Bara Tall, Président Directeur Général de Jean Lefèvre. « Chacun a quelque chose à donner à son école »

Cette idée lancée par le Président Macky Sall, a replongé beaucoup de Sénégalais et particulièrement les cadres du gouvernement ou alliés ; à aller visiter cette institution qui l’a reçu pour la première fois. Monsieur Bara Tall, qui fait partie de ceux-là, s’est rendu à l’école Moundiaye Thiaw où il a commencé ses études primaires. Selon Mr Tall : Aujourd’hui; c’est un jour particulier car, çà nous plonge dans notre royaume d’enfance. C’est une bonne initiative du gouvernement du Sénégal, par son premier ministre sous l’autorité du Président Macky Sall et les remercie de m’avoir choisi pour faire partie du Panel, pour lancer cet appel national à travers les médias, pour que tout le monde, à l’instar de ce qu’ils ont fait eux-mêmes. Le Président de la République à Fatick et à Foundiougne, le ministre de l’éducation nationale à Rufisque, moi, ici et tant d’autres ailleurs, pour que cette journée soit une réussite ». Au cours de cette visite, il a été constaté que Moundiaye Thiaw était en voie de délabrement et il répond ceci: « Il ne faut aller les chercher loin, car les méthodes sont là et j’ai eu à le dire ; que chacun a quelque chose à donner à son école. Ceux qui ont des moyens financiers ou matériels, peuvent y contribuer et ceux qui ont leur force et leur expérience; comme le maçon avec sa truelle, le charpentier, avec son marteau et ses clous et mêmes ceux qui ont leurs idées, peuvent eux aussi faire quelque chose pour l’école, mais pas vouloir tout reposer sur le dos de quelques uns. C’est un acte de reconnaissance envers l’école. Je salue l’engagement patriotique de l’association des parents d’éléves, qui a tenu à deux bras la vie de cette école. Par rapport au délabrement, je prends à témoin Mr Diaw, qui est le secrétaire exécutif du mouvement « Yémalé », lors de son évaluation, sa première préoccupation ; c’est de prendre en chantier l’école Sénégalaise. Quand le Président Macky Sall, m’a rendu visite pour le soutenir au deuxième tour, les conditions de notre mouvement, c’étaient l’école sénégalaise et le monde rural. Je pense que ce sont deux engagements que nous devons respecter et parachever. Qui sont loin d’être des actions politiques, mais citoyennes ». Par rapport à l’entreprise Jean Lefèvre. D’après le Président Directeur Général, après avoir subi des dégâts collatéraux, elle est en voie de reconstruction.
Frédéric Diallo Xalimasn Thiès