GESTION AHS – Derrière Add-Vallue, Abdoulaye décide : Ahs tombe de Charybde en Sylla
L’administrateur provisoire d’Ahs, M. Abdoulaye Sylla, n’a aucun titre pour se prévaloir de ses actes de gestion à ce poste. En dehors du fait qu’il est l’époux de l’administrateur légal, aucune qualité ne le prédispose à ces fonctions. Abdoulaye Sylla, qui signe toutes les correspondances d’Ahs comme administrateur provisoire, n’a pas fait d’études d’aéronautique, ni même d’expertise comptable. Il dit avoir des diplômes, mais les gens qui le connaissent en doutent, faute de les avoir vus. Le mari de Mme Fatoumata Zohra Dème se prévaut d’études en logistiques, mais dans les faits, la spécialité dans laquelle semble exceller M. Abdoulaye Sylla semble être celle d’échapper à ses multiples créanciers.
Longue liste de contentieux
Au nom de sa société Sylla logistics commerce (Slc), il a pu obtenir de la société Amsa Assurances deux garanties de 300 millions de francs Cfa chacune. Cela, en tant que caution aval fournisseur, pour la période du 14 février 2006 au 11 mai 2007. La société Amsa Assurances avait donné sa caution à la société de M. Sylla pour lui permettre de s’approvisionner en produits pétroliers auprès de la Société africaine de raffinage (Sar). La Slc n’ayant pas réglé les factures de la Sar, la caution d’Amsa fut appelée, et cette dernière a été obligée de payer plus de 400 millions de francs Cfa à la Sar. Amsa s’est par la suite retournée vers Abdoulaye Sylla, l’actionnaire unique de la Slc, pour recouvrer ce montant. A notre connaissance, à ce jour, cela n’a pas encore été fait, malgré de longues péripéties judiciaires.
La même Slc doit également plus de 60 millions de francs Cfa à la Société générale des banques du Sénégal (Sgbs).
Par ailleurs, avec une autre de ses sociétés, dénommée Etablissement Abdoulaye Sylla, l’homme a été condamné par le Tribunal régional hors classe de Dakar à payer plus de 60 millions de francs Cfa à Oryx Sénégal, pour l’émission d’une lettre de change impayée. La décision du Tribunal a été confirmée en appel en date du 2 février 2009. Jusqu’aujourd’hui, par des arguties juridiques, Abdoulaye Sylla est toujours parvenu à échapper à ses obligations de paiement.
Au titre d’une autre de ses sociétés, dénommée Etudes coordinations travaux Sa (Ecotra), Abdoulaye Sylla a été épinglé par la société Bolloré Africa Logistics, à l’époque où elle s’appelait encore Sdv, pour émission de deux chèques sans provision, d’une valeur respective de plus de 14,2 millions et de plus de 35,1 millions de francs Cfa, tirés sur la Banque sahélo-saharienne pour l’investissement et le commerce (Bsic). D’ailleurs, cette même banque le poursuit, à son titre de gérant d’Ecotra, pour une créance avoisinant les 165 millions de francs Cfa.
Un terrain hypothéqué en patrimoine
Le plus intéressant dans cette affaire est que, M. Abdoulaye Sylla, né en novembre 1971 à Diourbel, n’a comme patrimoine connu qu’un bail sur un terrain de 10 000 m² aux environs de Mbao. Ce terrain est par ailleurs hypothéqué, à titre conventionnel pour plus de 322 millions de francs Cfa au profit du Crédit agricole du Sénégal, et pour 70 millions de francs au profit de la Bsic. De plus, le même terrain est frappé d’un commandement valant saisie réelle d’Oryx Sénégal.
Il faut croire que ce palmarès de M. Sylla, loin d’être exhaustif, n’a pas impressionné outre mesure les magistrats de la Cour de répression de l’enrichissement illicite qui, en plus de laisser son épouse, totalement inexpérimentée, prendre la gestion d’Ahs, ont constaté avec passivité que celle-ci est maintenant exercée par ce mari aux méthodes en affaires dignes de personnes poursuivies pour les délits pour lesquels cette même Cour a été mise en place.
Mieux encore, on peut se demander, au vu des actes posés par l’administrateur de fait, et restés sans conséquence, si la Crei a en tête le souci de la préservation de l’outil de travail et des emplois des responsables de familles qui en vivent. On peut se référer pour cela, juste sur deux cas patents. Il y a d’abord le contentieux qui oppose Ahs à l’Agence des aéroports du Sénégal, ainsi que la réintégration de M. Cheikh Ahmed Tidiane Ndiaye. Dans les deux cas, des employés d’Ahs estiment que l’administrateur provisoire est en train de faire montre de sabotage au détriment de la société qu’il est censé gérer en bon père de famille.
LE QUOTIDIEN.SN
vous posè la quetion a qui?
le role n,un journaliste est de donnè l,information mais pas poser des au lecteures…
vous est ridicul
Mais ou est la liaison entre Madame la premiere dame et ce monsieur? peut etre parce qu’il est ne a Diourbel? Messieurs soyons plus serieux,arreter la medisance.
Vous n’avez pas lu le texte ou vous etes tellement partisan de l’APR que vous etes devenus des trous de cul comme cet idiot et encule de Macky Sall
Cet escroc de SyLLA est l’ami du couple Vorace FAYE-SALL qui mange tout tel un crocodile de mer
Rassouloullah (SAS) a dit (ce qui peut donner) : »Lorsque le groupe de mots « n’est pas musulman » est prononcé entre deux musulmans, il ne sera plus jamais mensonge. Ou l’accusé est mécréant ou l’accusateur le devient.
Hier, deux choses sont confirmées: la CREI a permis à quelqu’un de voler DPW. La seule conséquence est qu’on l’a limogé, on a arrêté l’administration provisoire. Au voleur il n’arrivera rien. Il part avec ce qu’il a pris parce qu’il est employé à traquer des voleurs (dit-on). Il n’a pas pu prouver qu’ils sont voleurs, alors il les vole et part.
Hier, Abdoulaye Sylla est autorisé à voler AHS sans conséquences. A défaut de prouver que c’est une société de voleurs, il la vole et … partira.
Aujourd’hui, on titre : « La CREI bloque les comptes…
Mais la mise sous administration provisoire aussi nous avait été présentée en titre comme aujourd’hui : « La CREI met sous administration… Et au bout du compte, cela a juste permis d’enrichir des amis qui étaient en difficulté. Et on recommence. Mais question: s’agit-il de chercher une vérité ou d’assouvir une haine ?
Pensez-y: AHS ? On nous avait dit que c’est Malabo, c’est Benin, c’est Jordanie. Avez-vous jamais entendu parler d’une mise sous administration de d’une société de handling en Jordanie, à Malabo, au Bénin ? Ne serait-ce que pour vérifier ? Ces pays doivent coopérer judiciairement. Pourquoi on ne met sous administration, on ne saisit que des biens dans Dakar, alors qu’on nous avait dit que le gros des milliards se trouve dans le paradis fiscaux ? Pourquoi ?
Parce que « Kaangaadho ena anndi galle badhdho dawaadhi ». « Le fou connait bien la maison où il y a un chien. » Et ici, nous avons notre police, armée, gendarmerie qui est obligée de travailler sur ordre. Si tu refuses on envoie un détachement.
Et de toute façon il s’agit d’affaires. Le tintamarre dans les médias, la prison, la mise sous administration, le séquestre, la saisie… même si au bout on déclare qu’on a rien trouvé (ce qu’on savait d’ailleurs) tu auras perdu ta clientèle, ta renommée, tes partenaires, … Niaw ! C’est ce que ça coûte d’aider Wade à développer le Sénégal. Après ce travail de sape, de petites entreprises françaises « propres » viendront s’installer chez nous pour rapatrier des milliards chez eux.
Alors, messieurs les pourvoyeurs de légions, êtes-vous satisfaits de la mission que vous nous aviez confiée ?
Mais ou est le problème?ces personnes que la première dame aide ne sont-ils pas des sénégalais?
ALORS IL FAUT SAVOIR RAISON GARDÉE
la gentillesse est une qualité quand elle est exercée sur ses propres bien. Mais ici il est question de biens du Sénégal et des sénégalais dont non elle ne peut et ne doit pas aider ses amis avec nos biens
AHS finance la fondation servir le Sénégal c’est pourquoi Marieme Faye fait tout pour avoir soit Sylla soit cheikh Ndiaye ces deux larbins pour servir sa fondation….
Cheikh Ahmed tidiane Ndiaye n’a aucun diplôme, meme pour certaines épreuves du BAC son père a dû payer un de ses cousins qui s’appelle cheikh Ahmed tidiane Ndiaye pour les faire à sa place le cousin vit aux États Unis de meme pour le concours pour entrer à air Afrique le meme cousin a passé les tests à sa place…