XALIMA NEWS – Le grand prix « Africa Democracy » a été décerné au président de la République, le premier récipiendaire. Ce prix vise à honorer les grandes personnalités engagées dans le développement du continent et dans la recherche de la paix. Ainsi le choix porté sur le chef de l’Etat est du, selon les organisateurs, à l’implication de ce dernier dans plusieurs actions de paix dont la crise Burkinabé, dans laquelle sa médiation a fait échouer le coup d’Etat.
Le but visé, selon les organisateurs, est de promouvoir la démocratie à travers le peuple. Mais aussi, ajoutent-ils, de lancer un appel aux dirigeants africains, aux différentes institutions de promotion de la paix en Afrique, leur disant que « la démocratie est possible en changeant de vision car l’Afrique en a besoin pour son développement, pour sa paix, pour ses enfants et son avenir ». Ainsi, depuis des décennies, constatent les organisateurs, les jeunes démocraties africaines sont confrontées à des crises diverses liées pour la plupart aux élections. Celles-ci, selon eux, contribuent à « déstabiliser le climat politique de paix qui règne dans les pays africains, accentuent la fragilisation du tissu social à l’intérieur des États, tout en ralentissant la marche du continent vers le développement ».
A cet effet, face à ces crises récurrentes, la jeunesse sans frontières, la Diaspora en Europe et le groupe Agir Afrique-Europe, estiment que de « dignes » fils d’Afrique contribuent de manière significative à la restauration, au maintien et à la promotion de la paix ainsi que de la stabilité sur le continent pour le mieux être des populations. C’est dans cette optique que les organisateurs volontaires pour une « Afrique nouvelle », « libre », « solidaire » et « prospère », proposent d’honorer les illustres personnalités africaines qui consacrent leur vie au service de la paix et du développement du continent.
Par Mor DIOP (Stagiaire)
DU BLUFFFFFFFF!
PRIX DE LA HONTE,PRIX DES CORROMPUS?
ARRETEZ VOTRE CINEMA.
CHEZ NOUS SENEGALAIS,LA DEMOCRATIE N’AVANCE PAS ET QUI N’AVANCE PAS?
On a viré macky au Burkina
UNE SEULE QUESTION EN REPONSE DIRECTES AUX 8 QUESTION POLITIQUES OU JURIDIQUES ICI POSEES AU PRESIDENT MACKY SALL :
«Que vouliez-vous que le Président Sénégalais Macky Sall fit contre trois ? »
(confiscation du pouvoir, coup d’état en contre-coup d’état, continuité de l’état de droit, stabilité politique des institutions de e la république du faso, slaut et paix pour le peuple burkinabé)……
Oui, encore une fois, qui disait ici ou ailleurs que le diable est dans le détail de sa propre tromperie en piège d’espiègle….
Oui, car le montage en alésage politique du pari réussi par le Président Macky Sall n’était bien sûr celui de devoir choisir ou de pouvoir choisir entre le parti-pris politique ou le parti-pris de la partition politicienne…
Oui, encore une fois, bien sûr que devant le spectre en cercle vicieux d’une « démocratie confisquée par les casernes » dans le quel toute expression démocratique est prise en otage par une certaine garde présidentielle pléthoriquement prétorienne…
Oui, ce montage du Président Macky Sall n’était celui du devoir ou du pouvoir faire le choix de choisir dans l’éventail de tassements d’antipodes entre le Choix du Cid ou le Chant du Cygne…
Oui, ce nième drame permanent de la vie politique au Burkina Faso devait présenter à la conscience politique de l’Afrique et du monde l’intelligence systématique d’un « projet de stabilité politique comme de transition démocratique » qui configurerait dans les faits et les idées la meilleure « porte vers une sortie de crise » non seulement honorable pour toutes parties en présence mais, aussi et surtout, qui intégrerait une légalité constitutionnelle continue…
Oui, le Président Macky Sall du Sénégal, en compagnie du président Yayi Boni du Bénin, aura ainsi en tout du tout réussi à éviter le drame politique de tout dilemme dramatiquement cornélien d’un autre bain de sang inutile dans la rue…
Oui, le président Macky Sall, en compagnie de son homologue, le Président Yayi Boni du Bénin, savait très bien dans sa tête de démocrate africain portant sur ses frêles épaules tout l’héritage de tout cet humanisme politique senghorien, dioufiste et wadiste dont nous sommes légataires en tant que « un peuple-un but-une foi » que vraiment et réellement il lui fallait tout faire, au nom du peuple burkinabé, pour réussir le bon choix de la stabilité politique ou politicienne, pour réaliser le meilleur choix de la paix pavant la stabilité et la permanence de la transition démocratique….
Oui, bien sûr que tout cela devait se faire dans les conditions historiques que tout le monde sait, oui, c’est-à-dire celui des armes contre les urnes devant le chaos de la violence et du désordre qui trottinant déjà dans les rues du Pays des Hommes Intègres depuis la capitale Ouagadougou jusqu’aux collines ocres ou rouges du Bulkiembé
Oui, devant tous ces défis humainement politiques ou démocratiques de la continuité de l’Etat de Droit dans l’Honneur de la République, oui, on peut dire ici que le président Macky Sall a réussi la mission qui lui était assignée aussi bien par tous ses pairs africains que par la conscience politique de toute la communauté internationale qui avait l’oreille suspendue à ce drame qui se jouait à Ouagadougou, Koudougou, Bobo-Dioulasso…..
Cette consécration de son Excellence le Président Macky Sall met en exergue une fois de plus le leadership de notre pays dans le continent africain. Depuis son accession à la magistrature supreme le Président Macky Sall s’investit à la consolidation de notre démocratie. De plus il ne ménage aucun effort pour faire de la médiation dans les différentes crises.