Le chef de l’Etat annonce un vaste programme d’infrastructures routières et autoroutières pour faciliter l’émergence du pays en permettant la liaison des principaux pôles générateurs de croissance.
Macky Sall veut porter le costume de grand bâtisseur. A l’image de l’ex-chef de l’Etat Abdoulaye Wade, il veut consacrer son régime à l’édification d’infrastructures routières et autoroutières. En Conseil des ministres hier, il a exposé «sa nouvelle politique de développement des infrastructures routières» en fixant la barre très haut. Il s’agit d’assurer une répartition équilibrée de l’offre de transports par l’intégration d’un schéma d’aménagement du territoire permettant un maillage optimal du pays. Dans le communiqué, Macky Sall a demandé au gouvernement, en complément de la lettre de politique sectorielle des transports, de définir un Schéma directeur des infrastructures de transport (Sdit) pour assurer une meilleure programmation des réalisations routières.
L’objectif minimal fixé au gouvernement est la réalisation annuelle de 50 km d’autoroute. Cet ambitieux programme soulève cependant quelques réserves. Car les autorités sénégalaises peinent encore à concrétiser l’autoroute Dakar-Diamniadio depuis 2004. Alors qu’il s’agit juste de moins de 50 km. Or, il s’agit là de grands travaux lancés à l’époque où Macky Sall avait succédé à Idrissa Seck à la Primature. Si près de dix ans après, les gens peinent à achever une voie semi-urbaine de moins de 40 km, on peut se demander quels moyens ils vont mettre en œuvre pour réaliser 50 km de route chaque année, surtout en tenant compte du fait que le périmètre qu’ils ont délimité est aussi fortement densifié. Quoi qu’il en soit, ces grands travaux «confirment» une volonté politique de Macky Sall de densifier les infrastructures routières, si l’on en croit le communiqué du Conseil des ministres.
Aujourd’hui, le chef de l’Etat veut concentrer ses efforts dans la mise en œuvre d’un programme autoroutier dont le rôle sera essentiel dans l’émergence du pays, en permettant la liaison des principaux pôles générateurs de croissance, avec comme axes prioritaires, Aéroport Blaise Diagne-Mbour, Diamniadio-Thiès-Touba-Fatick-Kaolack et Thiès-Saint-Louis. Le projet englobe les zones à forte concentration humaine et les centres de production agricole et industrielle. Ces villes sont les moteurs de la croissance économique du Sénégal. Il s’agit du bassin arachidier, de la zone côtière où se développe le tourisme balnéaire, et la zone des Niayes où le maraîchage rythme la vie économique.
Pour Macky Sall, la priorité devra être accordée à l’amélioration de la densité du réseau revêtu (2,5 km sur 100 km2 au Sénégal, contre 170 pour l’Europe) qui, parce que faible, constitue une limite à l’atteinte du taux de croissance élevé. Cet intérêt accordé aux infrastructures routières constitue un levier essentiel pour le développement économique du pays. L’on comprend cette «attention particulière» accordée «à la réalisation des programmes de connectivité et qui doivent concerner en priorité les routes nationales». Il s’agit du désenclavement et de l’accessibilité des zones rurales constituant une préoccupation majeure pour le chef de l’Etat qui a invité le gouvernement à accélérer le projet de réalisation de 1 500 km de pistes de production dans le pays à partir de 2014. Macky Sall entre-t-il dans l’ère des grands travaux ? Il a été à bonne école, pour avoir été pendant très longtemps ministre et Premier ministre de Wade, le «Samba tally».
Le Président Macky Sall a été un « talibé » du Président Wade Abdoulaye, il n’y aurait donc aucune surprise ni incongruité à le voir s’inspirer de son mentor qu’il n’aurait jamais quitté n’eut été l’intrusion satanique de certains dans leurs relations !
En tout cas, je n’attends que le jour où le Président Macky Sall prendrait son courage et son honnêteté intellectuelle pour dire : Le Président Wade avait une très bonne vision pour notre pays, et si on la mettait en œuvre, dans quinze ans on parlera du Sénégal qu’en bien !
Bon courage monsieur le Président, nous sommes des dizaines de milliers de compatriotes « indépendants », prêts à vous rejoindre !
C’est la troisième fois, en moins d’une heure que je poste ce commentaire qui ne reste affiché que quelques minutes : J’insiste !
Le Président Macky Sall a été un « talibé » du Président Wade Abdoulaye, il n’y aurait donc aucune surprise ni incongruité à le voir s’inspirer de son mentor qu’il n’aurait jamais quitté n’eut été l’intrusion satanique de certains dans leurs relations !
En tout cas, je n’attends que le jour où le Président Macky Sall prendrait son courage et son honnêteté intellectuelle pour dire : Le Président Wade avait une très bonne vision pour notre pays, et si on la mettait en œuvre, dans quinze ans on parlera du Sénégal qu’en bien !
Bon courage monsieur le Président, nous sommes des dizaines de milliers de compatriotes « indépendants », prêts à vous rejoindre !
Ce refus serait alors une véritable défiance à l’égard du Président de la République !
Beaucoup de ceux qui nous gouvernent, avec l’aide d’une certaine presse s’étaient données à cœur joie dans la critique quand des pontes de l’ancien régime tardaient à libérer leurs logements de fonctions après avoir été limogés ou après la défaite !
Je signale, pour avoir été voisin de monsieur ABC que sa belle demeure des Maristes n’a rien à envier à celle qu’il occupe de manière indue apparemment !
A moins qu’elle soit mise en location…
Nous notons ce qu’écrit le Journaliste du journal le Quotidien :
Citation :
» L’objectif minimal fixé au gouvernement est la réalisation annuelle de 50 km d’autoroute. Cet ambitieux programme soulève cependant quelques réserves. Car les autorités sénégalaises peinent encore à concrétiser l’autoroute Dakar-Diamniadio depuis 2004. Alors qu’il s’agit juste de moins de 50 km. Or, il s’agit là de grands travaux lancés à l’époque où Macky Sall avait succédé à Idrissa Seck à la Primature. Si près de dix ans après, les gens peinent à achever une voie semi-urbaine de moins de 40 km, on peut se demander quels moyens ils vont mettre en œuvre pour réaliser 50 km de route chaque année, surtout en tenant compte du fait que le périmètre qu’ils ont délimité est aussi fortement densifié » Fin de citation.
Celà veut tout dire quoi ??? : que de 2004 à 2012 date de sa débâcle (soit 8 ans), le mentor de Sadaga DIOP n’a pas été fichu de réaliser une voie semi-urbaine de moins de 40 km.Celà veut TOUT dire…
Et je suis sûr et certain que le Sénégal a dû payer plus de 10 fois le prix réel de ce tronçon…
Sadaga DIOP dites nous combien on vous paie pour faire le sale boulot (intoxication abusive et mensongère) que vous faites !!! En pure perte…
La petitesse de l’esprit de certains combine au griotisme atavique font oublier qu’en republique une certaine continuité est garant de stabilité et d’avancement.
Vouloir tout ramener a un homme (qui a mon avis fut plutot un truand) pour faire dans la dithyrambe est bien vouloir insulter l’intelligence des senegalais qui ont democratiquement deboute les fausses pretentions de cet homme qui n’a eu comme premiere reaction que de dire que ses problemes d’argent sont termines. Quelle vision que de tromper un peuple affame de justice economique et sociale que de les leurrer pour s’enrichir insolemment et d’instituer des pratiques malsaines qui ont fini par corrompre toute l’ossature institutionnelle, directionnelle, sociale de notre pays rien que son propre compte.
Pour votre gouverne, la fameuse autoroute fut un projet elabore par l’administration de Senghor, dont Diouf choisit de faire un detournement d’objectif pour faire des forages pour le monde rural qui souffrait bcp de la secheresse des annees 70. L’administration de Wade commence le debut de la realisation de cet infrastructure si necessaire et on espere que l’administration de Sall va le enfin finir le job. C’est ca la continuite de l’Etat. Vouloir tout ramener a une pretendue vision d’une seule personne releve de la cecite et malhonnetete intellectuelle.
Cato
La petitesse de l’esprit de certains combine au griotisme atavique font oublier qu’en république une certaine continuité est garant de stabilité et d’avancement.
Vouloir tout ramener a un homme (qui a mon avis fut plutôt un truand) pour faire dans la dithyrambe est bien vouloir insulter l’intelligence des sénégalais qui ont démocratiquement débouté les fausses prétentions de cet homme qui n’a eu comme première réaction que de dire que ses problèmes d’argent sont termines. Quelle vision que de tromper un peuple affame de justice économique et sociale que de les leurrer pour s’enrichir insolemment et d’instituer des pratiques malsaines qui ont fini par corrompre toute l’ossature institutionnelle, directionnelle, sociale de notre pays rien que son propre compte.
Pour votre gouverne, la fameuse autoroute fut un projet élaboré par l’administration de Senghor, dont Diouf choisit de faire un détournement d’objectif pour faire des forages pour le monde rural qui souffrait bcp de la sécheresse des années 70. L’administration de Wade commence le début de la réalisation de cet infrastructure si nécessaire et on espère que l’administration de Sall va le enfin finir le job. C’est ça la continuité de l’Etat. Vouloir tout ramener a une prétendue vision d’une seule personne relève de la cécité et malhonnêteté intellectuelle et trahit les vains desseins de Sadaga de réhabiliter une personne qui a personnifier le wax-waxeet et d’autres maux honnis par notre systemes de valeurs
Pour rappel a Sadaga Diop, cet irréductible re-ecriteur(?) de l’Histoire que ce fut bien a cause de son idole karim wadd que wadd a chasse Sall de la présidence de l’Assemblée Nationale. Eh bin wi, ce fut bien satanique de reconduire une loi inique que le Sénégal avait condamne du temps du PS, rien que pour plaire a karim wadd.
Cato
Merci Cato pour les informations fournies qui confirment encore une fois que le Sénégal est malade de ses Gouvernants et qu’il y a une continuité désastreuse au plus haut niveau d’où le très bas niveau général…
Abdou, vous avez mis le doigt sur la plaie. je dis souvent que les 4 freins au développement du Sénégal sont l’administration (exécutif, législatif,judiciaire), la p(a)resse, la sonatel et la senelec. poussant l’analogie automobiliste (?) j’ajouterais que le frein a main est les intellectués comme Sadaga Diop aveuglé par leur nombrilisme (au sujet de leur soi-disant prouesses/capacités découlant d’une instruction qui les a deformés en zombies regurgitant mecaniquement des lignes de propagande a la gloire de leur guru du moment) et leur crasse partisanerie au détriment de la patrie.
Cato