Aïda Mbodj n’est plus la président du Conseil départemental de Bambey. La responsable libérale vient d’être démise de ses fonctions.
C’est la Rfm qui donne l’information en exclusivité. Selon cette source, le ministre de l’intérieur a notifié à la responsable libérale cette décision qui aurait pour motif le cumul des fonctions de conseiller municipal et conseiller départemental par la libérale.
Des responsables politiques de Bambey avaient dénoncé il y a quelques semaines cette irrégularité.
senego
En plus de son statut de député , au total trois mandats électifs
tout ca c’est de l’hacharnement ctre Aida mbodj.Vs pensez que les senegalais sont amnestiques raplez-vs Aliou sall en 2014.Macky n’a pas fait ca pour Aida mbodj mais il l’a fait pour contrer la pop de bambaye qui a porte aida ala tete de leur departement.tata Aida tte la pop de ngayene sabakh est derriere vous.Daouda cisse alias mbe2.Tata ndam rek ca kaw ca kanam.Je suis tres tres fier de vs
C’est à elle que devrait revenir le choix du mandat à occuper et non à l’Etat ! Où va le Sénégal ?
On voit bien que s’il ne tenait qu’a l’etat ; aucun opposant n’aurait un gagne-pain au SENEGAL . Que c’est triste : affamer les gens ou faire planer au dessus de leurs tetes des sanctions pour les emmener a etre de ton cote ; quelle merde !!!!!
LOI N° 96-11 DU 22 MARS 1996
L’assemblée nationale a délibéré et adopté en sa séance du lundi 5 février 1996 ;
Le Conseil Constitutionnel a déclaré conforme à la Constitution ladite loi, en sa séance du 18 mars 1996 ;
Le Président de la République promulgue la loi dont la teneur suit :
Article premier
. Nul ne peut cumuler plus de deux mandats électifs.
Est considéré comme un seul mandat celui du Maire ou du membre du Conseil de la commune d’arrondissement représentant cette commune au Conseil municipal de la ville.
Article 2
. La fonction de président de Conseil régional est incompatible avec les fonctions de :
-Président de l’Assemblée nationale ;
-Président du Conseil économique et social ;
-Ministre ;
-Président de comité de communauté urbaine ;
-Président de Conseil d’administration d’une société nationale ou société anonyme à participation publique majoritaire ;
-Directeur de société nationale ou société anonyme à participation publique majoritaire ;
-Directeur d’un établissement public ;
-Directeur d’administration centrale ;
-Maire ou président de Conseil rural ;
-Ambassadeur.
Article 3
. Tout citoyen investi d’un mandat électif ou nommé à une fonction le plaçant dans un des cas d’incompatibilité visés par les articles premier et 2 de la présente loi, dispose d’un délai de trente jours à compter de la date de l’élection ou de la nomination pour démissionner du mandat ou de la fonction de son choix.
En cas de contestation, le délai visé à l’alinéa 1 du présent article court à compter de la date de décision de justice validant cette élection.
A défaut d’option dans le délai imparti, le mandat acquis ou la fonction exercée à la date la plus récente prend fin de plein droit
Article 4
La présente loi entrera en vigueur à la date du prochain renouvellement général des Conseils régionaux, municipaux et ruraux.
La présente loi sera exécutée comme loi de l’Etat.
Personnellement je pense que Macky est null, mais ces gens là nous ( la population ) doit du respect, la politiciens doivent être le première a nous montrer la vois de respecter les lois, Aida Mbodje se moque de nous car elle devait faire ce choix depuis et elle attends quoi pour le faire ou bien c’ete un stratégie pour une victimisation ? Arrêtez de nous distraire pour toujours créer des faut débats pour des raison cripto personnel.
It is enough
Avec ça vous faites des manifestztions contre la polique gambienne votre regime qui entrain de destabiliser les opposants moralement sans les tuer les faire souffrir schologiquement qatre sans dialgue politique s’ils vous plait arretes.N’attisser pas limpossible dzns ce pays
Déjà, au lieu d’avoir le courage de prendre ses responsabilités, le ministre se décharge sur Madame Fatou SENE.
La vérité est que le ministre a fait une fausse route, volontaire, parce qu’il est connu que une preuve d’acte de haine contre Wade et proches est source de promotion au niveau de Macky.
1/ Sur les faits.
Le ministre parle d’un cumul de 3 mandats sur la seule base d’une dénonciation. Et il demande au préfet d’appliquer une loi. Nul part dans l’explication ci dessus, le ministre ne fait allusion à une quelconque vérification du bien fondé de la dénonciation par ses services.
S’opposant à ces faits, tels que décrits par le ministre sur la base de la dénonciation, Aïda réfute cumuler 3 mandats parce qu’ayant démissionner, en 2014, de son poste de conseillère municipale de Bambey. Ce qu’elle dit être confirmé par le Maire de Bambey et notifié au préfet.
http://walfnet.com/index.php/actualites/3387-cumul-de-fonctions-aida-mbodj-nie-en-bloc-et-saisit-la-cour-supreme
2/ Sur la loi.
C’est bizarre que le ministre aille chercher une loi de 1996, alors que depuis l’arrivée de Macky au pouvoir, le Sénégal est régit par de nouvelles, dans ce cadre (Acte 3 de la décentralisation et les lois qui le régissent, validées par l’assemblée, et raison pour laquelle lui même il est ministre).
Or même si Aïda avait cumulé 3 mandats, par respect aux lois qui ont fait de lui un ministre, la démarche n’aurait pas été celle que le ministre a appliquée.
http://xibaaru.com/exclusivites/la-grave-erreur-du-ministre-abdoulaye-diouf-sarril-a-destitue-aida-mbodj-avec-une-mauvaise-loi-voici-les-preuves/
Où va la REPUBLIQUE ???
Le Ministre et son staff doivent rendre le tablier. Comment peut on évoquer la loi n° 96 – 11 du 22 Mars 1996 alors qu’elle a été remplacé par celle 2013 -10 du 28 Décembre 2013 portant Code Général des Collectivités Locales. C’est grave et scandaleux à ce stade de responsabilité.
Aida Mbodji a été élue Présidente du Conseil Départemental depuis le 15 Juilet 2014; et c’est 21 mois après qu’on se rend compte de son cumul. Où est l’Etat ? Où va la République ? On est où là ?
Ce sont les dispositions de la loi 2013 -10 qui doivent être visées, et elles stipulent:
Article 55
.- Le président du conseil départemental qui, pour une cause postérieure à son élection, ne remplit plus les conditions requises pour être président ou qui se trouve dans un des cas d’inéligibilité prévus par la loi, doit cesser immédiatement ses fonctions. Le ministre chargé des Collectivités locales l’enjoint de se démettre aussitôt de ses fonctions sans attendre l’installation de son successeur. Si le président refuse de démissionner, le Ministre chargé des Collectivités locales décide par arrêté sa suspension pour un mois. Il est ensuite mis fin à ses fonctions par décret.
Article 56
.- Le président du conseil départemental nommé à une fonction incompatible avec son mandat est tenu
de faire une déclaration d’option dans un délai de trente jours. Passé ce délai, il peut être invité par le Ministre chargé des Collectivités locales à abandonner l’une de ses fonctions. En cas de refus ou quinze jours après cette mise en demeure, le président est déclaré démissionnaire par décret.
Article 57
.- La démission du président du conseil départemental est adressée au Ministre chargé des Collectivités
locales par lettre recommandée avec accusé de réception. Elle est définitive à partir de son acceptation par le Ministre chargé des Collectivités locales ou un mois après envoi d’une nouvelle lettre recommandée.