Dans la politique que vous avez définit pour le Sénégal, la préservation et la protection de l’environnement occupent une place prépondérante. Dans un contexte marqué par le changement climatique, et suite à la ratification par le parlement du Sénégal des accords de Paris, votre engagement à protéger le littoral se doit d’être traduit par des actions concrètes comme l’a fait récemment le Premier Ministre M. Mohamed Ben Abdallah Dione, en ordonnant, à travers la DESCOS, l’arrêt de tous les travaux sur le littoral du Cap à la pointe des Almadies et au-delà.
Cette initiative salutaire exprime l’engagement de votre gouvernement à promouvoir le Développement Durable et la bonne gouvernance de nos ressources car elles constituent le socle de notre souveraineté économique.
Le référendum du 20 Mars 2016 a consacré dans son article Article 25-2.- « Chacun a droit à un environnement sain. La défense, la préservation et l’amélioration de l’environnement incombent aux pouvoirs publics. Les pouvoirs publics ont l’obligation de préserver, de restaurer les processus écologiques essentiels, de pourvoir à la gestion responsable des espèces et des écosystèmes, de préserver la diversité et l’intégrité du patrimoine génétique, d’exiger l’évaluation environnementale pour les plans, projets ou programmes, de promouvoir l’éducation environnementale et d’assurer la protection des populations dans l’élaboration et la mise en œuvre des projets et programmes dont les impacts sociaux et environnementaux sont significatifs ».
Le combat que les citoyens mènent depuis votre avènement à la magistrature en 2012 pour la préservation du littoral dépasse toute connotation politique. Elle s’inscrit dans une logique d’appropriation et de protection d’un bien public pour les générations futures.
Excellence Monsieur le Président,
Votre projet de nouvelle ville sur le site de Diamniadio avec la construction d’un trafic intense interurbain, l’aéroport Blaise DIAGNE constituent une des raisons fondamentales à décourager les prometteurs de complexes touristiques et d’usage d’habitation sur le littoral.
La logique économique serait de leur proposer de construire des réceptacles de qualité autour du Centre Internationale Abdou Diouf (CICAD) pour valoriser ce joyau qui a couté 52 milliards. Le Train Express Régional prévu entre l’AIBD et Dakar, d’un investissement de près de 182 milliards de FCA, et qui desservira plusieurs gares trouvera tout son sens si des milliers de passagers (participants, conférenciers et autres) descendent à Diamniadio pour y tenir leurs activités en y trouvant les infrastructures nécessaires leur permettant ainsi de gagner un temps précieux.
Au regard du chiffres d’affaires que peut générer cette zone en pleine ébullition, offrez des incitations à Azalai, Baobabs et autres promoteurs hôteliers pour qu’ils accompagnent votre vision afin que Diamiadio soit le centre économique par excellence de l’Ouest. Qu’ils restituent leurs terrains sur le littoral pour un aménagement économique et public viable pour que le riche et le pauvre puisse en bénéficier en même temps sans aucune discrimination.
Assuré de l’intérêt que vous portez à ce sujet, je vous réitère mes vifs remerciements et ma profonde gratitude tout en espérant que mes suggestions seront prises en compte dans le cadre de votre politique de développement durable.
Honorable député Cheikhou Oumar SY
Le problème, c’est cette obnubilation des Sénégalais à vouloir habiter cette côte qui va des Almadies à la pointe de Sangomar ! Pourtant, la grande côte qui va de Guédiawaye à Saint-Louis est mille fois plus propice pour des installations touristiques et des villes côtières comme c’est fait dans tous les pays développés du monde ! Entre Kayar et Saint-Louis, en déclassant sur la bande de filaos sur 5 kilomètres et tous les 10 kilomètres, l’état pourrait aménager des espaces pour y créer quelques villes moyennes modernes face à la mer comme partout, en y permettant aussi à de grands promoteurs touristiques la création de grands et de petits hôtels modernes. Cette bande de filaos allant de Kayar à Saint Louis était censée protéger des terres maraichères, en freinant l’avancée des dunes, or des maisons et des immeubles de cinq étages seraient aussi efficaces.
D’un côté, »Obnubilation des Sénégalais à vouloir habiter cette côte qui va des Almadies à la pointe de Sangomar » ;De l’autre » la grande côte qui va de Guédiawaye à Saint-Louis est mille fois plus propice pour des installations touristiques et des villes côtières » La nature ayant horreur du vide, l’un dans l’autre, des idées compatibles et complémentaires
Nouvelle DAME DE COMPAGNIE, toi aussi Omar Sy, t’as pas honte? QUI crois-tu pouvoir rouler? Tu es démasquer…Vas vite bouffer, tiens bien le bol de la transhumance, il commence à y avoir trop de monde autour. Ne t’étrangles pas de honte surtout, nous t’avons rejeté comme un zéro !§!