spot_img

[Vidéo] « Diiné ak Jamono » du jeudi 4 juin 2015 – ONU – Sénégal: Qui fait la loi sur l’affaire Karim?

Date:

[Vidéo] « Diiné ak Jamono » du jeudi 4 juin 2015 – ONU – Sénégal: Qui fait la loi sur l’affaire Karim?


3 Commentaires

  1. Eux aussi ils n’ont qu’à aller payer des lobbys (je le dis pour le suivre dans son mensonge). Peut être que dans cette lettre-ci, Sidiki Kaba se payait un lobby.

    http://www.dakaractu.com/Quand

    Rappel.

    Un PM banque-mondialisé, formaté étasusien, le Sénégal un peu plus dans le giron de Babylon.
    Maintenant, il est clair que les ministres qui ont perdu les élections sont limogés et ceux qui ont gagné sont promus. Notez qu’aucun ministre n’a été promu pour avoir fait une bonne gestion de son ministère. Notez qu’aucun ministre n’a été limogé pour avoir eu de mauvais résultats de gestion. Ils ne sont, donc, pas sanctionnés positivement ou négativement par rapport à leur travail dans le poste qui leur était confié, par rapport à ce qu’ils ont fait pour la république. Mais ils sont sanctionnés positivement ou négativement selon qu’ils gagnent ou perdent des élections, donc, selon ce qu’ils ont fait pour leur parti. Cela s’appelle « la patrie avant le parti ». Il ne faut pas oublier que nous sommes dans une république de « rupture » et de « bonne gouvernance ». Maintenant, la messe est dite par Macky, n’attendez rien des nouveaux nommés. Ne nous tympanisez pas avec les listings de leurs diplômes. Macky a dit que le diplôme n’a aucune importance, on leur demande de savoir mobiliser des votants. Dans quelques jours le nouveau PM viendra nous bassiner de son discours de politique générale. Ce sera un hors sujet. Oui parce que le programme, il ne le dira pas dans son discours devant l’assemblée. Le programme Macky vient de le décliner très clairement: gagner. Point, barre. Le programme sera d’abandonner les ministères pour s’investir sur le terrain dans la recherche de militants. Le programme sera d’utiliser le budget de son ministère pour l’achat de militants. Voilà ce que Macky avait dit et c’est ce qu’il a fait. Et bizarrement nos médias et nos intellectuels le prennent comme si c’était une chose normale en soi. Alors qu’il y a là la plus grande connerie politique de l’histoire du monde. Et cela se comprend, le monde des médias, le monde de la forge de fabrique d’opinion, continue d’être promu. Jules Diop et Yakham Mbaye dans le gouvernement. Pour quelle compétence ? Non seulement il n’y en a pas besoin pour ce gouvernement, mais ensuite ils sont experts en répétition de mensonges médiatiques. J’ai dit, dés le début, que Macky est obligé de faire avec ces gens là. Parce que ce pouvoir continue de croire à l’utilité du mensonge. Tant que Macky sera entouré de ses experts en répétition de mensonges, tant qu’il continuera de croire en l’efficacité de leur travail sur les cerveaux, il ne sentira jamais l’obligation de faire des résultats. C’est pas obligatoire. Il se dit quel que soit ce qu’il fera, il a une presse pour le faire apprécier. C’est ce qui explique qu’il ose ouvertement dire, sans honte, qu’il limogera ceux qui ne gagneront pas des élections, même s’ils font des prouesses pour le pays. Il a une presse pour bien présenter la connerie.
    Mame Mbaye Niang à la jeunesse ? Voilà quelqu’un qui fait un aveu dans une télévision publique, un aveu qui, s’il était fait, dans n’importe quelle autre république du monde, l’avouant aurait été convoqué par le procureur ne serait ce que pour sauver les apparences de la république. Mais le Sénégal étant dirigé par un Macky Sall, Mame Mbaye peut avouer être l’un des responsables du Feu et Sang qui a fait 14 morts, et obtenir un poste de ministre de la jeunesse. Il peut en profiter pour fabriquer beaucoup de bruleurs de pneus. On comprend aussi que l’immunité de Barthélémy ne sera pas levé de sitôt.

    http://www.seneweb.com/news/Po

    Les mourides ont l’habitude de conter une anecdote sur Sérigne Fallou. A un politique qui avait mal agi de lui, il avait dit qu’il le regrettera. Mais les talibés continuaient de revenir pour lui dire que son politicien, au lieu de regretter, continuait d’avoir des promotions. Et Sérigne Fallou de dire; « Mais laissez le monter, sa chute n’en sera que plus dure ». Alors, nos Barthélémy, nos Mame Mbaye peuvent continuer d’avoir des promotions, puisque c’est Macky qui dirige, mais, billahi, ils chuteront dure. Parce qu’ils ne se battent pas contre les victimes du Feu et Sang, mais contre Allah.
    Le nouveau gouvernement de Macky est installé, il est impossible qu’il réussisse.

  2. Quand Sidiki KABA saisissait le même Groupe de Travail des NU sur la Détention Arbritraire pour faire libérer les prisonniers d’ALQUAEDA de Guantanamo
    Le Ministre Sidiki KABA qui attaque aujourd’hui le Groupe des Nations Unies sur la Détention Arbitraire oublie sûrement que lui même en tant qu’ancien Président de la FIDH, saisissait ce même Groupe pour la libération des prisonniers d’Alquaéda détenus dans la prison de Guantanamo.
    Voici la lettre et son lien sur le site de la Fidh…

    Quand Sidiki KABA saisissait le même Groupe de Travail des NU sur la Détention Arbritraire pour faire libérer les prisonniers d’ALQUAEDA de Guantanamo

    A Monsieur le Président- Rapporteur
    Groupe de travail sur la détention arbitraire
    Haut Commissariat des Nations Unies pour les droits de l’Homme
    Objet : Détention arbitraire des membres présumés d’Al-Qaida sur la base de Guantanamo bay
    Monsieur le Président,
    La Fédération internationale des ligues des droits de l’Homme (FlDH) souhaite saisir le Groupe de travail sur la détention arbitraire, concernant la situation des personnes détenues dans la base américaine de Guantanamo Bay, dans le contexte des enquêtes et des opérations déclenchées à la suite des attentats du 11 septembre 2001.
    Recensés au nombre de 158 à ce jour, l’identité de chacun de ces détenus n’est pas connue. Leur nombre pourrait encore s’accroître : selon les déclarations des autorités américaines, la base de Guantanamo Bay aurait été aménagée pour recevoir 2000 détenus. L’ensemble de ces détenus sont  » présumés coupables  » d’appartenir à l’organisation terroriste AI-Qaida ou d’avoir soutenu ce réseau par le biais de leur participation au régime des Taliban. Capturés, pour la plupart, sur le territoire afghan, ils ont ensuite été transférés sur la base américaine de Guantanamo Bay à Cuba. La FIDH souhaite attirer l’attention du groupe sur le caractère arbitraire de leur détention
    En effet, selon les autorités américaines ces détenus ne sauraient être considérés comme des prisonniers de guerre. Sans qu’elles qualifient pour autant juridiquement le statut de ces détenus autrement que par une expression inconnue du droit international (battlefield detainees) et alors que la FIDH a toutes les raisons de craindre que ces personnes ne se soient pas vues notifier les motifs de leur détention ni les charges pesant contre elles, la FIDH ne peut que souligner combien la détention de ces personnes n’est fondée sur aucune base juridique. Pour ces motifs, leur détention doit être considérée comme arbitraire au titre de la catégorie I définie par le Groupe de travail.
    En outre, selon les informations diffusées par les autorités américaines, les détenus seraient enfermés dans de petites cellules avec côtés grillagés (grillage de fils métalliques entrelacés en losanges), sol en béton et toit en métal. Deux couvertures seraient mises à leur disposition : une pour dormir et une pour prier. Les cellules n’offrent qu’un abri insuffisant contre le vent et la pluie. Les détails sur les installations sanitaires et hygiéniques ne sont pas disponibles. Des photographies rendues publiques par le Department Of Defence des Etats Unis montrent les détenus maintenus dans des positions inconfortables, menottés, munis de baillons, de lunettes noires et de bouchons d’oreilles. Ces privations sensorielles et les informations sur leurs conditions de détention prouvent un traitement inhumain et dégradant, en violation des Principes premier et sixième de l’Ensemble des principes pour la protection de toutes les personnes soumises à une forme quelconque d’emprisonnement.
    Selon le Gouvernement américain, certains de ces détenus relèveraient des  » commissions militaires « , tribunaux d’exception créés pour l’occasion, et qui par leur nature même, ainsi que l’ont affirmé à de nombreuses reprises la Commission et le Comité des droits de l’Homme, et au regard des rares et préoccupantes informations dévoilées concernant leurs modalités de fonctionnement, emportent violations graves du principe d’indépendance du pouvoir judiciaire et du droit à un procès équitable. Ceci confère à leur détention un caractère arbitraire au titre de la catégorie III au Groupe de travail.
    Les autorités américaines mettent en avant les garanties suivantes dont les prisonniers devraient pouvoir bénéficier. Initialement inexistant, un processus proche d’une commission d’appel devrait être introduit. Après le jugement, un comité de trois personnes examinera le verdict et les requêtes de la défense. Il transmettra ensuite ses recommandations au ministre de la Défense. La décision finale quant au verdict appartiendra alors au président Bush en personne.
    Autre information, en sus des avocats militaires commis d’office, les inculpés pourront se faire assister par des avocats civils. Enfin, le public et les journalistes pourront assister aux audiences. Les séances ne se dérouleront à huis clos que dans les cas où des informations jugées  » secret défense  » pourraient être révélées.
    Sur l’application de la peine de mort, si elle n’est pas écartée, l’administration américaine a notifié que les jurés militaires devront se prononcer à l’unanimité pour décréter la peine de mort. Initialement, il suffisait que les deux tiers d’entre eux se prononcent pour la peine capitale pour que celle-ci soit validée.
    Enfin, des observateurs consulaires et des représentants du Comité international de la Croix Rouge ont accès aux détenus.
    Néanmoins, aucune des précisions ainsi fournies ne confère aux détentions visées par la présente un caractère régulier aux regard des conditions de légalité de détention reconnues par les normes internationales et opposables aux Etats-Unis d’Amérique.
    En conséquence, la FIDH prie le Groupe de travail de considérer de manière urgente la situation des détenus de Guantanamo Bay, afin d’examiner le caractère arbitraire de leur détention.
    La FIDH estime que le Groupe de travail est fondé à entamer une procédure d’action urgente, afin de pouvoir réagir de manière adéquate aux allégations de traitements inhumains et dégradants
    Elle prie également le Groupe de travail de demander au Gouvernement américain de pouvoir effectuer une visite in situ, afin de procéder à une expertise indépendante et impartiale sur la situation des personnes détenues dans le camp de Guantanamo Bay, s’agissant de l’illégalité manifeste de cette détention et des conditions de celle-ci.
    Vous remerciant de l’attention et des suites que vous voudrez bien réserver à la présente, nous vous prions d’agréer, Monsieur le Président, l’expression de notre considération très distinguée.

    Sidiki Kaba

  3. cessons de régler nos avis uniquement par rapport à notre posture du moment!merci à Walf d’aider les sénégalais à comprendre et à se faire une opinion personnelle sur les problèmes de l’heure!

LAISSER UN COMMENTAIRE

S'il vous plaît entrez votre commentaire!
S'il vous plaît entrez votre nom ici

spot_img

DEPECHES

DANS LA MEME CATEGORIE
EXCLUSIVITE