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Affaire du boss de la police accusé de trafic de drogue : Le Procureur général s’empare du dossier

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Après le placement sous mandat de dépôt de Raymond Ike Akpo alias Faustin, le Parquet général a ordonné l’ouverture d’une enquête. Les conclusions risquent d’être fatales à un boss de la Police, « mouillé jusqu’au cou », selon un rapport.

Ça va bouger dans les rangs de la police. A en croire le journal La Tribune qui cite une source policière,  cette affaire ne peut pas faire du surplace sans être tirée au clair le plus vite possible.

La même source de révéler que le Procureur général a ordonné l’ouverture d’une enquête dont l’issue permettra à l’autorité centrale de prendre les sanctions appropriées.

D’ailleurs, au sujet de cette rocambolesque affaire, première du genre dans le corps de la police nationale, des enregistrements sous forme de pièces à conviction sont agités de part et d’autre, apprend-on de bonnes sources. Ces dernières précisent que la Sonatel est mise à contribution ainsi que plusieurs limiers et protagonistes qui vont être entendus.

2 Commentaires

  1. Les vérités du Directeur de Abass NDAO
    Je suis devenu Directeur du Centre Hospitalier Abass NDAO par appel à candidature nommé par décret présidentiel. Mon objectif était le redressement de cet hôpital. Le climat social de cette structure est polluée par les positions de luttes des syndicats et moi j’ai un réflexe, une attitude de riposte et je profite des opportunités de crise pour régler mes différents avec certains agents. Ainsi pour cette année 2013 c’est la deuxième tentative de déstabilisation de l’hôpital. Aprés avoir signer un protocole avec le syndicat
    SUDTM SECTION Abass NDAO que je considère comme une humiliation je suis en droit de reprendre l’autorité de l’hôpital et d’user de mes prérogatives pour faire des affectations.Les rumeurs à l’hopital:
    1)Le mois passé une rumeur faisant état d’un marché de 1.000 kilo de viande circulé et les mauvaises langues avancées le pourrissement de celle-ci.
    2) Que j’ai recruté des stagiaires payées à 50.000 frs le mois en augmentant la masse salariale.
    3) Que c’est le Chef de soins infirmiers Arona DIOP qui dirige l’hôpital tout ses désires je les exécute à la lettre même sa femme cuisinière est affectée à la pharmacie.
    4) Que le Professeur Awa Marie COlle SECK Ministre de la Santé, la Directrice des Etablissements de Santé Madame Maimouna Régine DIOP et le Chef de Cabinet Kady FALL sont mes protectrices.
    5) Que tous les agents de la ville de Dakar qui ne suivent pas ma direction seront retournés.
    6) Que j’ai peur des médecins pour exiger des gardes chirurgicaux après 15 heures.
    7)Que j’ai peur des médecins pour enlever le cumul de leur prime de diplôme payé sur état et sur le bulletin de salaire.
    8)que j’envisage des sabotages sur les contrats signés aux vacataires, en ne respectant pas le code du travail pour créer une récidive des 59 agents sur conseil de Arona DIOP.
    9) Que j’ai acheté le Professeur Said Nourou DIOP par l’intégration du Centre Marc Sankalé avec le recrutement de 20 agents dont la plus part son ses neveux ou protégés c’est ce qui juste son attitude de silence durant toutes ses difficultés.
    10)Que je ne veut plus voir la représentante syndicale de la SUDTM/CHAN dans le bâtiment administratif.
    [email protected]

  2. Les Gouvernement qui se sont succédé depuis ces quinze dernières années ont fait le choix de former des milliers de militaires pour des missions sous l’égide de l’ONU au détriment du recrutement de milliers de Policiers et de gendarmes pour que nous vivions en paix et en sécurité partout au Sénégal !
    C’est une « arnaque » que de nourrir héberger, vêtir 15 000 militaires dont 10.000 GROS GAILLARDS alors que 1500 rebelles empêchent les sénégalais du sud de vivre dans la sécurité et la paix !
    C’est à nous de mettre la pression sur le gouvernement pour une réorientation totale de notre politique sécuritaire, en ayant à l’esprit que le Sénégal ne fera jamais une guerre contre le Mali, la Gambie, le Cap-Vert, la Guinée Conakry ou Bissau.
    Cinq mille soldats de l’armée Nationale pourraient être versés dans le corps de la police et de la Gendarmerie pour que les bandits ne fassent plus la loi dans quelques quartiers dans beaucoup de Villes grandes et moyennes du Sénégal.

    Ce commentaire est inspirée par l’agression dont a été victime la dame N’dèye Guèye (danseuse), qui aurait été agressée alors qu’elle attendait son chauffeur , dans sa voiture. Il semblerait que les bandits étaient armés de coupe-coupe et en moins de cinq minutes tout était « réglé » ! Que fait la Police face à cette recrudescence des agressions ?

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