La Ligue démocratique ne saurait accepter les tendances hégémoniques du parti présidentiel dans la constitution des listes alliées pour les élections locales. D’où sa volonté de préparer un plan B en cas de désaccords irrémédiables.
Benno Bokk Yaakaar ne rassure pas trop un de ses membres fondateurs, la Ligue démocratique. Une raison qui fait que pour les élections locales à venir, la Ld n’écarte pas de prendre des initiatives en priorisant la mise en place de coalitions les plus larges possibles avec des forces politiques, mouvements citoyens et personnalités indépendantes.
Pour matérialiser ce plan B, son Bureau politique recommande ainsi ‘’la préparation de listes Ld avec des partenaires résolument engagés dans l’unité électorale’’. Pour les camarades de Mamadou Ndoye Mendoza, il s’agira «de parer à toute éventualité et d’éviter ainsi des situations de forclusion en cas de blocage au dernier moment dans la constitution des listes communes’’ au sein de Benno Bokk Yaakaar.
Si la Ligue démocratique en est arrivée à concocter une alternative électorale alors qu’elle est membre de la majorité présidentielle, c’est parce qu’elle estime ne plus comprendre la démarche de la coalition BBY. Celle-ci fait face à une «division quasi-générale à travers le pays en face d’une opposition qui fait tout pour s’unir», constatent les «Jallarbistes».
Ensuite, se pose la question de la «position hégémoniste de l’Alliance pour la République (Apr) qui, par des comportements peu soucieux des intérêts de ses alliés, veut s’emparer de toutes les collectivités locales sous le prétexte qu’il est le parti au pouvoir». Cette posture est jugée «inacceptable», de même que les «quotas insignifiants arbitrairement affectés» par le parti présidentiel «dans de nombreuses localités aux partis de la coalition».
Le syndrome de Benno Siggil Senegaal…
Face à une telle situation, la Ligue démocratique demande aux partis membres de Benno Bokk Yaakaar de mettre en avant «les intérêts communs» au-dessus des «positions étroitement partisanes» dont l’accentuation mènerait tout droit au «syndrome de Benno Siggil Senegaal de 2012».
Dans cette dynamique, la Ld rappelle une position de principe, celle de mettre en place des listes consensuelles qui tiennent compte des ‘’réalités locales’’ et de ‘’l’équité’’ en relation avec la représentativité actuelle de chaque allié sur le terrain. En effet, indique la note du BP, le critère de répartition des candidatures sur la base d’élections nationales ne résiste ici à «aucune réflexion rationnelle» et ne saurait donc servir de référence à des élections locales.
Source: Enqueteplus.com
Mamadou Ndoye Mendoza !!!
Avec un sobriquet aussi chargé de symbole, on aurait pu espérer que ces soit disant révolutionnaires des années 68 allaient mener la REVOLUTION SOCIALE au Sénégal, mais fourrasse !
Mamadou N’doye, Abdoulaye Bathély et de l’autre côté, à AJPAD moribond de Landing on a choisi d’aller chercher à amélioré sa situation sociale, qui dans le pouvoir qui autre dans une organisation internationale où les salaires avoisinent les 10.000 dollars mensuels. On est ni Ché (pas Moustapha Fall l’opportuniste Mackyszte) mais le révolutionnaire, ni CASTRO, ni CHAVEZ, ni MADURO, ni MORALES. La REVOLUTION est une chose sérieuse qui exige de ceux qui la mènent, beaucoup d’abnégation . Il nous reste DIOP DECROIX, ABDOU FALL, THIERNO LO qui ne sont pas obnubilés par la recherche effrénée de richesses matériels, mais pensent au bien être de leur peuple au milieu duquel il vivent avec la plus grande simplicité! LA REVOLUTION SOCIALE VA S’IMPOSER DANS MOINS DE DIX ANS !