Xalima news – A un peu plus d’un mois du Gamou de Tivaoune prévu probablement le 10 janvier 2014, rien n’est encore prêt dans la cité religieuse. Un comité régional de développement (CRD) préparatoire a été tenu, hier, à la gouvernance de Thiès en présence des autorités administratives et de Serigne Abdou Aziz SY Al Amine.
Le porte-parole du khalife général des tidianes n’a pas mis de gants pour manifester toute sa colère contre le ministre des Infrastructures et des Transports. « Thierno Alassane SALL doit savoir que je ne suis pas son enfant qu’il peut tromper avec des bonbons« , dira-t-il, furax. Une déclaration qui surprendra toute l’assistance. Un silence de cathédrale régnait dans la salle.
Serigne Abdou Aziz SY Al Amine a déversé toute sa bile sur le ministre qui lui a fixé 4 rendez-vous qu’il n’a jamais honorés. Très en verve, Serigne Abdou Aziz SY Al Amine d’expliquer : « Il m’a donné rendez-vous à 4 reprises, il n’est jamais venu. Il doit savoir que je peux être son père. Le président Abdoulaye WADE s’était engagé à moderniser Tivaouane. Il avait déjà signé le décret. Le président Macky SALL a promis de continuer le programme de modernisation de Tivaouane. C’est ainsi qu’il m’a mis en rapport avec Thierno Alassane SALL. Déjà, un budget de 7 milliards FCFA devait être dégagé pour la réalisation de quelques infrastructures prioritaires pour l’édition de ce Gamou. Pour le Moment, rien n’a été fait.«
« Le gouvernement n’a qu’à effectuer les réalisations ou s’abstenir. Nous ne sommes pas des enfants pour qu’ils nous promettent des choses qu’ils ne respectent pas. C’est inadmissible qu’ils tiennent des engagements et qu’ils ne les respectent pas« , martèle-t-il.
« Une fois, j’ai fait préparer un déjeuner pour le ministre qui a encore faussé son rendez-vous« , dira-t-il.
Source: L’Observateur
L’Arc en Ciel est tombé dans son propre piège. C’est parce que ces hommes qui en sont les dirigeants n’ont pas retenu les leçons de sagesse de nos aïeuls.
Un jour Bouki alla voler une chèvre que les propriétaires avaient attaché à l’orée d’un village. La chèvre était attachée au milieu de l’herbe qui borde le village. Traînant sa chèvre en forêt, Bouki rencontra le Tigre. Dés que Bouki le vit, il conçut un beau mensonge pour le tromper et sauver sa chèvre. Lorsque Tigre lui posa la question concernant la chèvre, Bouki lui fit comprendre qu’il y en a des milliers près du village, sans gardien. Il suffit de faire son choix et de le ramener en forêt. Tigre fonça vers le village, et au fur et à mesure de sa course, différents animaux lui demandaient la raison et il leur narrait l’histoire de Bouki. Ce qui fit qu’à la fin ce sont tous les animaux de la forêt qui se retrouvèrent à foncer vers le village. Une énorme nuée de poussière s’éleva jusqu’aux nuages à cause de leurs pieds. Bouki, s’apprêtant à consommer sa chèvre, vit la poussière. Il se dit que sûrement les animaux ont du effectivement trouver beaucoup de chèvres. Et qu’au lieu de perdre son temps avec son gringalet de chèvre, il aurait mieux d’aller choisir une plus dodue. Lorsqu’il se retrouva nez à nez avec les animaux poursuivis par les villageois, son passage de vie à trépas ne dura pas plus d’une minute. Et nos aïeuls concluaient que l’homme peut finir par croire à son propre mensonge… jusqu’à en perdre la vie.
Pour fanatiser beaucoup d’électeurs et faire plaisir aux maîtres pourvoyeurs de légions d’honneur et financiers, les gens de l’Arc en Ciel ont surfé sur un populisme nauséabond fabriqué par la presse des 100. Le mot d’ordre entre 2011 et 2012, c’était tout contre tout ce qui porte le nom de marabout, tout ce qui est chef religieux au Sénégal. La raison ? Ils sont soupçonnés d’être proches de Wade. Les moyens ? La diabolisation. Tous des corruptibles et corrompus par Wade. Ceux qui n’ont pas reçu des milliards convoyés dans des ambulances ont reçu des véhicules volés et des passeports diplomatiques. Ces gros mensonges trop répétés ont fait que la nouvelle recette de célébrité au Sénégal a été de savoir prononcer une phrase qui condamne cette nouvelle invention. Allumer le feu, l’attiser et venir jouer au pompier. Inventer un mensonge et revenir le condamner. Ce qui a donné des « marabouts citoyens ordinaires », « des chapelets qui ne développent pas un pays », etc. La mode était de dire du mal dans ce sens. La vision courte du nouveau type de sénégalais a été que le temps des guides religieux est derrière nous. Grossière erreur ! Même pas deux ans, la roue tourne. Mais les chefs Arc en Ciel, comme Bouki, ont fini par croire à leurs mensonges. Pour eux, les guides religieux restent toujours des corruptibles avaleurs de promesses. Alors quand est ce que se réveilleront-ils ? Surtout qu’ils demandent de ne pas réveiller « le lion’, qu’il sont, « qui dort » ?
La vérité est que l’actuel régime ne dispose pas d’assez de moyens pour faire autant que le Président Wade! Un vaste programme de modernisation de le Ville de Tivaouane et de presque toutes les capitale religieuses du Sénégal faisait partie des grandes ambitions de Wade, et il y tenait beaucoup. Il faut comprendre que monsieur le Ministre ne veuille pas aller à Tivaouane alors qu’il sait pertinemment que Le Président Macky n’a ni la volonté, encore moins les moyens financiers pour réaliser ce projet de Wade. Il ne suffit pas de remplacer Wade, encore faut-il avoir son imagination et ses capacités. N’importe quel autre Sénégalais aurait pu être ministre, Premier ministre de Wade, car avec un tel homme qui avait des idées sur tout, qui savait ce qu’il voulait sur tout, il suffisait de l’écouter et de faire ce qu’il voulait c’est tout. Macky est un petit ingénieur géologue dont les compétences ne sauraient être considérées qu’au Sénégal, au mieux dans la sous-région et sans Wade, sans l’alternance, il n’aurait jamais travaillé ailleurs qu’au Sénégal avec un salaire de 350.000 FCFA en fin de carrière. Il est heureux d’avoir assez de moyens financiers pour au moins 50 ans pour que sa famille élargie, de Dakar à Fatick, ne soit plus dans la pauvreté. Chaque Sénégalais aimerait sortir au moins cinq cents membres de sa famille de la pauvreté de nos familles qui dure depuis des siècles. EN cela Macky Sall a réussi, il est heureux et après ses deux mandats il investira dans beaucoup de secteurs de la vie économique du Sénégal et du reste du monde
Pendant douze ans, Wade n’a fait que signer le decret de modernisation de Tivaouane. Pourtant, il veut maintenant que ce travail soit realise en l’espace de cinq ans. Quel culot! Au lieu d’investire des milliards pour des mosquees, pkoi ne pas utiliser cet argent pour creer des emplois dans vos villes, si religieuses soient-elles…
MAIS…C’EST CE MARABOUT QUI TRAITAIT D’IMBECILES LES CITOYENS QUI NE VOTERAIENT PAS POUR ABDOU DIOUF!
Une phrase n’a de sens que dans le contexte où il se trouve.
« …Kou wotéloul Abdou DIOUF imbécile-leu. »
« …Kou wotéloul Abdou DIOUF wor nga Serigne Touba. »
ont été dits,mais un contexte défini et selon des arguments donnés-Y A PAS A FOUETTER UN CHAT-
Des milliards engloutis dans deux uniques villes du Senegal. A chaque Gamou et Magal, c’est le meme discours de la part de nos marabouts. Soutirer des milliards et encore des milliards à l’état qui doit faire face à des defis beaucoup plus importants ailleurs. Combien y-a-t-il de villages au Senegal sans eau potable, sans électricité, sans pistes de production, sans poste de santé, sans maternité, sans école, sans …, sans …, etc… Nos marabouts devraient avoir honte de se soucier seulement de leurs petites cours au detriment de celles de la plupart des Senegalais qui leur vouent une soumission aveugle. Nos marabouts ne semblent se facher que lorsque nos authorités refusent de débourser. Wade les avait habitués à des malettes à chaque veille de Gamou et de Magal. Et ils veulent que cela continue avec Macky. Basta!!!!!!!!!
Pourquoi l’islam est-elle la religion qui exige que le culte soit fait exclusivement dans une seule langue d’un seul peuple au détriment de toutes les autres ? Mon grand père disait d’ailleurs que le jour du jugement dernier tout le monde parlerait la langue Arabe. A mon avis il faut avoir une idée indigne de son peuple, de sa culture pour approuver