Les députés Cheikh Oumar Sy et Hélène Tine ont été les seuls à critiquer le texte. La dernière nommée a soutenu que le Haut Conseil des collectivités territoriales (Hcct) est «un Sénat bis et pire» même que le défunt Sénat, car compte 150 membres là où la première chambre du Parlement n’en avait que 100.
Du côté de la majorité, Cheikh Seck, Babacar Diamé et Abdou Mbow ont porté la réplique et défendu le projet de loi portant Hcct. Selon le porte-parole adjoint de l’Apr, le projet va passer comme il est entré parce qu’ils ont la majorité. Défendant la même thèse, le ministre de l’Intérieur s’adressant au député Thierno Bocoum a soutenu que concernant la question du Hcct, elle est derrière nous puisqu’elle est adoptée par le peuple lors du référendum du 20 mars dernier. A l’en croire, la refonte partielle des listes électorales ne figure pas parmi les points inscrits dans l’agenda de la concertation nationale.
Sur ce, pour apporter d’autres précisions, Thierno Bocoum a demandé un troisième tour de parole, mais c’était sans compter avec le refus du président de la Commission des lois, Samba Diouldé Thiam, qui a dit niet. Pour protester, le député de Rewmi a boycotté la fin des travaux et les textes ont été adoptés en Commission sans lui.
LAs
Ainsi va le Sénégal, créé une majorité mécanique, animée par des irresponsables, tout d’abords qui ne se fit pas des cris du peuple en général. Basta!!!!
» il y a un temps pour tout, même pour déterrer ce qui est enterré « .
Ainsi va le Sénégal, créé une majorité mécanique, animée par des irresponsables, tout d’abords qui ne se fit pas des cris du peuple en général. Basta!!!!
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