Un commando rebelle taliban a attaqué mardi 16 décembre une école pour enfants de militaires à Peshawar, principale ville du nord-ouest du Pakistan, provoquant un carnage qui a fait 141 morts, dont 132 enfants.
La majorité des enfants auraient été tués d’une balle dans la tête, selon l’armée. 124 personnes, dont 121 enfants, ont également été blessés. Il s’agit de la plus sanglante attaque terroriste de l’histoire du Pakistan.
L’attaque avait débuté vers 10H30 locales (04H30 en France). Les combats se sont poursuivis une bonne partie de la journée dans l’établissement, où se trouvaient au départ près de 500 élèves.
Vers 14h30 locales (08H30 en France), trois des six assaillants avaient été tués, dont l’un en faisant exploser la bombe qu’il portait sur lui, a indiqué Pervez Khattak, chef du gouvernement de la province dont Peshawar est la capitale. Plus tard, deux responsables de la police locale ont indiqué à l’AFP que l’attaque s’était terminée et que tous les assaillants étaient morts après sept heures d’affrontements.
« Ils ont l’ordre de tirer sur tous les étudiants adultes »
L’assaut a été revendiqué par le Mouvement des talibans du Pakistan (TTP), principal groupe rebelle islamiste du pays, pour venger l’offensive militaire en cours dans ses bastions des zones tribales proches de Peshawar, a indiqué à l’AFP Muhammad Khurasani, un porte-parole des insurgés. « Nous l’avons menée après une enquête qui a indiqué que les enfants de plusieurs haut responsables de l’armée étudient dans cette école », a-t-il expliqué.
« Cette attaque est une réponse à (…) la vague d’assassinats perpétrée contre les talibans et au harcèlement de leurs proches », a précisé le porte-parole. « Ils ont l’ordre de tirer sur tous les étudiants adultes mais d’épargner les enfants, même si ce sont ceux du (chef de l’armée le) général Raheel Sharif ou (du Premier ministre) Nawaz Sharif ».
Il s’agit de l’attaque la plus sanglante perpétrée par le TTP, proche d’Al-Qaïda et qui combat le gouvernement depuis 2007, et l’une des plus fortes symboliquement car visant des enfants de ses ennemis soldats et officiers. Celle-ci a débuté lorsque cinq ou six talibans déguisés en militaires ont pris d’assaut l’école, située dans les faubourgs de la ville et à la lisière des zones tribales, selon des sources concordantes.
« Il y a eu des échanges de tirs (…). Les troupes ont bouclé la zone et traquent les assaillants rebelles », avait annoncé à l’AFP un responsable militaire local. « Beaucoup d’élèves et de professeurs ont été évacués », avait-il ajouté sans préciser combien étaient encore prisonniers des combats.
Assaillants déguisés en soldats
« L’un des talibans a crié: ‘Il y a un tas d’enfants cachés sous les bancs, allez les chercher » pour les exécuter, raconte, encore horrifié, un jeune rescapé de l’attaque, cité par l’AFP. Alité à l’hôpital Lady Reading de Peshawar, Shahrukh Khan, 16 ans, assistait à une formation sur les choix de carrière dans l’auditorium de son école.
« Quelqu’un a aussitôt crié de nous coucher par terre et de nous cacher sous les pupitres », souffle-t-il. Les insurgés ont ensuite crié « Allahou Akbar » (Dieu est grand, ndlr) avant d’ouvrir le feu sur les enfants. Couché au sol en faisant semblant d’être mort, Shahrukh a vu des bottes noires se rapprocher de lui, un taliban traquant les étudiants sous les bancs. Puis, un insurgé lui a tiré des balles dans les deux jambes, juste au dessus des genoux. L’adolescent s’est mordu de douleur.
« J’ai retroussé ma cravate, et l’ai mise dans ma bouche pour ne pas crier. L’homme aux grosses bottes, lui, continuait de cribler de balles les étudiants. Et moi, j’étais étendu sur le sol, les yeux fermés, attendant d’être à nouveau fusillé », confie-t-il. « Mon corps tremblait, j’ai vu la mort de si près, je n’oublierai jamais ces grosses bottes noires, c’était comme si c’était la mort elle-même me traquait », dit-il encore tremblant.
Après leur départ, « je suis resté couché au sol quelques minutes. Puis, j’ai tenté de me lever mais je suis aussitôt retombé à cause de mes blessures », dit Shahrukh, son père, un commerçant, le consolant. « J’ai rampé jusque dans la salle de classe à côté. C’était horrible! L’assistante de bureau était là, assise sur sa chaise, le corps ruisselant de sang et qui brûlait ».
« Lorsque j’ai repris mes esprits, j’étais couché dans un lit », à l’hôpital Lady Reading, où le personnel médical a appelé la population à donner d’urgence du sang pour tenter de sauver des blessés, termine Shahrukh Khan.
huffpost.fr
atude scientifique propose une explication au miracle de la mer Rouge décrit dans le livre biblique de l’Exode. Selon les conclusions, le phénomène de la séparation des eaux pourrait être lié à l’intervention d’un fort vent d’Est.
Pour les non-croyants, les miracles décrits dans la Bible sont de l’ordre de la fiction ou de la métaphore. Pour Carl Drews et son équipe, en revanche, l’un de ces prodiges se serait bien réellement passé. Le chercheur s’attèle en effet depuis des années à l’étude de la division des eaux de la mer Rouge survenue lors de l’épisode de la sortie d’Égypte et décrite dans le livre biblique de l’Exode.
Selon ses conclusions, le phénomène pourrait bel et bien être explicable grâce aux lois de la physique. Pour en arriver là, le chercheur en ingénierie informatique a mené de nombreux travaux qui ont débuté il y a longtemps alors qu’il était encore étudiant en master et oeuvrait à sa thèse de fin d’étude. Par la suite, le modèle scientifique mis au point par ses soins a été révisé et peaufiné.
Les résultats qui en découlent ont d’ailleurs fait l’objet d’une publication dans une revue scientifique. Si la capacité de Moïse à diviser les eaux de la mer Rouge peut être remise en question, l’évènement lui, aurait donc bien pu se produire, grâce à des conditions météorologiques très particulières.
Un vent très puissant
Les conclusions de l’étude de Carl Drews suggèrent la possibilité qu’un fort vent d’est pourrait être à l’origine du phénomène. C’est cette violente bourrasque survenue durant toute la nuit de la sortie d’Égypte qui pourrait avoir conduit à faire reculer les flots. « Les simulations collent assez étroitement au récit de l’Exode », déclarait il y a quelques années, Carl Drews qui travaille au National Center for Atmospheric Research (NCAR).
Quand les grandes puissances : Etats-Unis d’Amérique , Russie, Japon, Allemagne et le Mexique pour l’histoire prendront ja décision de nous révéler enfin que d’autres civilisations plus développées existent depuis des millions d’années sur d’autres planètes, les musulmans seront sans voix !