Le préfet de Dakar a finalement interdit la manifestation prévue demain samedi, à laquelle outre Me Wade, himself, d’autres grosses pointures de l’opposition étaient annoncées.
Selon le préfet Alyoune Badara Diop, trois risques et pas des moindres fondent sa décision.
D’abord le risque de trouble à l’ordre public, ensuite celui d’entrave à la libre circulation des biens et des personnes sur un axe routier stratégique et enfin le dernier mais pas des moindres, le risque d’infiltration de la marche par des individus mal intentionnés.
Les libéraux et leurs partisans ne manqueront pas de réagir.
dakaractu.com
guisa guougnou dara li khamou sénégalais yi mousou gnou ko kham
Il faut savoir arreter ce cirque politicien et passer reellement au travail. Les senegalais commencent vraiment a en avoir marre de ces clowns politiciens. Je crois que le PDS et leur gang s’ils n’ont pas une once de respect pour les senegalais devraient au moins donner une peu de respect au Senegal.
Tous ces frustres,aigris,jaloux et mechants politiens sont pas idiots.Ils ont analyse les points que Macki a poses et savent qu,ils n,auront encore aucune chance en 2017.Leur seule arme reste maintenant le saboge et le desordre.Tous ces agitateurs savent que dans un an le leadership de Macki sera tres visible dans tous les secteurs.Le pays a bcoup souffert et le temps est venu maintenant pour exploiter les grdes ressources de ce pays malmenees jusque la par nos voraces dirigeants sans vertu ni vergogne.
nous ne sommes pas dans un pays dans de désordre,il ne faut pas manifester pour des interets personnels
C’est vrai que cela n’a pas commencer que sous Macky. Le sénégalais moyen a toujours soupçonné l’administration de travailler pour le parti au pouvoir et la justice d’être corrompu, mais jamais cela n’a été aussi flagrant. Et dans ce cas présent, mis à part la phase quand l’APR avait systématisé de programmer des contre manifestations face à l’opposition, au même lieu et à la même heure, il n’y a plus eu de manifestations de l’opposition avec troubles. Même les manifestations premièrement interdites par le préfet, puis autorisées en fin de compte, se sont déroulées sans aucune casse. Conclusion logique, la solution que le préfet devait adopter pour ne plus interdire une marche et être assuré qu’il n’y aura aucun trouble à l’ordre public, c’est de s’assurer que les militants de l’APR n’en feront pas parti.