Les Sénégalais victimes ou pris au piège de l’exagération dans le mensonge planifié et exécuté par le BENNO BOKH IGNANE AK SOKHOR, afin de mieux leur faire avaler la couleuvre et l’amère pilule.
La communication du pire reprend ses galons en cédant la place aux plus jeunes qui héritent de l’expérience des experts en calomnie, dénigrement, amalgame, haine, fantaisie et mépris à l’encontre des populations. Des journalistes Français en mal de notoriété dans leur propre pays ne ratent pas non plus le navire pour profiter de la naïveté des Africains en leur vendant des bouquins d’insultes destinées au Président WADE. Et c’est comme, si un Africain noir osait injurier le général De Gaulle en France? Etant donné que les Africains n’ont point d’héros, on peut s’accrocher à ceux des autres nations pour qu’ils deviennent nos Dieux dans l’histoire de nos peuples.
Dans cet amalgame, le Président WADE, sa famille et ses compagnons politiques ne sont plus, ces grands héros qui ont lutté pendant toute une décennie pour décrocher l’instauration du multipartisme et la démocratie au Sénégal. Dans un élan de haine peinte de mensonges, on représentait la semaine dernière Madame WADE comme une Dame qui a tant influencé son mari de Président jusqu’à l’induire en erreur pour perdre le pouvoir. De cette affirmation, il en ressortait une idée détestable puisqu’on comparaissait Madame WADE à une panoplie de femmes de chefs d’Etat Africains dont chacun sait, ce dont leurs maris sont capables dans la prise et la conservation du pouvoir. Si les épouses des chefs d’Etat Africains influençaient leur mari de président pour commettre des crimes, Madame WADE n’aurait pas dû être sur cette liste des femmes de criminels. Des centaines de prisonniers politiques croupissent en ce moment dans les prisons du Cameroun; de la Côte d’Ivoire, le sang a été versé en abondance avant que Ouatara n’accède au pouvoir, et on sait comment ; en Guinée de Sékou Touré, on sait comment les manifestations se terminent. Quelle injure que de vouloir mettre Madame WADE parmi ces femmes qui regardent leur mari commettre des crimes sans broncher.
Pas plus tard qu’hier, c’est une famille WADE que l’on nous livre, en comparant ses enfants avec ceux des présidents Africains. Enfin, quelles insolence et malhonnêteté intellectuelle, de la part des propagandistes ! Jamais, personne n’a remarqué ou aperçu les enfants WADE dans cette bamboula (boîtes de nuit et dépenses farfelues). Au-delà de la fonction de Président, il existe un atout majeur pour tout parent ayant privilégié l’éducation de ses enfants à toute autre forme de promotion sociale; que l’on soit fils de paysan, de pauvre ou de riche. Et les enfants WADE ont bien leur place dans ce cercle réduit d’enfants élus, très, très éduqués pour réussir. Les Sénégalais sauront en témoigner.
Le « Sénégal du NTS » est à l’épreuve de la vulgarisation de la haine et de la calomnie dans les médias et les associations de courtisans. Et même si le Président WADE et sa famille biologique ne parlaient pas de l’otage Karim WADE, on inventerait toutes les suppositions fantaisistes pour l’atteindre. A supposer qu’il en soit autrement, quel humain, en politique, ou en tout autre domaine ne réagirait pas pour défendre sa progéniture injustement accusé depuis bientôt deux ans, de tous les péchés du monde ? Alors qu’il n’existe aucune preuve de toutes les allégations honteuses, M. Karim WADE reste toujours en prison. Et pendant dix mois, personne n’a entendu le Président WADE évoquer cette situation en publique alors que certains l’accusaient de cynisme pour s’être retenu de défendre son fils. C’est méconnaitre le Président WADE qui considère tous les Sénégalais comme les siens.
De cette expérience de la promotion de la haine, du dénigrement de ses bienfaiteurs, le Sénégal et ses Sénégalais retiendront bien cette bonne leçon, qu’il ne sert à rien d’être gentil et généreux, même au plus bas de l’échelle de la pauvreté que de l’opulence; que chacun reste ce qu’il est et conserve ce qu’il a, puisque nos dirigeants actuels nous l’enseignent.
Au Président WADE qui nous laisse des infrastructures qu’aucun pays Africain n’a jamais réalisées sauf l’Afrique du Sud des blancs : autoroutes, aéroport, universités, collèges, lycées, routes intérieures, cases des tout-petits, grand théâtre, dispensaire de Pikine-Guédiawaye, bourses ou aides pour tous les bacheliers, recrutement de milliers d’enseignants, construction de bâtiments des Communautés rurales, dispensaires rurales, électrification, eau potable, véhicules des chefs de village que Macky a confisqués ; nous disons Merci au Président WADE pour cette petite liste.
Vive le Sénégal, vive la démocratie et vive l’Etat de droit avec une maturité de jugement du monde noir-Africain.
Mané Moussa de la Cellule de Communication ASS-Kaw Paris
