Xalima news – Demba DIA met fin à la rumeur sur son prétendu mariage avec la Miss Sénégal, Penda LY. Le Secrétaire général du Mouvement pour l’action et la citoyenneté dément l’article, déplore les rumeurs qui portent atteinte à son image, mais ne porte pas plainte contre le journaliste de DakarActu.
Il n’y a jamais eu de mariage entre Demba DIA et la miss Sénégal Penda LY. Cette information a été livrée dans un communiqué adressé à la Tribune. Le Secrétaire général du Mouvement pour l’action et la Citoyenneté (MAC) s’inscrit en faut contre l’auteur de l’article paru sur le site DakarActu.
En effet, mercredi dernier, une information a été publiée par le site précité portant sur un mariage entre Demba DIA et la miss du Sénégal, Penda LY qui serait sa troisième femme.
« Je ne connais Penda LY ni d’Adam ni d’Eve, et je ne l’ai jamais vue, ni rencontrée. Je suis certes un homme public ouvert à tout journaliste et soucieux de l’équilibre de l’information, mais je ne saurais accepter de tels manquements surtout me concernant« , tonne l’auteur de « Boom boom ».
Suite aux rumeurs, Demba DIA continue de croire qu’il fait l’objet d’intoxication et de fausses accusations dont l’objectif visé par leurs auteurs ne sera jamais atteint, selon lui. C’est le cas d’une dette qui n’existe que dans la tête d’un créancier fantôme qui me réclamait indûment une ardoise de deux millions francs CFA pour solder des frais d’hôtel. C’est également lorsque des adversaires politiques en perte de vitesse et en quête de promotion m’avaient accusé à tort d’avoir dispersé leur meeting à coups de révolver. « Sur le dernier cas d’ailleurs, j’avais gagné le procès contre ces comploteurs que sont le député socialiste Mouhamed Tété DIEDHIOU, et l’ancien maire des Parcelles Assainies devenu « apériste », en l’occurrence Mbaye MDIAYE« , martèle Demba DIA.
Le secrétaire général du Mouvement pour l’action et la citoyenneté ne juge pas utile de porter plainte contre l’auteur de cet article, mais se plaint pour la Miss à qui cette fausse information pourrait porter préjudice en tant que future femme au foyer.
Lu dans LA TRIBUNE