« Ne brouiller pas le vrai par le faux et ne taisez pas la vérité alors que vous savez » Extrait du Saint Coran Sourate 2 le vache verset 42.
Base d’appui : Bonne gouvernance publique et décret de nomination de personne au top management des structures d’Etat à vocation socio- économique et financière.
Cette étude d’expert dont les termes de référence s’appuient, en partie sur le degré de motivation et du comportement des autorités gouvernementales envers le peuple sénégalais pour ce qui est de la revalorisation des compétences par un bon choix d’homme imbu de dextérité managériale et apte à siéger au top management des structures étatiques, rangées dans la catégorie structures d’appui à l’émergence du Sénégal est édifiante à plus d’un titre. Lesquelles institutions mises en orbite, sous forme de décret présidentiel sont dans leur fondement organique à vocation socio- économique et d’essence financière. En ligne de mire les agences et fonds étatiques. C’est tout l’intérêt d’un choix éclairé au sujet de la valeur intrinsèque propre à la personne hissée pour promouvoir un défi managérial hors des sentiers battus.
La même source de référence a mis en relief les critères de choix hasardeux dont se permettait sans état d’âme l’ancien régime de l’alternance Wadiste pour coopter telle personne de son clan au détriment de peuple les véritables bénéficiaires des dites agences placées au cœur du système économique. Les personnes issues de la clientèle politique, sans expertise en la matière et inaptes étaient retenues sans discernement quant à leurs savoirs et expériences liés à l’exercice d’une fonction de Manager pair. Amplement et sans commune mesure, les effets dévastateurs découlant de ce choix d’homme mal éclairé et hasardeux n’ont été si désastreux pour l’économie du pays ; tant les externalités engendrées étaient démesurées dans leur négativité absolue. Pour preuve la multitude des rapports gouvernementaux dénonçant les tares et lacunes managériales de cette politique éhontée de recrutement de talent managérial aux antipodes de la bonne gouvernance, parce que fort biaisée dans le fonds, sans éthique dans la forme.
« Les plaies de cette mal gouvernance aux multiples facettes sont toujours béantes sur le dos du peuple » C’’est la conclusion et le constat de la dite étude commanditée par un organisme financier de coopération internationale ayant des locaux sur place.
Dans le même ordre d’idée ,de l’avis des experts en matière de revalorisation des ressources humaines, partie prenante de cette étude prospective de politique économique et financière citée, l’espoir du peuple Sénégalais en nommant Monsieur Macky SALL Président de la République du Sénégal était sans nul doute de voir le Présidant Sall s’évertuer avec éthique et lucidité dans ses hautes fonctions ; en imbibant particulièrement des règles de bonne gouvernance dans le choix décisionnel des personnes à placer au top management des établissements publics à vocation socio-économique et financière. Cette orientation de taille peut sans ambages justifier le vocable ainsi libellé : la patrie avant le parti. Au demeurant désorienter l’école de pensée qui gesticule pour un partage inéquitable du gâteau. Mieux telle démarche amplifie la teneur de l’idée opportune de majorité présidentielle en vue pour un rétablissement des équilibres rompus.
De ce choix d’homme aux destinées du Sénégal ; le peuple ne saurait tolérer que le management des structures financières étatiques d’appui à l’économie nationale reste ou soit confié à tort à des mains inexpertes et même souvent pernicieuses. En fait il n’est plus question de reconduire les fautes du passé ou de satisfaire des amis voire privilégié un clientisme politique sans idée constructitive ou savoir faire pour le développement du Sénégal ; cette cohorte est en majorité sans base ou assise autre que le langage de politique politicienne via la presse. L’exercice de ces derniers sur un terrain d’application inconnu où les pré requis de fonctionnement sont non maitrisés ont démontrent à priori leur inaptitude professionnelle. Ces personnes au fil des temps, détériorent et délabrent les structures dont ils ont la charge économique et financière de rentabiliser, de fructifier en les rendant non performantes, ni compétitives, encore moins efficaces et pire elles deviennent inefficientes s’agissant des retombées et des effets escomptés par le peuple. Le peuple en souffre de ce mal allocation de ressources tant humaines et financières. Un véritable gâchis pour les générations présente et future.
Convenons en à l’instar des observateurs et analystes du management public que cette demande sociale de revalorisation et/ou réutilisation des ressources humaines partant de leur profit académique et pratique professionnelle avérée et porteuse de croissance doit être au cœur de la rupture gouvernementale et matérialiser les déclarations prônées. Cette mesure de rectitude propre à l’orthodoxie managériale de recrutement de haut niveau corrélativement à la mesure de rupture gouvernementale annoncée en haut lieu est attendue par le peuple sénégalais : un peuple épris d’une bonne gouvernance, vertueuse et sobre pour un top management de qualité dans la conduite des structures financières de développement du Sénégal. The right man at the right place (À suivre).
Serigne Saliou Fall Expert Consultant en Finance.
Expertise : Ancien Fonde de Pouvoir Principal de Banque.
Formation : Bachelor en Administration des Affaires Maitrise en Economie option finance internationales ; Investing and Money Management Diploma – Diplôme en crédit mangement.
[email protected]
Pour un expert, votre papier est tres mal ecrit et par ailleurs truffe de fautes, et pas seulement d’orthographe! Je vous rappelerai seulement que le PR Macky Sall n’a pas et « nomme » mais putot elu!!
Monsieur Fall
Sans vouloir vous offenser, je vous dirais que personne ne comprend rien de ce que vous dites.
On se demande sérieusement ou vous voulez en venir ?????
Vous n’êtes pas obliger de pondre ce « CHARABIA » pour attirer l’attention sur vous.
Votre démarche est d’autant plus curieuse, qu’elle en surprend plus d’un, quand on veut se donner la peine du CV pompeux que vous avez bien décrit par contre.
Dites-vous que parmi ceux qui risque de vous lire, il y’a des hommes et des femmes qui ont certainement des qualifications nettement supérieures aux vôtres, et qui n’éprouvent aucun besoin d’en faire étalage.
Prenez l’habitude de réfléchir, avant de parler surtout si c’est pour ne rien dire.
FRATERNELLEMENT…..
bachir Diallo, tu es très limité , sinon ne serait ce que le titre est assez édifiant. En effet par rapport aux démissions annoncées et la langue fourchue de ce cadre irresponsable et manipulateur qui est Moubarack Lô.
Monsiuer Fall donne la replique à ces cadres qui ne cherchent que les privilèges au palias et ceux là Macky ne les acceptera jamais .Le president veut des hommes intègres et patriotes dévoués à la cause nationale pour relever les défis énormes dans ces moments très difficiles .
Bravo S.S. Fall pour votre courage,votre lucidité et votre justesse de vue.D’accord avec toi qu’il faut sans tarder l’avènement de nouveaux ‘homo senegalensis » pour faire avancer et décoller notre grand et si beau pays que nous aimons tant et que nous devons Servir avec cœur et engagement et non point nous SERVIR.Bravo pour ta contribution pertinente
Document préparé et proposé par Souleymane Jules Diop (alias Kambano Ndiaye) au Directoire de campagne de Rewmi, en Novembre 2011 (toutes les preuves sont disponibles). Deux mois après, il appelait à voter Moustapha Niasse. Trois mois après, il rejoignait l’équipe de Macky. Un an et demi après, il est devenu le patron de la communication du Président Macky Sall. Une trajectoire de génie. A vous de juger !
IDRISSA SECK ET MACKY SALL
Avantages Comparatifs
Pour piller le pays, ils ont chassé du pouvoir celui qui pouvait les gêner et
pour distraire les Sénégalais, ils ont inventé l’affaire des chantiers de Thiès et l’atteinte
à la sûreté de l’Etat. Macky Sall était leur complice, Idrissa Seck leur victime. SJD
MACKY A CONSTRUIT UNE VILLA
IDY A CONSTRUIT UNE VILLE
Constance
• Idrissa Seck se réclame de la famille libérale. Il croit à cet idéal qui a porté Wade au pouvoir, même si cet idéal a été trahi par la suite. Il a toujours été constant sur ce point.
• Macky Sall a renié son appartenance à la famille libérale, après avoir milité dans le Pds, été ministre sous Wade, Premier ministre et président de l’Assemblée nationale.
Respect des institutions
• Idrissa Seck respecte les institutions de la République et n’a jamais fait entrave à la loi. Il respecte le processus électoral et le suffrage des sénégalais. Idrissa Seck n’a jamais été associé à des pratiques anti-républicaines pendant ses 30 années de présence sur la scène politique sénégalaise.
• Macky Sall a déjà figuré dans un rapport de l’Onel, pour s’être introduit dans un bureau de vote en 2002 et voté de force, sans pièce d’identité.
• Macky Sall s’est illustré par la lecture d’un rapport sur les chantiers de Thiès qui était un réquisitoire à charge qui violait la présomption d’innocence et le principe de séparation des pouvoirs.
Posture républicaine
• Idrissa Seck a fait valoir la compétence dans la nomination aux fonctions civiles et militaires, aux postes ministériels. Idrissa Seck n’a jamais voulu accepter dans son gouvernement des personnes impliquées dans des affaires juridiaires.
• C’est avec Macky Sall que des hommes comme Farba Senghor sont devenus ministres. C’est avec Macky Sall que des hommes comme Sada Ndiaye, Abdourahim Agne, qui avaient des dossiers en justice, sont devenus ministres.
• Idrissa Seck n’a jamais fait nommer un membre de sa famille à un poste, quel qu’il soit. Idrissa Seck refusait même de recevoir des membres de sa famille à son bureau. Il ne l’a jamais fait pendant toute sa présence à la présidence comme à la Primature.
• Macky Sall a fait nommer son frère Aliou à l’ambassade du Sgl en Chine, sa sœur Rokhaya à l’ambassade du Sénégal à Paris, son beau frère Faye au Consulat du Sénégal à New York. Macky sall a même fait nommer le dernier de sa famille, qui n’avait aucune expérience, responsable de la SDE à Fatick.
Acquisition de biens
• Idrissa Seck fait des affaires depuis qu’il est étudiant, il a été le premier à introduire les machines à café au Sénégal. Idrissa Seck est un auditeur qui a travaillé dans un des plus grands cabinets du monde PWH, avant de fonder son propre cabinet AGC.
• Jusqu’à l’alternance, Macky Sall était un simple agent à Petrosen qui se faisait dépanner par les responsables du Pds. C’est Idrissa Seck qui, en 1998, après le départ de nombreux cadres, a créé la Cis et lui a confié cette structure des cadres.
• Idrissa Seck habite dans la même maison depuis 18 ans, bien avant l’avènement de l’alternance. Idrissa Seck n’a jamais possédé un journal ou une radio, ce qui n’a jamais été son objectif, puisqu’il croit en l’indépendance des médias.
• Macky Sall louait un trois pièces à Derklé jusqu’en 2002. Il vient de déménager à Mermoz dans une résidence qui a une valeur d’un milliard. Macky Sall, en deux ans à la Primature, a eu le temps de posséder une radio, quand on sait qu’une radio coûte au moins deux cents millions de francs.
• Idrissa Seck a fait l’objet de poursuites, de missions rogatoires qui ont duré quatre années au bout desquelles il a été totalement blanchi. Tous les biens qu’il possède ont fait l’objet de vérifications par la gendarmerie, la justice sénégalaise et internationale.
• Macky sall a fait raser sa maison familiale à Fatick pour y faire construire une maison en marbre. Il a déclaré lui-même posséder un condominium aux Usa et jusqu’à présent, il refuse de s’expliquer sur l’affaire Taïwan et sur l’origine de sa fortune bâtie sur 6 ans.
• Idrissa Seck a refusé de pactiser avec la famille Wade sur leurs pratiques délictuelles, c’est pourquoi il a été envoyé en prison. Il a été l’homme qui empêchait les grosses magouilles, qui ont commencé avec l’Anoci dès qu’il a été chassé du pouvoir en 2004.
• Macky Sall a signé un pacte de non agression qui lui fait taire sur des questions comme Taïwan, sur lesquelles il doit des explications. Il est moralement comptable de tout ce qui s’est passé comme détournement dans le pays de 2005 à 2009.
MACKY A CONSTRUIT UNE VILLA, IDY A CONSTRUIT UNE VILLE
• Il est important de noter que pendant toute sa présence à la Primature, Macky Sall a servi sa famille s’est construit des villas à Fatick et à Dakar.
• Idrissa Seck a servi un pays. En l’espace d’une année, il a reconstruit une ville et si son travail n’avait pas été saboté et arrêté, il aurait renouvelé l’expérience partout dans le sénégal. Nous aurions eu en ce moment 7 grandes villes dans le pays.
Expérience
• Idrissa Seck est entré au Pds à l’âge de 17 ans, il est devenu directeur de campagne à 29 ans. Idrissa Seck est devenu ministre du Commerce à l’âge de 34 ans. Il a une expérience d’Etat très jeune et a fait ses preuves en tant que jeune ministre dans un gouvernement de cohabitation.
• Macky Sall est arrivé au Pds à l’âge de 31 ans, il a été directeur de campagne à l’âge de 46 ans. Macky Sall ne totalise que six années de présence dans un gouvernement, devenu ministre qu’en 2002, à l’âge de 41 ans.
Résultats
• Idrissa Seck a fait gagner des élections dans les conditions les plus transparentes de l’histoire. Idrissa Seck a réalisé les performances économiques les plus importantes depuis les années 80, avec zéro scandale financier à son départ du gouvernement.
• Macky Sall a fait gagner Wade dans les élections les plus contestées de l’histoire. Le taux de croissance a commencé à s’approcher de zéro avec l’arrivée de Macky Sall, les scandales financiers ont commencé avec lui et se poursuivent encore.
LE RAPPORT D’AUDIT QUI MET À NU LA GESTION DE MARY TEUW NIANE
(rapport commandité conjointement par les ministères de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et de l’Économie et des Finances, sur financement de la Banque mondiale)
sur ndarinfo UGB-de-Saint-Louis-Le-rapport-d-audit-qui-met-a-nu-la-gestion-de-Mary-Teuw-Niane
« LA JUSTICE DOIT FAIRE LA LUMIERE SUR L’ARGENT INJECTE DANS L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR »
BIRAHIM SECK DU FORUM CIVIL
sur seneplus la-justice-doit-faire-la-lumiere-sur-l%E2%80%99argent-injecte-dans-l%E2%80%99enseignement-superieur
Publication 16/09/2013
Actuellement, la polémique fait rage entre le Saes et ministère de l’Enseignement Supérieur sur l’utilisation des milliards injectés dans l’enseignement privé pour l’orientation des bacheliers. Qu’est ce que cela vous inspire ?
Le Saes a tout à fait raison de demander des comptes au gouvernement sur l’argent injecté dans l’enseignement supérieur pour la prise en charge des bacheliers orientés dans les universités privées. Les dirigeant du Saes n’ont usé que des dispositions des articles 14 et 15 de la Déclaration des droits de l’Homme et des peuples qui fait partie intégrante du préambule de notre constitution qui prône la bonne gouvernance et la transparence. Il ne devrait y avoir même pas de polémique. Les autorités devraient même rendre compte avant que le Saes ne le demande. Les étudiants également doivent demander des comptes parce que les services sont pour eux.
De plus, mon étonnement est plus grand sur le silence affiché par le gouvernement par rapport aux différents audits publiés sur l’enseignement supérieur qui intéressent les autorités de l’enseignement supérieur et au plus haut niveau. C’est grave et inquiétant au moment où nous dit que l’Etat veut injecter 302 milliards dans le domaine de l’enseignement supérieur.
La justice traque des citoyens sénégalais et quand on produit des audits qui intéressent les membres du gouvernement ou des administrateurs, l’Etat ferme les yeux. Ce sont ces pratiques que les Sénégalais ont combattues. La justice sénégalaise doit également faire la lumière sur l’argent injecté dans l’enseignement supérieur. Les rapports d’audit sont là. Cependant la Banque mondiale est également interpellée car il ne sera logique ni acceptable que de l’argent soit à nouveau injecté sans que la vérité ne soit connu sur les faits invoqués dans ces rapports d’audit sur l’enseignement supérieur. Le Saes est bien dans son rôle et il appartient à l’Etat d’éclairer les Sénégalais si on veut avoir un enseignement supérieur de qualité dans un espace de sérénité et de lumière.
«MARY TEUW NIANE MENE LE PRESIDENT DROIT AU MUR»
SEYDI ABABACAR NDIAYE, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU SAES
Oumar KANDE | Publication 23/08/2013
sur seneplus «mary-teuw-niane-mene-le-president-droit-au-mur »
« Seydi Ababacar Ndiaye, continuant son interpellation, demande quelle suite sera donnée à l’audit des universités où il a été noté une mauvaise gestion généralisée, «y compris la gestion du ministre actuel quand il était recteur de l’Ugb».
«Est-ce qu’on peut continuer à faire confiance à des dirigeants qui ont été épinglés par différents rapports ? IL Y A AUSSI UN AUTRE DOCUMENT COMMANDITÉ PAR L’ACTUEL RECTEUR DE L’UGB AU NIVEAU DE LA DÉLÉGATION POUR LA RÉFORME DE L’ETAT ET DE L’ASSISTANAT TECHNIQUE (DREAT), QUI ÉPINGLE LE MÊME MINISTRE.
Ce document à montré que l’actuel ministre de l’Enseignement supérieur, quand il était recteur à l’Ugb, son jeu favori c’était de créer des postes de responsabilité, de direction. Il en avait créé dix-neuf dans une petite université comme l’Ugb et il y avait des conséquences sur la masse salariale car tous ces directeurs avaient l’équivalent d’un million d’indemnité.
Ces manquements devraient édifier qu’il faut faire les bonnes enquêtes et prendre les individus qu’il faut pour les missions importantes. Quelqu’un qui dirige une simple université et qui a ces types de comportement, on lui confie le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Il y a lieu de se poser des questions», a dit Seydi Ababacar Ndiaye. »