Ahurissant ! C’est le moins que l’on puisse dire après la déposition des cinq filles qui ont été interpellées, la semaine dernière, au bar « Piano Piano », sis à Ouest Foire sur la route de la route de l’aéroport. A en croire Le Populaire qui donne les détails du procès-verbal d’enquête de la section mœurs de la Sûreté urbaine de Dakar, à l’exception de B. N. Dieng qui soutient qu’elle n’est pas une lesbienne bien qu’elle s’accompagne la plupart du temps avec elles, toutes les quatre autres ont reconnu leurs statuts d’homosexuelles.
F. Ndoye : » J’ai commencé ces pratiques de lesbienne depuis 2010″
Première à être être entendue, C Sao, née en1985 et domiciliée à Castor, a expliqué que cela fait à peine deux mois qu’elle a connu B.N.Dieng qu’elle avait rencontré au bar « le Faro ». Selon elle, cette dernière l’appelée la veille des faits pour lui demander si elle était disposée à venir à sa fête : « Je me suis rendue avec ma copine N. Diallo, avec qui je partage un appartement ». Un local que paie son copain, selon ses dires. Sur les faits, elle répond sans ambages : « Je reconnais mon statut d’homosexuelle, je l’assume, mais encore une fois, nous ne nous caressons pas dans le bar, lorsque les policiers ont fait irruption dans le bar ».
Pour sa part, F. Ndoye, qui est née en 1988 et domiciliée à Yoff Tonghor, a soutenu qu’à l’arrivée des policiers, elle était un peu saoule. « J’ai commencé ces pratiques de lesbienne depuis 2010. Avant je m’étais inscrite au fichier sanitaire de la prostitution, par la suite je me suis fait radier de ce fichier et je ne me prostitue plus ». Et la jeune fille de poursuivre : « Je suis devenue lesbienne du fait que j’avais des amies avec qui je partageais le même lit « . Faisant dans le déballage, elle a soutenu devant les enquêteurs que la plupart des filles présentes à cet anniversaire sont des lesbiennes, mais qu’elle ne les connaissait pas toutes.
« Depuis l’âge de 12 ans, j’ai commencé à sentir que j’avais des penchants pour les filles »
N.S.Dieng a également fait des aveux devant les enquêteurs. Née en 1981 et résidant à Golf Sud, elle a réaffirmé que la plupart des filles qui étaient sur place étaient des homosexuelles. « Je reconnais mon statut de lesbienne . Dès l’âge de 12 ans, j’ai commencé à sentir que j’avais des penchants pour les filles comme moi ». Et cette dernière de continuer : « mes parents m’interpellent quelques fois relativement à mon comportement de garçon, mais ils ne savent pas que je suis lesbienne. Je me rends souvent dans les bars de la place à la recherche de partenaires de rencontre ». Seulement, sur les faits, elle soutient qu’elle ne caressait personne et personne ne la caressait.
« C’est parce que je partageais le même lit avec les amies que je suis devenus »
Née en 1983, N. Diallo domiciliée à Castors, qui est une habituée des bars, a, elle aussi avoué qu’elle était une lesbienne. Mais elle précisera aussitôt qu’elle est encore vierge et qu’elle n’a jamais couché avec un garçon. « Je ne peux expliquer le pourquoi de mon statut, mais depuis l’enfance je me sens attirée par les filles. Je souffre énormément de cette situation parce que je voulais être comme toute les autres femmes normales, se marier, avoir des enfants mais… »
B. N. Dieng qui est née en 1997, divorcée et mère d’un enfant a fait l’exception. Domiciliée à Yoff, celle qui avait invité ses amies pour son anniversaire a soutenu qu’elle n’est pas une lesbienne, même si la plupart du temps, elle s’accompagne de lesbiennes. La preuve, dira-t-elle : « j’ai été mariée et divorcée ». Suffisant pour que les enquêteurs lui rétorquent qu’on peut être bisexuel. Et lorsque les policiers lui ont demandé de dire la vérité et qu’ils l’ont vue s’embrasser avec une de ces invitées, elle a tout nié.
Source: Leral
Laissez ces filles tranquille et aller vous occupez des agresseurs qui tuent tous les jours. Il y a des problèmes beaucoup plus sérieux à résoudre dans ce pays
MOUSSA tu ignore que Ceci est aussi dangereux que les agressions ta jamáis entendu parler sodome et gomore?
Ce pays est malade de ces dirigeants , sans flagrant délit ces filles ne devaient être inquiétées , il y a de l’abus de pouvoir quelque part !! Des assassins courent les rues et on se ruent sur de pauvres filles pour les accabler !! Il faut arrêter cette mascarade , pas encore de jugement , ces incapables vont fermer ce bar privant ainsi des responsables de famille de travail , à quoi bon . Où se trouve la présomption d’innocence ??
Il faut de lourdes condamnations. Ces jeunes filles s’amusent avec le feu. Il est temps que l’ordre public soit rétabli ! Au fait Santa, qu’est ce tu entends par flagrant délit ? N’ont elle pas été surprises par les policiers ?
Bravo à Monsieur le Préfet, nos lois doivent être respectées !
Le flagrant délit c’est de trouver ces filles dans des situations compromettantes d’homosexualité et non se faire juste un bisou comme entre copines , bon à chacun son jugement !! La police ne peut pas surprendre dans ce bar des filles entrain de s’amouracher devant tous les clients présents sans se faire rappeler à l’ordre et se faire rabrouer , à la limite se faire virer tout bonnement de ce lieu , voilà mon appréciation , maintenant qu’on les accable et sans jugement fermer ce lieu de travail est un non sens !! Que ces policiers partent pourchasser les vrais délinquants qui terrorisent les populations en égorgeant certains braves hommes et femmes au lieu de s’adonner à de telles facilités . BON MA CONTRIBUTION S’ARRÊTE à ce niveau !!
Ces flics ne sont bon que dans des choses pareilles!! Occupez vous des agresseurs et autres bandits qui empêchent les paisibles citoyens de vivre!!! Ou bien vous avez peur d’eux? Oh lala!!! Kel misére!!!