Xalima news – Coordonnateur de “Initiative pour la préservation des acquis démocratiques”, Ndiaga Sylla, vice-président de l’Alliance Jëf-Jël, a attaqué devant la Chambre administrative de la Cour suprême l’ensemble des décrets pris par le président de la République en date du 10 avril 2014. Ces décrets, on s’en souvient, avaient fixé pour les élections locales du 29 juin 2014 le nombre de conseillers à élire pour chaque conseil municipal, pour chaque conseil de ville ainsi que pour les conseils départementaux. Dans la requête, le vice-président de Jëf-Jël demande ainsi l’annulation de tous ces décrets qu’il juge inconstitutionnels au regard de la loi. Si les magistrats de la Chambre administrative lui donnaient raison, estiment plusieurs spécialistes, le report des élections locales s’imposerait à l’Etat. Toutefois, dans une note récemment disséminée dans la presse et sur les réseaux sociaux, Ndiaga Sylla indiquait : “Les décrets attaqués ont été abrogés, repris et publiés le 18 avril, jour de saisine de la Cour suprême, après la promulgation du code électoral intervenue le 15 avril…”
Source: EnQuête