Las de l’emprisonnement de son fils, Me Abdoulaye Wade est apparemment décidé a passé à une vitesse supérieure dans son combat pour la libération de son fils Karim. Il y a quelques jours, lors de la manifestation interdite de son parti, le PDS, par le préfet de Dakar, il a Foncé à bord d’une voiture sur un barrage policier. Comme si cela ne suffisait pas il a menacé d’appeler ses militants à marcher sur le palais. Conséquence d’une sénilité ou résultat d’une stratégie savamment calculée?. La question a été très largement abordée. La première hypothèse de réponse est à écarter. En effet à entendre Wade dans ses interview et ses déclarations dans les manifestations, toutes frappées d’une cohérence parfaite dans le résonnement, on ne peut guère douter de la bonne santé mentale du Pape du Sopi. Reste la deuxième hypothèse. La plus probable. En effet ce qui est maintenant certain c’est que Me Abdoulaye Wade, complètement en
désespoir de cause, est dans une stratégie délibérément suicidaire. ça passe ou ça casse semble être désormais son crédo de combat. Des actions et des verbes tous belliqueux, qui n’en finissent pas encore de susciter interrogations et inquiétudes dans la population du sénégal, mais qui mettent en exergue toute la détermination de l’homme. Wade refait du Wade. L’ancien président de la république du Sénégal et non moins secrétaire général du parti Démocratique sénégalais (PDS), parti d’opposition, est dans ce qu’il adore le plus. Se rebeller contre le pouvoir. Se battre contre le pouvoir. Et cette fois son combat n’est ni motivé par la lutte contre la misère du peuple ni par le déficit démocratique mais à quelque chose de très sensible. Le lien paternel. Son fils, son unique garçon, est en prison. Wade connaît trop bien le peuple sénégalais. Emotif, très religieux, prêt à oublier, à pardonner. Wade entend bien surfer
sur la corde sensible de ce peuple en s’attirant sa pitié, lui vieillard de 90 ans, la démarche forment érodée par l’âge, un âge qui ne court pas les rues au Sénégal, qui se bât comme un diable contre le pouvoir, qui manifeste dans la rue bravant faim et fatigue, la voix aphone, est conscient de la place qu’oocupent les vieillards dans le coeur des sénégalais. Entre Wade et Macky c’est commmunication contre commmunication. Il faut l’avouer à l’état actuel de la bataille de communication c’est wade qui a une longueur d’avance sur Macky Sall. Du fait d’un plan de communication apparemment bien élaboré c’est lui qui est au coeur de l’actualité, fait la Une des journaux, est devenu le seul centre d’intérêt des éditoriaux, des sujets de reportages et autres simples discussions des grand-places. Bref, il focalise l’attention des média et de la population et entend en profiter pour bien faire passer ce qu’il considère, à tort bien sûr,
comme une injustice contre celui que la presse surnommait, du fait de sa super puissance, le ministre de la terre et du ciel, Véritable bête politique, il excelle dans l’art du forcing, se rendre incontournable, mettre le pouvoir en situation d’affaiblissement en l’acculant pour ainsi disposer des clès du dialogue. Ainsi s’est construit tout l’édifice de son parcourt politique. Obliger toujours le président à discuter, à dialoguer avec lui. Le premier président du Sénégal, Léopolod Sédar Senghor l’avait surnommé, à juste titre, Ndiombor, du nom de cet animal réputé très malin dans les contes de certaines ethnies sénégalaises. Homme politique averti Senghor avait bien compris qui est l’homme. Abdou Diouf, deuxième président du Sénégal, en a golûté de sa malice. C’est sous son ère que l’état du Sénégal a connu son premier entrisme. Dans un souci d’appaisement du climat socio-politique d’alors en effervescence graduelle Abdou
Diouf a été amené à négocier avec le redoutable opposant Me Abdoulaye Wade. Jean Paul Dias a parfaitement raison quand il dit que : » wade veut destabiliser le pays avec les méthodes de 88″. Mr Dais à l’époque fidèle lieutenant de Wade sait de quoi il parle. En 88 Wade avait contraint Abdou Diouf à négocier. Des négociations qui avaient débouché sur l’entrée au gouvernement de Me Wade et de certains de ses prinicipaux lieutenants de l’époque. On avait ainsi assisté à un partage du pouvoir qui ne dit pas son nom. Du partage du pouvoir c’est bien l’idée que se faisait Me Wade de son entrisme au gouvernement, lui qui s’estimait alors être capable de faire chuter le pouvoir par un seul mot d’ordre à des militants dévoués jusqu’à la déraison à sa cause. Oui nous ne sommes pas en 88, les contextes ont changé, entre temps il y a eu l’émergence de nouveaux acteurs politiques et de nouvelles générations politiquement plus matures.
Une donne qui apparemment n’échappe pas à wade. C’est son plan de communication qui le démontre. Wade a bien maillé le terrain. Il a fait intervenir le khalif général des mourides, Serigne Sidy Mokhtar, dans la libération de son fils. Après l’emprisonnement de son fils, en 2012, il ne s’est pas fait entendre, laissant la tâche aux responsables du PDS. Dans sa communication il pourrait mettre en avant ces élements fondamentaux de son aspiration à la paix pour accuser Macky Sall de faire fi de la parole du Khalif général des mourides, et d’acharnement sur son fils. Le procès de Karim commence à durer, et l’opinion sénégalaise commence à se diviser sur les raisons véritables de l’arrestation de Karim wade.
Abdoulaye Mbodji
Journaliste
Monsieur
Ton article partisan n’aucune valeur, ne serait que pour les sourds aveugles. Tu n’aimes pas le senegal et tu n’es pas un patriote. A cause des « Nafekhs » comme vous le Senegal ca-kanam de Tounkara est bloque.
Justifie toi, les biens de Macky fonctionaire,
milliardaire.
ela n’existe dans aucun pays au monde, faisle tour du monde, les usa, le canada, la france vous ne verrez jamais un fonctionnaire, se tailler une fortune de 15 millions de dollars en 7 ans ou meme 10 ans.
bande d’opportunistes qui reculent le senegal.
Mister Mbodji
La toute derniere phrase devrait etre le debut de ta contribution si vraiment tu est anime par la volonte de dire la verite.
Wade fait intervenir le khalife dans le dossier de son fils quel gros mensonge de ta part franchement tres devecevant.Le khalife est monte au creneau pour demander a karim d’arreter sa greve de la faim,il est alle bcp plus loin en disant ceci: Karim est mon talibe et mon fils cest son pere qui me la confie.Mais ce qu’ilyavait de tres particulier dans la reaction du khalif chose qui ne s’est jamais produite avant cest de dire que toutes ces accusations sont fantaisistes cet cela quelques semaines avant la sortie de Wade.mais cest donc Wade qui l’invite des semaines apres sa reaction.
Tu dis que le combat de wade n’est pas motive par le deficit democratique donc tu le reconnais en passant.Et son fils ne sera pas l’agneau du sacrifice de ce deficit democratique qui confisque la liberte des citoyens pour des bassesses politiques.Si on a pas le courage de defendre le droit pour tous il faut la fermer pour de bon.Tu n’est ni credible ni intelligent et tu n’honore pas la corporation des prostitues de ton genre comme Madiambale ont finis de polluer l’espace.Si tu dois parler adresse toi a ton Charlot de president qui apparement se bouche les oreilles et ne veut entendre la verite endormis qu’il est par des valets et leches culs de ton genre.Le reveil sera brutal.
Alboury Ndaw vient de confirmer tout le mal qu’on pensait de lui,c’est a dire un faussaire menteur devant l’eternel il nya qu’au senegal de Macky que de tels comportements peuvent exister
Sans documents comptable ce cretin insiste sans gene sa seule source reste des rumeurs alimentees par ses salpiteurs.de l’argent verse dans les comptes de DP World Bissau qui n’a jamais existe.une fraude operee par DP World pour karim de quoi creer un incident diplomatique avec les emirats
tout ca juste pour abattre wade et son fils
Tu oses denoncer la fixation de Wade sur son fils comme si le Macky ne fait pas pire au risque de plonger le pays dans une situation difficile.
Abdoulaye Mbodji t’es tout sauf un patriote Tchimmm
Si au moins les apéristes s’entendait sur une orientation de leurs mensonges à répéter par les textes des Abdoulaye Mbodji. Mais on voit les Cheikh Kanté choisir le thème de mensonge d’un suicide de Wade (soutenu par la littérature des Abdoulaye Mbodji) et ailleurs des Alioune Fall choisir le thème d’un deal proposé par Wade que Macky aurait refusé, ce qui le met en colère. Le menteur, disent les oulofs, finit par se toucher les fesses et nier qu’elles sont siennes.
Revisons ici, les variations d’humeurs d’Abdoulaye Mbodji, des mensonges qui finissent par un désespoir total:
Le PDS survivra-t-il ?
Wade a bâti sans assainir, Macky assainit avant de bâtir
Çà suffit les polémiques. Au boulot.
Pourquoi les chances de réélection s’amenuisent.
Le pauvre a fini par se dire que si les chances de réélection s’amenuisent c’est sûrement parce que ses logorrhées n’ont pas accroché. Alors, il redouble d’ardeur.