiale et concertée du pouvoir, a été observé lors des législatives aussi. Nous sommes véritablement loin d’un président autocrate, dont le but ultime est la pérennisation de ces privilèges ou ceux de son seul parti.
Mais cette dynamique, pour survivre, chaque acteur de BBY doit nécessairement ôter son manteau de partisan, et considérer le projet de société « YONNU YOKOUTE » comme le sien. Cette dynamique ne doit souffrir aucunement de calculs d’état major des formations politiques qui gèrent le pouvoir. Car demain, face au peuple souverain aucun de ces acteurs politiques ne sauraient se réfugier derrière le fameux « comptable mais pas responsable ». Pour autant, les républicains que nous sommes, dépositaires légitimes de ce pouvoir, avons l’obligation de monter au front pour défendre sans état d’âme, notre projet de société en cours de réalisation. Nos actes posés quotidiennement dans nos différentes missions, doivent obligatoirement correspondre à la vision du président de la république et aux attentes des populations du Sénégal. Etre à l’écoute du peuple, c’est être à l’écoute des citoyens d’abord, au sein des quels, existent les électeurs, les militants et sympathisants. On ne doit pas oublier que le président Macky Sall est le président de tous les sénégalais.
Que l’opposition s’agite, s’active, cri à hue et à dia, manifeste, c’est un bon signe pour la véracité et la vivacité de notre démocratie. Mais, si les fondements crédibles, stables et incorruptibles d’une opposition politique reposent sur des structures d’encadrement et de défense des intérêts des classes les plus pauvres et des classes moyennes, il faut convenir que l’opposition n’existe presque pas au Sénégal. Car aujourd’hui, ce qui tient lieu d’opposition ici au Sénégal, c’est un ramassis de politiciens frustrés, désorientés, de revanchards opportunistes dont l’unique rêve est la reconquête ou la conquête du pouvoir pour ses énormes privilèges et ses abus. Il est dommageable pour notre démocratie, que la conception de la politique prend chez les libéraux et leurs alliés, une orientation qui valorise les extrêmes, l’insolence et l’indiscipline. Et c’est justement cette manière de concevoir la politique, cette propension à être extrême dans tout, qui a produit leur éclatement aux législatives.
Alors, doit-on répondre systématiquement à chaque fois que des politiciens frustrés, pour tromper le peuple marchandent des plateaux de télévision et des pages de presse écrite ? Non ce n’est pas la bonne démarche pour communiquer avec les populations. L’insolence, l’arrogance, le mépris, n’ont jamais été des valeurs de référence pour le président Macky Sall, par conséquent, les républicains ne doivent en aucun cas accepter de descendre si bas dans le débat politique. Notre leader, le président Macky Sall, la manière dont il vient de conquérir le pouvoir, force l’envie et l’admiration du monde entier. Nous ne pouvons qu’en être fiers et souhaiter la réalisation concrète de notre projet de société «YONU YOKOUTE». Les opposants politiques de notre pays utilisent certains sujets dans le triste espoir d’en récupérer le scandale à des fins électoralistes. Ils croient qu’ils pourraient les exploiter suffisamment contre le gouvernement pour s’attirer la confiance d’un grand nombre d’électeurs, les élections locales approchant. Mais ils oublient que le peuple sénégalais sait ce qu’il veut et surtout ce qu’il ne veut pas. Ce peuple n’est pas un peuple ignorant, et aucun homme politique ne peut l’entraîner à l’aventure.
Alioune Ndao Fall
Secrétaire National Chargé de la Diaspora
quand le militant est mieux considéré que le citoyen,c’est ça le changement?
revoie ta copie,c’est le discours des affamés que vous nous servez monsieur.
avec vous,c’est du n’importe quoi.
et moi qui y croyait.
C’est ce rigolo qui est nommé Ambassadeur de notre cher pays au Cameroun. Macky est une calamité. Il a appelé ce crétin à côté de lui au palais et s’est rendu compte que ce dernier est un incapable. Et il se permet de l’ouvrir. L’APR est un danger pour ce pays.