Entre les conducteurs des taxis clandos et les policiers, la guerre reste totale. Au détriment, bien sûr, des pauvres citoyens qui font les frais de leur combat sans merci, surtout, en centre-ville de Dakar, aux heures de descente, après une journée de travail bien remplie. En plus de leur interdire le stationnement à la Place de l’Indépendance et à Sandaga où les clients les attendent, habituellement, pour se rendre à Hlm, Liberté 6, Rufisque ou Keur Massar, les « alkatis » ont adopté une nouvelle forme de guerre. Hier, nombreux ont été surpris de constater que les pneus des véhicules stationnés à l’arrêt bus El Malick (Sandaga) ont été percés par les policiers. Pourquoi ? Parce que tout simplement, à leur arrivée sur les lieux, les propriétaires n’ont pas voulu se présenter. Venant de ceux qui sont censés faire respecter la loi et le règlement, c’est garce non ?
Le Populaire
C’est qui ce journaliste à la noix? Il faut donc laisser prospérer l’indiscipline et le désordre dans ce pays. Les policiers ont raison. Ils auraient dû envoyer toutes ces « voitures » en fourrière. Arrêtez vos bêtises.
Parce que c’est le Ramadan et que les gens doivent rentre chez eux il faut laisser ces énergumènes faire n’importe quoi?