La nouvelle dérive sexuelle à la mode dans des clubs privés au Sénégal c’est de faire l’amour devant un public qui vous regarde après une séance relevée de danse du tam-tam ou « leumbeul ».
Le lieu prisé de rendez-vous de ces scènes sexuelles privées est la station balnéaire de Saly Portudal située au sud de Dakar. La danse du tam-tam ou « leumbeul » est une danse très rythmée qui peut se révéler très sexy avec les déhanchements subjectifs des danseuses aux fesses rebondies.
Dans plusieurs boîtes de nuit de Saly Portudal des amateurs se donnent rendez-vous d’abord pour regarder des femmes simplement vêtu d’un léger voile qui laisse tout deviner, faire tourner leurs fesses comme des toupies au son du tam-tam.
Ceux qui n’ont pas assez d’argent se contentent alors de se retrouver aux toilettes pour se masturber.
Cependant pour les plus nanties, les filles qui les ont aguichées plutôt au son du tam-tam, les rejoignent pour faire l’amour dans des salons juste séparés du public avec des tissus transparents. Les voyeurs peuvent aisément les regarder et beaucoup se permettent même de filmer.
Malheureusement ces scènes volées se retrouvent souvent dans les téléphones portables et donnent lieu bien souvent à du chantage.
Koaci.com
Cette « mode » qui consiste à faire ces choses devant un public nous vient peut-être de la France où j’ai vu des images sur une chaîne privée, à tout hasard, à l’aide de zapping. Même si, à Saly les organisateurs prennent le soin de mettre des rideaux transparents, ce qui n’est pas le cas dans cette émission, l’effet est le même. Les autorités doivent prendre des mesures pour que notre pays n’attire plus que le tourisme sexuel comme la Thaïlande et le CAMBOGDE DES ANNEES 80 pour les Européens.
C’est trop facile de mettre sur le dos de la France et des Occidentaux toutes les dérives de notre société. Ce que tu dis avoir découvert suite à un zapping par hasard (laisse moi rire) se passe à la télé et dans des clubs privés. Ce qui n’est pas le cas de ce qui est conté ici. Bou guele yi con we di def n’importe quoi lolou affaire de petasse leu, pas besoin d’être un blanc pour le comprendre.