L’ambassade du Canada à Dakar a procédé hier, au financement de 20 projets dont 11 pour Sénégal, pour un coût de 185 millions de Francs pour les organisations qui défendent les droits des LGBT (Lesbienne, Gay, Bisexuel et Transsexuel). Il s’agit entre autres de l’association « Sourire de femme » de Ndèye Kébé, de « And Liguèye Saloum » de Mamadou Ndiaye…
Lors de la cérémonie de signature des accords de contribution qui s’est tenue dans l’enceinte de la représentation diplomatique, un homosexuel sénégalais, dont l’association a bénéficié d’un financement pour mener des “ateliers pour combattre l’infection des VIH au niveau de la communauté LGBT”, a fait en public quelques confidences.
Ainsi, Mamadou Ndiaye, porte-parole des 4 homosexuels venus du Saloum qui auront la charge de mener des ateliers pour la lutte contre le VIH Sida dans cette communauté, l’homosexualité est bien réelle et on ne l’est pas par hasard. “L’homosexualité existe. Si je le pratique aujourd’hui, rien ne montre que ce n’est pas le chauffeur qui m’emmenait chaque jour à l’école qui couchait avec moi, ou si c’est l’enseignant, après chaque cours, qui me faisait l’amour”, confie-t-il. L’homo, très relax, continue son speech… “Aujourd’hui, même mon père ne sait pas que son fils est en train de coucher avec des personnes de même sexe”. En plus de cette association, une autre organisation de femmes a aussi bénéficié d’un financement du Fonds canadien. Cette organisation va aussi mener un projet sur la création d’un meilleur respect des droits des personnes avec une considération particulière à la communauté LGBT.
Toutefois, renseigne le journal Enquête, un petit incident est survenu juste à la fin de la signature des accords de contribution. Pendant que l’homosexuel faisait ces “confidences”, une personne a pris des photos dans la salle. Mais il fallait voir comment la représentante d’une association des femmes l’a sommée de supprimer les photos ou vidéos prises. “Madame, vous n’avez pas le droit de nous filmer ou de nous prendre en photos. Nous sommes très exposés. Il faut que tu effaces tout”, ordonne-t-elle. Face à son insistance, la dame a fini par se plier en supprimant tous les enregistrements.
EnQuête
Un site internet en Suède pour dénoncer les touristes sexuels
AFP 16 décembre 2014 à 11:56
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Des travailleurs du sexe attendent les clients dans un bar de Bangkok, en septembre 2006. (Photo Pornchai Kittiwongsakul. AFP)
Le pays a été le premier Etat au monde, en 1999, à faire de «l’achat de services sexuels» un délit. Désormais, les Suédois pourront signaler les activités suspectes de leurs compatriotes.
La police suédoise a annoncé mardi le lancement d’un site internet permettant de dénoncer les Suédois qui achètent à l’étranger les services de mineurs prostitués. Resekurage.se (une contraction de «voyage» et «courage») sensibilise le grand public à la loi qui dans le code pénal punit ce délit de deux ans d’emprisonnement. Un clic sur «Dénoncer l’exploitation sexuelle présumée d’enfants» renvoie vers une page internet de la police où tout citoyen est invité à décrire un Suédois qu’il aurait vu sur son lieu de vacances avec un ou une mineur(e) dans l’intention manifeste d’avoir des rapports sexuels.
«Seul un Suédois sur dix sait comment faire part de tels soupçons aux autorités», ont souligné les promoteurs du site, dont le directeur national de la police, Bengt Svensson, dans une tribune publiée par le quotidien Aftonbladet. La Suède a été en 1999 le premier pays au monde à faire de «l’achat de services sexuels» un délit, qui en pratique est puni d’une amende. Selon les universitaires et les sondeurs qui ont étudié les effets de cette loi, elle a radicalement changé la perception de la prostitution dans le pays, les clients étant mal vus par la majorité de la population.
Mais la Suède cherche à aller plus loin en traquant les touristes sexuels qui paient des mineurs dans des pays où ils savent qu’ils peuvent en trouver. «Personne ne sait exactement combien d’enfants dans le monde sont victimes chaque année d’exploitation sexuelle, mais l’Unicef a estimé il y a quelques années qu’ils étaient environ deux millions. Il n’y a aucun doute que des Suédois en profitent aussi et alimentent ce marché», a écrit Svensson. D’après l’agence de presse TT, au moins sept Suédois ont été condamnés pour ces faits entre 2005 et 2013, que ce soit dans le pays concerné ou à leur retour en Suède.
AFP
Des représentations étrangères qui incitent des personnes et des associations à violer les lois du pays. Imaginons le contraire !
On va tous les tuer c homosexuels et c’est soit disant défenseur des droits humains le djihade est lancé au senegal et croyez moi ne vous étonner pas si ya des bombes qui explose dans dk. Morts à tts les homosexuels