Le président iranien, Mahmoud Ahmadinejad, a nié dans une interview donnée lundi 7 juin à la chaîne de télévision française TF1 qu’il y ait eu un « marché » avec Paris à l’occasion des libérations quasi simultanées de la Française Clotilde Reiss en Iran et de l’Iranien Ali Vakili Rad en France. « Non, un marché n’avait pas lieu d’être », a-t-il dit, interrogé sur cette hypothèse démentie fermement à Paris. « Lula (le président brésilien Lula da Silva) et d’autres personnes nous ont demandé d’accomplir un geste humanitaire, ce que nous avons fait », a-t-il ajouté.
L’Iranien Ali Vakili Rad, assassin en 1991 en France de Chapour Bakhtiar, ex-premier ministre du chah, avait été libéré de prison deux jours après le retour en France mi-mai de l’universitaire Clotilde Reiss, qui avait été retenue en Iran pendant dix mois sous l’accusation d’espionnage au profit de la France. Cette concomitance des deux libérations avait fait naître des spéculations sur un marchandage entre les deux pays.
Le Quai d’Orsay avait souligné que la justice en France « est indépendante » et qu' »il n’y a eu à aucun moment aucun lien, aucun marchandage, aucun échange, aucune tractation de quelque nature que ce soit entre la libération de Clotilde Reiss et la décision prise par le tribunal français » relative à Ali Vakili Rad. La France avait remercié le président du Brésil, Luiz Inacio Lula da Silva, le président du Sénégal, Abdoulaye Wade, et le président de la Syrie, Bachar al Assad, pour « leur rôle actif » dans la libération de Clotilde Reiss.
lemonde.fr
c’est vrais j’ai regardé l’interview mais le président iranien a oublié notre cher président.wade qui disait envoyer karim madické je suis désolé pour ce sénégal qui est entouré de menteur et de voleur
awewa Mame lay wade maknga ne loubli pa car khame nga ni rafetoule vraiment
domage encor une fois