La littérature, en servant de canal pour une large diffusion des connaissances, a été un moyen de communication efficace qui a permis la démocratisation de la connaissance. Les pays dits en voie de développement disposent aujourd’hui des mêmes sources de connaissances que les pays dits développés. La littérature assure ainsi la compétitivité des pays, car elle réduit la distance entre les maitres et les élèves, raccourcit le temps et l’espace et permet aux uns et aux autres de développer leur goût et leurs ambitions.
La littérature n’est pas un domaine de la connaissance, elle est tous les domaines de la vie. Réduire la littérature à un domaine qui s’oppose à la science ou au développement, ce serait méconnaitre l’existence de littératures au pluriel, ce serait méconnaitre l’importante recherche scientifique qui a été diffusée par la littérature et qui a servi aux découvertes techniques.
Car dès lors que les hommes se sont mis à écrire, le savoir pouvait désormais être plus fiable, multiple, et soumis à la comparaison. L’histoire de la pensée a ainsi commencé à se matérialiser, et avec elle, l’idée du progrès et la germination de la pensée scientifique, car le savoir était désormais entré dans le domaine public et critique.
La littérature, qui s’est enrichie au cours du temps, avec l’avènement de la littérature numérique, est une université ouverte à tous, une université flexible, à portée de main qui forme à la fois le cœur et l’esprit et dont la mission est de chasser l’ignorance.
La Littérature façonne chez l’individu cette conscience qu’on ne vient pas au monde pour simplement exister, vivre sans justifications, être là, mais qu’on vient au monde pour y devenir un contemporain capital, un acteur majeur, car ce sont les littératures qui nous permettent de nous informer des enjeux universels et du sens de l’Histoire.
Nul ne peut aspirer au développement en ignorant les enjeux du progrès. L’analphabète d’aujourd’hui ce n’est pas seulement celui ne parle pas plusieurs langues, c’est aussi l’homme qui ignore les rêves des grandes villes.
C’est la littérature qui construit l’imaginaire de l’enfant, ses rêves, lui apprend la comparaison, le dépassement de soi, et le juste milieu dans sa façon de voir, de sentir et de penser. L’enfance est l’âge de la réception, c’est l’âge où les figures héroïques entrent dans votre cœur pour n’en plus sortir et telles des fées elles se répandent dans tous les atomes de votre corps, possèdent votre imagination, votre volonté et vos rêves.
« Chaque enfant qu’on enseigne est un homme qu’on gagne » avise Victor Hugo. On peut donc dire que cet homme qui est à la base du progrès, c’est la littérature qui l’éduque. Quand la grand-mère de Jean Paul SARTRE s’étonnait de le voir très jeune lire de la grande littérature, des récits chevaleresques et des aventures, elle disait : « Mais cet enfant, s’il lit ce genre de choses en étant si jeune, que fera-t-il quand il sera grand ? » ; et Sartre de répondre : « Je les vivrais ».
Pour celui qui comprend que la pensée et l’action sont liées, la littérature est un lieu qui, en façonnant les rêves, façonne tout autant les réalités. Car n’oublions pas, entre autres découvertes, que les gratte-ciel sont nés du mythe de Babel, ce fameux mythe relayé par la littérature religieuse.
La littérature construit donc les piliers du développement, car elle symbolise la matérialisation de la démocratie qui est la compagne du progrès. La littérature a permis l’existence d’une opinion publique dans toutes les sociétés et a construit un lieu d’égalité entre les hommes, dans le sens où elle soumet toutes les pensées du monde à l’épreuve de la raison humaine.
La littérature s’est fait aussi l’écho de cette pensée attribuée à Socrate : « Tout ce que je sais, c’est que je ne sais rien. » Une maxime qui a une portée imaginable. Elle sous-entend les relativismes culturel et scientifique à travers la rencontre des uns et des autres, à travers le dévoilement public des différences et des similitudes culturelles sur la scène de la littérature.
La littérature après avoir posé les jalons du progrès scientifique et technique ne s’arrête pas là. Elle n’est pas simplement un lieu de la science, elle est aussi un lieu d’expression de la sagesse, car elle soumet une réflexion sur le développement lui-même et ses corollaires.
La plupart des grands penseurs du monde estiment que le développement défini uniquement comme le progrès scientifique et technique a mené à l’impasse, et ils appellent de plus en plus à des alternatives de société qui placeront au cœur de leurs solutions, le projet humain et la qualité de vie.
De nos jours, même les indicateurs économiques tendent à avoir un visage plus humain, comme l’illustre le fameux indicateur du Bonheur national brut qui ne se limite pas aux chiffres, mais s’étend aux aspirations profondes des individus, en accordant par exemple une grande part aux cultures traditionnelles.
C’est cette recherche d’alternatives au développement tel qu’il a été anciennement conçu, qui a conduit un penseur comme le professeur Souleymane Bachir Diagne à épingler le vide spirituel qui couvre l’horizon du progrès. Selon son jugement, la course inlassable au progrès a fini de mépriser le désir d’Infini de l’homme nourri par les religions, par le fait que cette course a mené à une société de consommation à outrance, une société semblable à une machine infernale de désirs infinis, insatiables et sources de souffrances pour l’individu.
Marcel Gauchet, un des plus grands analystes français, appelle cette crise du développement qui frappe les pays occidentaux et le monde en général : une crise intellectuelle, car il estime que les économistes ne font que décrire la crise au lieu de la résoudre.
L’homme qui est devenu maitre de la nature est contraint de nos jours à cohabiter avec elle, et à se priver de sa volonté cartésienne de domination de celle-ci. La question écologique n’est-elle pas dans l’agenda de tous les pays du monde, et ne nous rappelle-t-elle pas l’urgence à repenser la notion même de progrès ?
On peut donc dire grâce à ceux-là qui cristallisent la pensée d’une époque que la culture du développement qui est cette croyance que le progrès scientifique et technique peut lui seul résoudre les problèmes de l’humanité est de plus en plus remise en question.
La culture de la coexistence qui était déjà présente en Afrique dans les temps reculés, et que Cheikh Anta Diop décrit merveilleusement dans Antériorité des civilisations nègres, est dans toutes les pensées sages qui ont vu planer à l’horizon, comme chez Paul Valéry, le spectre de la mortalité des civilisations.
La première entrave à cette culture de la coexistence pacifique est la croyance qu’une civilisation peut être meilleure qu’une autre, car c’est cette croyance qui mène aux dérives des conquêtes impérialistes. La paix, qui « a ses victoires non moins célèbres que celles de la guerre » est la condition première du développement, car à quoi servirait un développement dans la terreur quotidienne ?
Aujourd’hui les grandes organisations internationales, qui sont des moyens d’expansion des influences culturelles occidentales et qui ont été consciencieusement créées pour la protection des fruits du progrès se trouvent elles-mêmes remises en cause, car les pays dits pauvres sont conscients qu’elles perpétuent un ordre mondial immuable de dominants et de dominés, un monde où le développement s’appuie sur la domination culturelle.
La question du développement mène forcément à la question des cultures, et celle-ci ne peut donc mener qu’à la littérature.
Car ce lien étroit que la littérature entretient avec le développement, elle l’entretient également avec la culture, la littérature étant le plus grand laboratoire de la condition humaine. Elle est un gisement incommensurable d’informations et de savoirs, un lieu de dévoilement des hommes, de la société, de la nature, des sentiments humains et des choses. Car qui parle de l’homme parle forcément de sa culture. Sans la littérature, les modes de pensée, de vie, les manières de sentir et de s’exprimer des cultures seraient tout simplement ignorées ou incomprises et les relations interculturelles n’auraient aucune chance de devenir chaleureuses.
Même si nous pouvons atteindre l’universel à partir du singulier, ne soyons pas comme ce personnage de l’écrivain autrichien Stephan Zweig, du nom de Scentovic, qui excepté le jeu d’échecs, ne connaissait rien des hommes et manquait ainsi de savoir-vivre ensemble.
La littérature est le lieu par excellence de la socialisation universelle ; le nouveau-né, après s’être nourri dans le ventre de sa mère, doit dès l’enfance se nourrir aux mamelles de la littérature.
La poésie du président Senghor a montré la teneur de l’âme africaine, l’étendue de ses subtilités, ses multiples ramifications, sa gravité et sa sophistication, la dimension multiple de sa présence au monde, les vastes foyers de son expression et les multiples raisons de son agir, sans occulter son noble désir de cohabitation avec la nature.
Le monde s’effondre de Chinua Achebé et L’Aventure ambiguë de Cheikh Hamidou Kane, posent le débat de la rencontre et de la coexistence des cultures africaines et occidentales et avertissent sur les dangers d’une vision unipolaire du monde.
Antériorité des civilisations nègres de Cheikh Anta Diop nous montre que l’Afrique a été un des pionniers du progrès scientifique et technique et que les générations actuelles doivent se sentir capables de maitriser tous les domaines de la science, de la technologie et de la pensée, car l’histoire de la pensée humaine nous est familière, malgré les discontinuités culturelles subie par l’Afrique.
Le roman de Mariama Ba, Une si longue lettre, contient une remarquable dimension intra-culturelle dans le sens où le réalisme du roman nous en apprend sur notre propre culture en nous décrivant plusieurs aspects de la société sénégalaise. Ce livre nous permet de mieux comprendre la place de la femme dans la société, la question du genre, de la parité. Elle nous informe sur leurs préoccupations, et nous permet de comprendre les questions de castes, de mort, de polygamie et leurs multiples enjeux, là où les œuvres d’Aminata Sow Fall et Cheik Aliou Ndao posent, de façon magistrale et parfois prophétique, le regard sur les mutations et les travers de la société sénégalaise.
J’aurais pu citer une kyrielle de livres, mais ce qui est le plus important est de reconnaitre que grâce à la littérature nul ne peut plus ignorer que la dignité humaine, l’identité culturelle sont des organes de l’être humain comme le sont la main et le cœur, et que les mépriser ce serait poser sa pierre à la crise des civilisations.
Bref la littérature impulse le développement par la diffusion des savoirs et elle devient aussi le garde-fou de ce progrès, car elle propose une coexistence pacifique entre les cultures, sans laquelle l’humanité ne pourrait jouir des fruits du progrès.
Il faut dire toutefois que ce retour nécessaire au respect de la culture de l’Autre ne saurait signifier qu’il faut tout prendre d’une culture, quelle qu’elle soit, sans discernement, et que la préservation d’une identité culturelle, elle seule, suffirait dans le monde moderne, en faisant fi de la question du développement.
Au fond dès lors que nous sommes dans le monde, nous appartenons à un État et donc à un monde d’interdépendances, où les crises se transmettent d’un pays à un autre comme dans une courroie de transmission ; nous sommes donc assujettis de force à la loi de la compétition internationale, et sommes désormais condamnés à trouver comme les pays occidentaux les recettes de notre propre développement.
C’est cela la réalité du monde et la prise de conscience que l’Afrique et les pays dits en voie de développement doivent faire pour ne point passer à côté du sens de l’Histoire qui va vers une conciliation entre les lois du développement et les principes du vivre ensemble.
Un développement indépendant ne saurait être un prétexte pour exclure les ajustements culturels. Croire qu’il faut tout prendre de sa propre culture en ignorant qu’il existe une culture économique plus favorable au développement et surtout une pluralité de cultures au sein d’un même peuple, c’est ignorer la loi spirituelle du Juste Milieu en toutes choses. Et même si l’Afrique adopte une culture économique qui se concilie mieux avec le progrès, cela ne saurait dire qu’elle se dénature, qu’elle emprunte une autre identité culturelle, puisqu’au sein de ses grands hommes depuis les temps des empires, nous relate la littérature historique, il existait des caractères, des comportements et des modes de vie qui appartenaient déjà à la civilisation universelle et qui étaient compatibles avec la vision moderne du progrès.
La religion enseigne que si le cœur est bon, tout le corps l’est, s’il est mauvais, il rend tout le corps mauvais. On peut en dire autant de la culture rapportée à la société. Cela nous laisse voir tous les enjeux culturels contemporains (relayés par la littérature) que l’Afrique se doit de maitriser, car les cultures s’ajustent, évoluent, et ne sont point figées, pour faire écho au penseur Amady Aly Dieng. Une culture, quelle qu’elle soit, doit nous servir avant de nous définir. Bref en créant la maison d’édition l’Harmattan Sénégal, nous partions du néant, vers cette aventure fondamentale qui est de permettre aux citoyens de partager leur vision du monde, leurs expériences, et d’échanger librement leurs idées. Nous étions comme ce personnage de Boubacar Boris Diop du nom de Fadel dans Les tambours de la mémoire, qui, portée par son admiration pour la reine Johanna Simentho, rêvait jour et nuit de la rencontrer, une reine dont on ne savait même pas si elle existait réellement. En créant cette maison d’édition, nous avions juste en bandoulière, la culture de l’audace et de l’altruisme héritée de nos aïeux, et notre volonté de participer à notre manière au développement de notre pays.
Pour cela, il fallait résister aux préjugés qui disaient que le Sénégal n’a pas une culture du livre. Quelle contre-vérité, ou alors, il ne s’agit pas de ce Sénégal de El Hadji Malick Sy et de Cheikh Ahmadou Bamba qui ont écrit des tonnes de pensées et ont parcouru des distances inimaginables à la recherche du savoir. La culture d’un pays si on veut la résumer en une seule facette, c’est la culture de ses meilleurs hommes.
En instaurant le Grand Prix Cheikh Hamidou Kane et le Grand Prix de la Première Dame, nous facilitons ainsi la recherche du lecteur en lui indiquant des auteurs qui à notre sens cristallisent la pensée d’une époque et d’une société et reflètent aussi son génie créateur. Pourquoi Cheikh Hamidou Kane ? Parce qu’il a façonné la mentalité de plusieurs générations d’Africains et continue de marquer de nombreux lecteurs à travers le monde.
Et le Grand Prix de la Première Dame permettra, je l’espère, une rencontre fructueuse entre la mission citoyenne de la Première Dame et la mission de la littérature qui est l’un des aspects les plus bénéfiques de la culture d’un pays. Je suis persuadé qu’un livre peut transformer un homme pauvre en un homme riche, un esclave en maitre, un homme qui a peur d’entreprendre en un redoutable entrepreneur, un homme sans culture économique en un homme engagé pour le patriotisme économique, un ignorant en un savant, un homme tortueux en un homme de valeur. Elle peut transformer la société de consommation dans laquelle nous vivons en une société qui a plus de sens. Il ne faut jamais renoncer à lire des livres ; il faut lire et relire, car pour chaque individu se trouvent dans le coin d’un livre, un message, des mots, qui résonneront au fond de lui-même et qui le porteront vers l’accomplissement de ses rêves.
Et même pour ceux qui ne voient dans le livre qu’une simple distraction, je leur dirai : ce n’est pas le travail seulement qui fait réussir un individu, il y a aussi la qualité de ses loisirs. Nul ne peut donc échapper à la nécessité de la littérature et de l’éducation dans nos sociétés. Pour couronner le tout et faire avancer le débat sur la culture, et ses multiples aspects qui tous ne sont pas pertinents à poser, le livre doit être un objet culturel présent dans toutes les familles, dans les bibliothèques, dans les écoles, dans tous les lieux publics. Il doit être un symbole de consensus national, un lieu de convergence du peuple, un acquis social sacré, pour construire une pensée sur la nécessité de construire notre compétitivité à travers la recherche farouche du savoir, une pensée nôtre plus que fondamentale pour le progrès d’un peuple, car ce sont les nobles pensées avec la force populaire qu’elle entraîne, qui sont le ferment de toutes les grandes révolutions du progrès.
Dr Abdoulaye DIALLO
DG HARMATTAN SENEGAL
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‘’FLEURS DU MAL’’ OU ‘’FLEUR DU BIEN’’ ? OU QUELLE LITTÉRATURE POUR UN DÉVELOPPEMENT DURABLE VÉRITABLE ?
En vérité, la plupart des productions artistiques et littéraires sont le fait d’une névrose (tourmente), c’est-à-dire d’une inertie dans la compréhension des très nombreux problèmes existentiels qui assaillent et interpelle l’homme au quotidien. En effet, la névrose génère toujours une fertilité de l’imagination, une prolixité et donc un foisonnement d’idées le plus souvent saugrenues à l’origine d’une production « pathologique ». C’est ce qui explique la très grande fréquence des troubles psychiatriques (psychopathies) chez les artistes, écrivains, chercheurs et même chez les « savants ». Cet art pathologique qui est le fait de l’incrédulité et ou de la perversité correspond à ce qu’on peut appeler « les fleurs du mal ». A l’inverse, tout ce que produit un homme qui a atteint un certain degré de piété (bienfaisance) est sublime et peut être qualifié de « fleurs du bien » En vérité toute œuvre artistique dévoile, parfois avec impudeur, la spiritualité de l’auteur, comme le suggère de si belle manière la référence évangélique suivante : (43) « Un bon arbre ne produit pas du mauvais fruit. (44) Chaque arbre se reconnaît à son fruit : on ne cueille pas des figues sur des buissons d’épines et l’on ne récolte pas du raisin sur des ronces. (45) L’homme bon tire du bien du bon trésor que contient son cœur ; l’homme mauvais tire du mal de son mauvais trésor. Car la bouche de l’homme exprime ce dont son cœur est plein. ». (Luc 6 : 43-45)
Oui, cet art pathologique qui est le fait de l’incrédulité et ou de la perversité correspond à ce qu’on peut appeler « les fleurs du mal ». Il est en effet le fait du Démon : (36) Nous assignons un Démon comme compagnon inséparable, à quiconque se détourne du souvenir du Miséricordieux. (43. L’Ornement : 36) … (25) Nous leur avons assigné des compagnons qui ont revêtu d’apparences trompeuses ce qui était devant eux et ce qui se trouvait derrière eux. La Parole prononcée au sujet des communautés de Djinns et d’hommes disparues avant eux s’est réalisée à leur détriment : voilà les perdants ! (41. Les Versets clairement exposés : 25)
Et c’est cette donne qui explique très vraisemblablement la fascination exercée par certaines oeuvres littéraires ; il s’agit en fait d’authentiques œuvres du démon !!! A propos des poètes (et des écrivains, d’une manière générale), le Coran s’est explicitement prononcé : (221) Vous ferai-je savoir sur qui descendent les démons ? (222) Ils descendent sur tout pécheur calomniateur. (223) Ils tendent l’oreille, mais la plupart d’entre eux sont menteurs. (224) Quant aux poètes : ils sont suivis par ceux qui s’égarent. (225) Ne les vois-tu pas ? Ils divaguent dans chaque vallée (tourmente); (226) ils disent ce qu’ils ne font pas. (227) A l’exception de ceux qui croient, qui accomplissent de bonnes œuvres, qui invoquent souvent le nom de Dieu (228) et qui se défendent lorsqu’ils sont attaqués injustement. – Les injustes connaîtront bientôt le destin vers lequel ils se tournent ! (26. Les Poètes : 221-228)
Oui, tout ce que produit un homme qui a atteint un certain degré de piété (« bienfaisance ») est sublime et qualifié de « fleurs du bien » est une récompense divine – une assistance de l’Esprit saint – et sera perpétué dans la postérité (37. Les Rangés : 123-132). Et c’est cette littérature -là qui peut véritablement donner la vision du développement véritable.
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