Xalima news – Selon Libération, sur le premier cadavre, les enquêteurs ont découvert que ses organes génitaux ont été prélevés à l’aide d’un objet tranchant, certainement un couteau. Le deuxième déficient mental de sexe féminin a été brulé vif. Mais ce n’est que le début de l’horreur puisqu’au moment de son incinération, elle portait un fœtus pour ne pas dire qu’elle était enceinte. Ce n’est pas tout puisqu’à en croire Libération, un morceau de talon a été découpé sur le troisième cadavre. En ce qui concerne les trois derniers cadavres, l’enquête n’a pas encore pu débusquer s’ils ont été amputés ou non.
En tout cas, les autorités prennent très au sérieux ces meurtres. C’est d’ailleurs pour cette raison qu’une équipe de la très perspicace section de recherches a été dépêchée à Tambacounda pour venir en appoint à la brigade de recherche locale.
Source: Liberation
La Ville de Tambacounda n’est quand même pas Los Angeles ! Il suffirait simplement de quelques jours de présence de quelques policiers courageux, déguisés en malades mentaux et vivant dans les mêmes espaces fréquentés habituellement par nos frères malades pour mettre hors d’état de nuire ces crapules ! Si les autorités ne réussissaient pas à mettre la main sur ces salopards, ils pourraient aller dans d’autres villes. D’autres part, on ne peut s’empêcher de noter que depuis quinze ans au moins, des féticheurs d’un genre nouveau dans nos sociétés, convergent vers le Sénégal où, disent ils, leur « travail » marcherait mieux qu’ailleurs en Afrique !