Xalima news – Le chef de fille de l’écurie Mbour ne cache pas son envie de croiser l’actuel roi des arènes. Bombardier persiste et signe que le combat aura lieu si Aziz NDIAYE revoie en hausse sa proposition. Et que Balla GAYE 2 se tienne prêt, car lui, il veut récupérer tout ce qu’il a perdu dans l’arène.
« Je suis prêt à affronter Balla GAYE 2. Le promoteur Aziz Ndiaye et moi, nous nous sommes accordés sur le principe. Un petit désaccord sur le cachet proposé bloque la finalisation. C’est la vraie raison du blocage. Tout est possible parce que les négociations continuent jusqu’au moment où je vous parle.« , avance le chef de file de l’écurie Mbour.
Et B52, « le roi de Bercy » d’ajouter: « J’ai une fois entendue Balla Gaye 2 déclarer à la télévision qu’Aziz Ndiaye lui a remis une avance sur cachet. Par la suite, son père Double Less a fait une réplique dans un journal déclarant qu’ils n’ont rien reçu du promoteur. En ce qui me concerne, je suis en train d’analyser les possibilités qui pourront s’offrir à moi d’ici l’ouverture de la saison.« .
« Qui ne risque rien n’a absolument rien ! Il faut savoir oser par moments pour décrocher ce que l’on veut réellement. En 2002, les gens avaient dit que personne ne pourrait terrasser Tyson. Il régnait en maître absolu dans l’arène. Les gens disaient que j’étais plus jeune que lui et que par inexpérience, j’irais droit dans la gueule du loup. En plus, il était plus fort, plus bagarreur et plus technique que moi. Je leur ai prouvé le contraire. Il faut savoir que rien n’est facile dans l’arène. Tout est possible. » confie le récent tombeur de Baboye à nos confrères de L’Observateur.
Continuant dans cette lancée, il déclare: « Je travaille dur pour récupérer le titre de roi des arènes et prendre ma revanche sur ceux qui m’ont battu, autrement terrasser Gris Bordeaux, Tapha Tine et même Yékini si possible. Balla Gaye 2 est un lutteur comme nous tous. Mais il part toujours favori dans ses combats de lutte à cause de sa position actuelle de roi des arènes. Mais cela ne veut pas dire qu’il sera toujours vainqueur dans ses combats. Si j’accepte de lutter contre lui, c’est parce que je sais que je peux le battre. Sinon, je n’allais pas accepter de lutter contre lui.« .
Lu dans L’OBSERVATEUR