Après la sortie de Madiambal Diagne, Administrateur de l’Avenir Communication expliquant sa décision de licenciement de son directeur de publication, Mamadou Biaye, de Soro Diop, chef de Desk politique et de Aminata Diop coordonnatrice de la rédaction et un autre reporteur pour motifs économiques et en concertation avec le délégué du personnel devant l’inspecteur du travail, c’est le délégué syndical du SYNPICS, Aly Fall qui sort de sa réserve pour démentir son patron.
« Il ne peut avoir une entente dans cette affaire parce que la mesure de licenciement que Madiambal Diagne vient d’effectuer est illégale et manifestement provocatrice», déclare le délégué du personnel du SYMPICS Aly Fall.
Toutefois, il reconnait qu’une rencontre a lieu devant l’inspecteur du travail qui lui a fait savoir que la loi lui permet de licencier pour motifs économiques.
Aly Fall de poursuivre : «cependant, le collège de délégués ne peut pas cautionner ce type de licenciement. Quand on licencie pour motifs économiques, on ne doit pas commencer par la tête. On doit commencer par les nouveaux venus et des anciens et c’est tout à fait le contraire que Madiambal a fait».
En tout état de cause, les journalistes du Journal le Quotidien soutenus par le SYMPICS ne comptent pas baisser les bras.
Ferloo
Je ne pouvais même pas imaginer qu’un Chef d’entreprise, au Sénégal comme ailleurs puisse licencier pour des motifs économiques sans avoir l’aval de l’Inspection du travail! Monsieur Madiambal aurait-il mal interprété l’information donnée par l’Inspecteur quand il lui disait qu’il pouvait licencier pour tel et tel motif ?
Madiambal ne peut être aussi léger, ce n’est pas possible !