L’on filerait tout droit dans le mur, si les prévisions du journal Le Quotidien devenaient effectives. En effet, pendant que Dakar agonise du fait de la pénurie d’eau qui a déjà duré quinze jours, et que la Centrale de Kounoune est à deux doigts d’éteindre ses moteurs, voilà que la Centrale du Cap des Biches vit l’un des moments les plus confus de son existence. Et le fuel, indispensable pour tourner ses moteurs, est passé par là. Car il serait presque en rupture de stock. Tout àa, dans un contexte de forte menace de sabotage de la fourniture du courant par les travailleurs de l’électricité, si le directeur général de la Senelec se hasardait à les priver de certains avantages comme leurs primes. Autant dire que si les ingrédients de ce cocktail explosif se réunissaient, le crépuscule s’abattrait, incontestablement, sur le régime de Macky Sall. Dieu nous en garde ! Amen.
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SACHONS RAISON GERDER, ce genre d’accident est à classer dans le registre des impondérables, de la même probabilité d’un avion tout neuf peut être au tapis !
Ni le Président Wade, encore moins le Président Macky qui vient de s’installer ne peuvent être responsable d’un incident de cet ordre.
La question est de savoir comment cela est arrivée, après si peu d’années de mise en service de la pièce qui a posé problème. Madame Anta Seck, Directrice Générale de la SONES A SEMBLé POINTER UN DOIGT ACCUSATEUR SUR LA SENELEC qui devrait, selon elle veiller à ne pas rétablir le courant sans prendre de précautions spécifiques pour éviter des coups de bélier sur les bombonnes qui envoient la pression sur la tuyauterie.
Ces propos tenus devant le Président Macky Sall lors de sa visite sur le chantier, sont passés presque inaudible et personne n’y a prêté une grande attention pour entendre entre les mots afin d’en commenter le sens réel. On ne le dit pas assez, mais il semblerait que la SENELEC pourrait être à l’origine de cet incident, au moins pour une partie, et personne n’a creusé!