Le pourcentage est effarant. 50% des cliniques et cabinets médicaux privés n’ont pas d’autorisation. C’est le résultat d’une étude commandée en 2014 par le syndicats des médecins privés et l’ordre national des médecins du Sénégal.
Le rapport renseigne aussi que la moitié des 2000 médecins recensés n’est pas reconnue par la profession. Ce qui veut dire que les populations reçoivent des soins de santé au niveau de structures et de la part de personnes douteuses. D’où l’appel des syndicalistes, qui invitent l’État à sortir de ce mutisme face à cette situation.
(Source : Le Témoin)