Xalima news – Au cours d’une audience accordée au bureau de l’Amicale des Anciens enfants de troupe (AAET) hier, jeudi 24 juillet, le Président Macky Sall a fait état de l’urgence pour l’élite de ce pays d’assumer les changements nécessaires au progrès. “Il faut que l’élite assume la rupture”, a-t-il dit, alors qu’il prenait la parole après un discours du Président de l’Amicale des AET, Abdoul Niang. Pour lui, il ne s’agit pas d’accuser un corps (allusion faite au scandale dans la Gendarmerie révélé par le livre du Colonel Abdoulaye Aziz Ndaw), mais “d’aller au-delà”. Car, analyse-t- il, “les Sénégalais aiment bien donner des indications sur l’éthique, “mais ne sont pas toujours pour les changements”. Pour lui donc, il s’agit d’un problème qui concerne tous les secteurs de la société sénégalaise. Le Président Sall de proposer une sorte de pacte pour un Sénégal nouveau en invitant les élites intellectuelles à “servir de relais pour construire un Sénégal meilleur”. Une entreprise qui ne saurait être aisée. “Si nous avons choisi la réforme, ce risque doit être assumé”, dira le Président Macky Sall qui a regretté en passant “l’absence de volontarisme des intellectuels” pour prendre en charge les problèmes de l’heure, qui constituent un frein au progrès et à l’émergence. Le chef de l’Etat a aussi relevé des pesanteurs d’autres types car, déroule-t-il, “chaque fois que nous voulons engager des réformes, il y a des résistances trop fortes”. Une situation qui peut être dépassée par un engagement plus ferme. Et cela implique, selon le Président, une maîtrise des procédures de prise de parole. Prenant exemple sur Money Express dont le Directeur général Maissa Niang faisait partie de la délégation, il a laissé entendre que les nouveaux leaders, qui ont fait leur preuve dans leur secteur d’activité, doivent prendre la parole. Le Président Sall a aussi relevé la concentration des ressources surtout financières entre les mains d’une minorité concentrée dans la capitale, alors qu’une écrasante majorité de Sénégalais, privés de salaires, n’a pas accès à ces ressources. C’est pourquoi, a-t-il dit les bourses familiales ont été affectées à ces Sénégalais pour qu’ils considèrent que l’Etat est aussi là pour eux. Sur un autre registre, le Président Sall qui revenait de la cérémonie de distribution des prix aux lauréats du concours général, a exprimé sa volonté de voir une seconde école, dans le même format que le Prytanée militaire, érigée par exemple au centre ou au sud du pays.
Source: EnQuête
Oui nous ne sommes pas encore prêts à accepter l’homosexualité comme changement; encore moins le mensonge, le népotisme et une justice aux ordres telle que la CREI qui bafoue les régles les plus élémentaires du droit comme systhème de gouvernance comme changement et last but no list la vassalisation de notre souvraineté à la France comme tu es entrain de le faire au vu et au su de tout le monde sans vergogne. Un président dont ses actes trahissent sa parole est mal placé pour donner des leçons.
Cela fait la deuxieme fois que cet incapable essaye de blamer les senegalais pour son imcompetence. Les senegalais n’aiment pas le changement, comment es-tu arrivè ici si les senegalais n’aiment pas le changement. Tu nous as promis la rupture et bien maintenant c’est un changement que tu prones.
Quel nullard. Nous ne te laisserons a point insulter tout le peuple senegalais.
2017 tu verras si les senegalis n’aiment pas changer.
Mediocre de president.