REPUBLIQUE DU SENEGAL
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Un Peuple – Un But – Une Foi
ministère de l’enseignement supérieur et de la recherche
COMMUNIQUE DE PRESSE
Date : le 17 août 2014
Les allocations d’études universitaires (bourses, aides, subventions pour les frais de thèse de doctorat ou de mémoire, etc.), avant tout paiement, doivent au préalable avoir fait l’objet d’une décision d’attribution signée par le Ministre en charge du sous-secteur de l’Enseignement supérieur.
Les décisions, une fois signées et enregistrées au niveau du Secrétariat général du Gouvernement, sont transmises par la Direction des Bourses aux différents intervenants dans la procédure de paiement des allocations d’études, en l’occurrence Ecobank qui, dans le cadre d’une convention d’externalisation, signée avec le Ministère de l’Economie et des Finances, datant de juillet 2008, avance les fonds qui lui sont remboursés par l’Etat.
Relativement au paiement en cours, l’audit du fichier de la Direction des Bourses a été à l’origine du retard accusé pour lequel, le Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche (MESR), dans un premier communiqué en date du 04 août 2014, avait sollicité la compréhension des étudiants afin de pouvoir déterminer les bénéficiaires, mais surtout les non ayants droit aux allocations d’études. Au terme de cet audit, un deuxième communiqué en date du 10 août 2014 saluant la patience et la responsabilité des étudiants annonçait le paiement des bourses dans la semaine du 11 au 15 août 2014.
Transmis au Ministère de l’Economie et des Finances (MEF) le lundi 11 août 2014 à 09h45 min, les états de paiements ont été reçus le jour-même à 17h à Ecobank qui a procédé aux opérations de contrôle durant les journées du mardi 12 et mercredi 13 août 2014.
L’alimentation des comptes des bénéficiaires a débuté le jeudi 14 août 2014 à 9h. Le nombre de comptes crédités (étudiants dont les comptes ont été alimentés) était de plus de 2 900 avant midi, il s’élevait à 25 000, 45 000 et 62 500 respectivement pour la journée du jeudi 14 août, du vendredi 15 août et du samedi 16 août 2014. Il est à noter que dès qu’un compte est alimenté, un SMS est envoyé sur le téléphone portable de l’étudiant concerné, l’informant de la disponibilité de sa bourse dans son compte à Ecobank. A la fin de la journée du vendredi 15 août 2014, plus de 11 000 étudiants avaient déjà retiré leur bourse.
Le Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche précise que le paiement en cours, en sus des 3 mois de vacances (juillet, août et septembre), porte également sur (1) les rappels des mois impayés pour les étudiants n’ayant pas perçu leur bourse, (2) les changements de taux et (3) une partie des subventions pour frais de Thèse et de Mémoire.
Tout en informant que les objectifs des différentes missions d’audit (IGF, IGE, audit du fichier des bénéficiaires d’allocations d’étude de la Direction des Bourses commandité par le MESR) du processus de paiement des bourses sont la sauvegarde des deniers publics, la transparence et l’équité, le Ministre de l’Enseignement supérieur et de la Recherche précise à l’attention de la communauté universitaire et de l’opinion publique, qu’à la date du dernier paiement (14 août 2014), 62 484 bénéficiaires d’allocations d’études ont été recensés dans les établissements publics d’enseignement supérieur. Leur répartition au niveau national ainsi que la chronologie des paiements se présentent comme suit :
Table de répartition des bénéficiaires d’allocations d’étude dans les universités publiques
UNIVERSITES | NOMBRE DE BOURSES RENOUVELEES |
Université Alioune Diop de Bambey | 1 856 |
Université de Thiès | 2 096 |
Université Cheikh Anta Diop de Dakar | 47 989 |
Université Gaston Berger de Saint-Louis | 6 358 |
Université Assane Seck de Ziguinchor | 3 026 |
Université virtuelle du Sénégal (UVS) | 1 159 |
TOTAL | 62 484 |
Montant payé et nombre de bénéficiaires par rubrique
CATEGORIE | NOMBRE | MONTANT (F CFA) |
PUBLIC | ||
Nouveaux boursiers | 15 318 | 28 111 468 000 F |
Renouvellements | 47 166 | |
INDEMNITES DE RESPONSABILITE ET STAGE RURAL | ||
Indemnités de responsabilité (FASTEF) | 2172 | 399 840 000F |
Indemnités de stage rural (FASTEF) | 787 | 30 894 000F |
Aides (nouveaux bacheliers) | 7370 | 442 200 000F |
PRIVE | ||
Nouveaux Boursiers privés | 02 | 502 000F |
Renouvellements | 2330 | 1 068 350 000 F |
SUBVENTIONS | ||
Subventions de mémoires | 2273 | 294 100 000 F |
TOTAL GENERAL PAYE | – | 30 347 354 000 F |
Chronologie des paiements
MOIS | MONTANT DES ETATS MENSUELS (F CFA) |
Décembre 2013 | 99 280 000 F |
Janvier 2014 | 444 038 000 F |
Février 2014 | 2 672 007 000 F |
Mars 2014 | 6 071 064 000 F |
Avril 2014 | 5 576 819 000 F |
Mai 2014 | 4 119 288 000 F |
Juin 2014 | 2 213 388 000 F |
Juillet 2014 | 9 151 470 000 F |
TOTAL GENERAL | 30.347.354.000F |
Contrairement à une opinion très répandue et selon laquelle les étudiants ne seraient pas payés depuis le début de l’année, il apparait clairement que les étudiants régulièrement inscrits, c’est-à-dire ceux ayant finalisé le processus d’inscription auprès de leur établissement universitaire respectif, ont commencé à bénéficier de leur bourse depuis le mois de décembre 2013.
S’agissant des nouveaux bacheliers, hormis les 7 370 ayant bénéficié d’une aide de l’Etat du Sénégal, le nombre d’attributions de bourses est passé de 12 117 en 2012/2013 à 15 318 pour le compte de l’année universitaire 2013/2014.
Contrairement à l’idée largement véhiculée selon laquelle le MESR est dans une optique de diminution, le nombre d’allocations d’études a connu une augmentation de plus de 26% en 2013/2014, comparativement à 2012/2013.
La mise en œuvre de la nouvelle politique des bourses a également permis le nettoyage du fichier de la Direction des Bourses où figurait un grand nombre de non ayants droit, nombre d’autant plus grand, compte non tenu des nouvelles attributions.
Ce sont plus 35 000 non ayants droit qui ont ainsi été retirés de la base de données des bourses. Parmi ceux-ci un grand nombre de boursiers du troisième cycle. Le préjudice annuel dépasse dix milliards.
Le MESR tient à rassurer que les procédures d’attribution des bourses et allocations d’études ont été effectuées dans le souci exclusif de l’équité et de la transparence conformément à la nouvelle politique des bourses.
C’est pourquoi il est demandé à tout étudiant se considérant omis par la mise en œuvre desdites procédures, d’envoyer à l’adresse mail suivante [email protected] une réclamation en précisant son prénom, nom, date et lieu de naissance, l’année d’obtention du bac, la filière suivie, le niveau d’étude ainsi que l’année de sa première inscription au dit niveau ; le tout accompagné d’une photocopie scannée de sa carte nationale d’identité. Une réponse relative à son statut d’ayant ou de non ayant droit lui sera donnée dans un délai de 72 h.
Dans le cadre de la mise en œuvre du système d’information et de gestion de l’enseignement supérieur et de la recherche (SIGESR), une application informatique dédiée à la gestion des bourses est en cours de développement. Elle sera disponible en fin octobre 2014.
Le Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche
Pourquoi ne pas titrer seulement » Ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche ». Xalimasn.com gagnerait mieux à être plus objectif dans le traitement de l’information.
« L’injustice est une mère qui n’est jamais stérile et qui produit des enfants dignes d’elle. »
Adolphe Thiers.
État de droit, gouvernance vertueuse, transparence, etc. à l’épreuve des faits.
« Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »
Un recteur, qui ignorait royalement l’autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l’Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d’une telle gravité qu’il ne doit certainement son « salut » (c’est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce à la transhumance du PDS à l’APR à la 25ème heure. Les « amis » avant la patrie.
LE RAPPORT D’AUDIT QUI MET À NU LA GESTION DE MARY TEUW NIANE
(rapport commandité conjointement par les ministères de l’Enseignement supérieur et de la Recherche et de l’Économie et des Finances, sur financement de la Banque mondiale)
sur ndarinfo
UGB-de-Saint-Louis-Le-rapport-d-audit-qui-met-a-nu-la-gestion-de-Mary-Teuw-Niane
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« Chaque fois qu’un homme défend un idéal, ou une action pour améliorer le sort des autres ou s’élever contre une injustice, il envoie dès lors une petite vague d’espoir. » Robert Fitzgerald Kennedy
Sauvons nos universités publiques du naufrage.
(leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen)
Malgré les moyens substantiels mis à la disposition de l’enseignement supérieur de notre pays, les résultats sont qualitativement et quantitativement loin des normes de l’UNESCO. Nos institutions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-elles pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.
Face à la démission de l’État, nos universités croulent sous le poids de dettes dues aux créanciers (banques, hôpitaux, Sonatel, Senelec, SDE, fournisseurs divers) et chaque corporation s’évertue à demander toujours plus pour « améliorer ses conditions d’existence » et parfois au détriment des intérêts de la communauté. Ainsi donc, la crise est donc une conséquence logique de l’inaction de l’État.
En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.
A l’État de faire l’état de la gestion de ceux qu’il a nommé, punir ceux qui se sont montrés indélicats et récompenser les autres, ensuite il serait facile de demander aux syndicalistes de faire preuve de mesure et enfin sévir dans le respect de la loi si de besoin. Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti.
L’État ne peut continuer à protéger et promouvoir ceux qui mettent à genoux nos institutions d’enseignement supérieur et jeter en pâture les syndicats. Je pense que les responsabilités sont partagées.
Des assises de l’Éducation avec ceux qui bloquent le système pour des raisons personnelles ou émotives ne serviraient à rien, je proposent des assises des anciens (Recteurs, Professeurs ou hauts cadres à la retraites) du système pour faire des propositions objectives. Il est souvent difficile d’être juge et parti.
Il n’est jamais trop trad pour bien faire un devoir citoyen.
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« Chaque fois qu’un homme défend un idéal, ou une action pour améliorer le sort des autres ou s’élever contre une injustice, il envoie dès lors une petite vague d’espoir. » Robert Fitzgerald Kennedy
«LA JUSTICE DOIT FAIRE LA LUMIERE SUR L’ARGENT INJECTE DANS L’ENSEIGNEMENT SUPERIEUR»
BIRAHIM SECK DU FORUM CIVIL
sur seneplus
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Publication 16/09/2013
Actuellement, la polémique fait rage entre le Saes et ministère de l’Enseignement Supérieur sur l’utilisation des milliards injectés dans l’enseignement privé pour l’orientation des bacheliers. Qu’est ce que cela vous inspire ?
Le Saes a tout à fait raison de demander des comptes au gouvernement sur l’argent injecté dans l’enseignement supérieur pour la prise en charge des bacheliers orientés dans les universités privées. Les dirigeant du Saes n’ont usé que des dispositions des articles 14 et 15 de la Déclaration des droits de l’Homme et des peuples qui fait partie intégrante du préambule de notre constitution qui prône la bonne gouvernance et la transparence. Il ne devrait y avoir même pas de polémique. Les autorités devraient même rendre compte avant que le Saes ne le demande. Les étudiants également doivent demander des comptes parce que les services sont pour eux.
De plus, mon étonnement est plus grand sur le silence affiché par le gouvernement par rapport aux différents audits publiés sur l’enseignement supérieur qui intéressent les autorités de l’enseignement supérieur et au plus haut niveau. C’est grave et inquiétant au moment où nous dit que l’Etat veut injecter 302 milliards dans le domaine de l’enseignement supérieur.
La justice traque des citoyens sénégalais et quand on produit des audits qui intéressent les membres du gouvernement ou des administrateurs, l’Etat ferme les yeux. Ce sont ces pratiques que les Sénégalais ont combattues. La justice sénégalaise doit également faire la lumière sur l’argent injecté dans l’enseignement supérieur. Les rapports d’audit sont là.
Cependant la Banque mondiale est également interpellée car il ne sera logique ni acceptable que de l’argent soit à nouveau injecté sans que la vérité ne soit connu sur les faits invoqués dans ces rapports d’audit sur l’enseignement supérieur.
Le Saes est bien dans son rôle et il appartient à l’Etat d’éclairer les Sénégalais si on veut avoir un enseignement supérieur de qualité dans un espace de sérénité et de lumière.
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« Ne l’oubliez jamais : celui qui laisse commettre une injustice ouvre la voie à d’autres injustices. » Willy Brandt
«MARY TEUW NIANE MENE LE PRESIDENT DROIT AU MUR»
SEYDI ABABACAR NDIAYE, SECRÉTAIRE GÉNÉRAL DU SAES
Oumar KANDE | Publication 23/08/2013
sur seneplus «mary-teuw-niane-mene-le-president-droit-au-mur »
« Seydi Ababacar Ndiaye, continuant son interpellation, demande quelle suite sera donnée à l’audit des universités où il a été noté une mauvaise gestion généralisée, «y compris la gestion du ministre actuel quand il était recteur de l’Ugb».
«Est-ce qu’on peut continuer à faire confiance à des dirigeants qui ont été épinglés par différents rapports ? IL Y A AUSSI UN AUTRE DOCUMENT COMMANDITÉ PAR L’ACTUEL RECTEUR DE L’UGB AU NIVEAU DE LA DÉLÉGATION POUR LA RÉFORME DE L’ETAT ET DE L’ASSISTANAT TECHNIQUE (DREAT), QUI ÉPINGLE LE MÊME MINISTRE.
Ce document à montré que l’actuel ministre de l’Enseignement supérieur, quand il était recteur à l’Ugb, son jeu favori c’était de créer des postes de responsabilité, de direction. Il en avait créé dix-neuf dans une petite université comme l’Ugb et il y avait des conséquences sur la masse salariale car tous ces directeurs avaient l’équivalent d’un million d’indemnité.
Ces manquements devraient édifier qu’il faut faire les bonnes enquêtes et prendre les individus qu’il faut pour les missions importantes.
Quelqu’un qui dirige une simple université et qui a ces types de comportement, on lui confie le ministère de l’Enseignement supérieur et de la Recherche. Il y a lieu de se poser des questions», a dit Seydi Ababacar Ndiaye. »
franchement !ce communiqué me parait utile
Pour moi aussi, ce communiqué est plus qu’utile. Il permet de comprendre la situation des bourses allouées aux étudiants, l’argent des contribuables sénégalais.
C’est vrai aussi que l’assainissement et les réformes sont toujours difficiles à appliquer.
Je crois que ce ministre est entrain de bien faire. Il faut quelqu’un comme lui pour continuer les réformes. Il est, et a toujours été du milieu. Il ne peut pas s’aventurer à saboter ce pourquoi il est nommé, à ce que je pense.
Qu’Allah amène, pour toujours, la paix au sein de nos universités, pépinières de nos futurs cadres et dirigeants.
Clair et Net! Que celui qui refuse de voir reste aveugle.
Sénégalais, mettons nous au travail!
C’est intéressant mais après la mort d’un étudiant ce n’est plus utile comme devrait l’être.
Franchement, en lisant ce communiqué, on voit que le gars(Mary Teuw) est entrain de travailler.
Bon après, le décès de l’étudiant est très regrettable. Mais, il faut le laisser bosser à mon avis.
Et aussi, ne plus laisser les forces de l’ordre à l’université.
La partisannerie ne joue pas. L’enseignement supérieur sénégalais est malade et peine depuis plusieurs années à retrouver sa stabilité et sa grandeur. On est à la mi-août et les programmes ne sont même pas achevés. Tous ceux qui avaient misé sur cette année pour entamer des études à un palier supérieur à l’extérieur se retrouvent donc hors jeu. Il ne s’agit pas de défendre ou soutenir l’actuel ministre qui a étalé ses limites et qui a misé le plus souvent sur l’image avec ses nombreuses sorties dans les médias pour montrer qu’il maitrise la situation. La gestion se fait sur le terrain dont les acquis et les résultats sont perceptibles au quotidien. Pas besoin de grandes données quantitatives pour s’attacher les faveurs de l’opinion. Les séminaires, assises, concertations, on en a assez. S’il faut passer tout son temps à faire ces rencontres, alors les générations actuelles peuvent dire adieu à leur avenir universitaire sauf si leurs parents (comme c’est le cas de ces ministres et autres privilégiés) les envoient à l’extérieur. Alors, il faut rectifier le tir tant au niveau de la conduite de la politique éducative actuelle que de la gestion des ressources. Et surtout, il faut rendre l’enseignement supérieur plus accessible car on ne peut pas sous les injonctions du FMI et de la BM (au passage, je voudrai bien savoir quel est le pays au monde qui a réussi à décoller économiquement suite aux ajustements et restrictions budgétaires imposées par ces institutions ) demander à l’Etat de limiter ou restreindre les dépenses dans ce domaine. Certains diront que les inscriptions sont plus élevées dans certains pays. Oui c’est vrai sauf qu’on oublie plusieurs paramètres comme la facilité d’accès au crédit pour les étudiants surtout dans les pays développés. En France ou dans certains pays scandinaves, ils misent davantage sur l’accessibilité même si des changements majeurs vont intervenir dès la prochaine année universitaire. Ne gaspillons pas nos ressources car ces jeunes devront être suffisamment outillés demain pour affronter les challenges et écartons toute dérive politicienne du champ universitaire.