Xalima news – Quatre jours après le retour sur la terre ferme de Me Abdoulaye Wade, des confidences remontent bien en surface. Selon des sources présentes l’accueil de l’ex- Président, la première phrase que le Vieux a prononcée à sa descente d’avion est plutôt d’énervement : »Où sont les foules que vous m’annonciez ? », lâche-t-il, nerveux. »Où sont-elles donc ? »’, insiste-t-il. Et un de ses proches de lui donner la bonne explication qui va le calmer. En fait, Me Wade ne savait pas que les forces de sécurité avaient décidé de maintenir bonne distance les militants libéraux pour éviter des mouvements de foule incontrôlés…Finalement, il retrouvera son sourire quelques minutes plus tard, lorsqu’il sera assailli par ses militants et fans. Mag Burla !
Source: EnQuête
Le travail de la presse des 100, des Madiambal (qui ont été noyés) reprend. Et toujours avec des gaucheries qui permettent, tout de suite, à tout bon lecteur, de comprendre qu’il s’agit de mensonge. Pour ce cas-ci:
– « A sa descente d’avion », « la première phrase prononcée ». Est-il nécessaire de rappeler que quand on descend d’avion, on monte dans un bus (Wade a décliné la voiture qui lui est offerte pour prendre le bus) pour rejoindre le bâtiment des formalités de débarquement. Après cela Wade a refusé le salon d’honneur pour faire comme tout le monde. Et c’est seulement en ce moment qu’il est censé être en contact avec ceux qui n’ont pas fait le voyage avec lui. Tous les actes précédents montrent que Wade était informé avant sa sortie. Autant dire que le mensonge est grossier. Et pourtant il est possible de mentir intelligemment, de façon à faire croire, un mensonge bien réfléchi doit pouvoir durer au moins une semaine. Accepter de véhiculer des mensonges qui ne tiendront pas une heure, c’est détruire sa propre source d’argent.