SUD QUOTIDIEN – Le Parti socialiste a réagi hier, jeudi 12 janvier, sur le placement sous mandat de dépôt du maire de Médina et ses camarades de parti proches du maire socialiste de Dakar, dans le cadre de l’affaire des incidents survenus à la Maison du Parti socialiste, lors du bureau politique du 5 mars dernier. À la sortie d’une rencontre de son Secrétariat exécutif national (Sen), le Ps réitère sa confiance en la justice pour la manifestation de la lumière dans cette affaire et pour que les responsabilités soient situées. Non sans lorgner la levée de l’immunité parlementaire du député Aminata Diallo.
Quelques jours après le placement sous mandat de dépôt du maire de Médina et ses camarades de parti proches du maire socialiste de Dakar dans le cadre de l’affaire des incidents survenus à la Maison du Parti socialiste, lors du bureau politique du 5 mars dernier, le Parti socialiste rompt le silence.
Face à la presse à la sortie d’une réunion de son secrétariat exécutif national (Sen) hier, jeudi 12 janvier, présidé par Ousmane Tanor Dieng, Abdoulaye Wilane, porte-parole du Ps, a indiqué que le Ps est debout et dans ses bottes dans cette affaire. «Nous savons ce qui nous interpelle comme responsabilité, nous savons ce que la nation et l’histoire attendent de nous comme responsabilité et comme devoir. Nous avons porté plainte parce que nous étions des républicains, des démocrates. Parce que nous voulions savoir la vérité comme tous ceux qui, aujourd’hui, crient à la victimisation», a d’emblée préciser le maire de Kaffrine.
Poursuivant son propos, le porte-parole du Ps a tenu à préciser que le Parti socialiste reste constant et conséquent par rapport à cette affaire. Mieux, le porte-parole des Verts de Colobane a indiqué que le Ps réitère non seulement sa confiance en la justice pour la manifestation de la lumière dans cette affaire et pour que les responsabilités soient situées. Mais aussi que ceux qui sont hors la loi subissent la loi dans toute sa rigueur et dans toute son impartialité. «Cette victimisation fleuretée ne résistera pas au temps parce qu’elle ne se repose sur rien du tout. Nous, au Parti socialiste, nous pensons qu’en portant plainte, nous avons eu un comportement républicain qui sied dans un Etat de droit. Mais que nous pensions également que nous étions en train de rendre service à la génération présente et future. Nous étions en train de participer à l’œuvre d’assainissement des mœurs politiques parce que, en vérité, il faut extirper du jeu politique la violence physique et même la violence verbale», ajoute encore le secrétaire national chargé de la communication du Ps tout en annonçant la tenue pour samedi prochain d’une réunion du bureau politique sur la préparation des prochaines législatives.
Par ailleurs, Abdoulaye Wilane a invité également tous les parlementaires du Ps et leurs collègues de Benno Bokk Yaakaar, à voter pour une levée de l’immunité parlementaire de tout député si, un jour, le procureur de la République en exprime la demande dans le cadre de cette affaire.
Sud Quotidien
Il y a une justice au Senegal ?. J’en doute.
Autant Macky Sall a lamentablement échoué face à Karim Wade, autant il échouera lamentablement face à Khalifa Sall. La raison de cette série d’échec, ceux passés et ceux à venir, Macky Sall n’a que deux armes pour tous ces combats: le mensonge et l’instrumentalisation de la justice pour transformer ces mensonges en « autorité de la chose jugée ». On a noté comment la presse des 100 a été lancée dans le trop gros mensonge d’une vengeance de Mimi Touré sur Khalifa lors du référendum. Avec un soutien de 1213 bureaux de vote fictifs, les sénégalais ont observé l’empressement de la presse de Macky à vouloir faire croire que Khalifa a été battu par Mimi. Au contraire, c’est Mimi qui quitte Dakar, et pis, c’est Mimi qui perd la dernière couverture par la révélation de son usage d’un faux titre de Docteur, sans jamais avoir eu le diplôme.
Macky continue de ne pas comprendre ses échecs, alors que tout brûle autour de lui.
Echec lamentble donc du cheval de Macky, Mimi, contre Khalifa Sall. Il reste à Macky, ce qui est venu son trait de caractère: la torture par la « justice ». Il échouera aussi, lamentablement.