Oui Birahim SECK, j’ai en effet parlé d’identité au singulier , tout en ayant à l’esprit ce que l’auteur ivoirien Bernard Dadié, me confia un jour de mai 2OO2 à Abdidjan, alors que nous bouclions la troisième journée d’un important colloque consacré à la vie et à l’œuvre du sage de Bandiagara, Amamdou Hampathé BA : « l’identité de toute nation est la somme d’identités diverses positionnées dans une dynamque intelligente, sachant distinguer, tout en réussissant à fédérer les apports féconds des diversités, dans une large perspective de progrès ».
Il ajouta fort justement : « Partout en Afrique, la gestion instutionnelle de la Culture doit jouer un rôle fondamental pour aider à satisfaire cette exigence qui me parait être un défi majeur à faire relever par nos Etats ».
Croyez bien, M. Seck, que j’étais conscient, avant d’avoir été nommé ministre de la Culture que le Sénégal est à la fois une entité plurielle et unique, comme toute nation construite ou en voie de fermer définitivement la problématique de sa question nationale. Je suis de ceux qui oeuvrent en faveur de l’unité nationale autour d’une identité forte, mais dans le respect des spécificités et donc de la diversité culturelle. A ce niveau, je tiens à vous rassurer. Nous sommes en phase.
La semaine dernière au retour d’un court voyage dans la sous-région, j’ai été submergé de messages m’invitant à lire Birahim Seck qui, selon eux, s’attaquait à moi. La plupart des messages, sinon dans leur presque totalité, les « textos » reçus, me suppliaient de ne point répondre. Les auteurs de ces messages, dont j’apprécie l’attention affectueuse me comprennent. Il ne s’agit point de réponse. Je voudrais surtout les rassurer. Sincèrement, je ne pense pas que Birahim Seck s’attaque à moi.
Je suis convaincu qu’il pose un débat d’idées, à sa manière certes, mais il se veut utile dans la contradiction démocratique. Je peux ainsi m’autoriser une modeste participation au débat qu’il engage avec moi. Je suis même convaincu que les termes de la contradiction qu’il suscite sont loin de toute polémique stérile plongeant ses racines dans dans l’émotion ou dans une impulsivité qui s’abreuve à la source d’un ressentiment de mauvais aloi visant ma personne.
Ce que je comprends de la citation que Biram Seck a extraite d’un éditorial que j’avais publié au moment de la controverse souleveé à l’époque par la construction du Monument de la Renaissance Africaine, c’est ceci : comment, pourrai-je, en ma qualité de Ministre de la Culture, être crédible aux yeux de l’opinion, pour assurer la tutelle du Monument de la Renaissance Africaine, après tant de critiques véhémentes formulées à son sujet, à un moment de ma vie professionnelle et de citoyen libre.
Une deuxième idée, sous-jacente à la première, dit la chose suivante : vous avez été un chantre de la bonne gouverance, pourquoi alors renoncer à utiliser votre pouvoir de tutelle pour édifier les Sénégalais sur le processus d’édification de ce Monument et éclairer définitivement l’opinion sur son coût réel ?
La citation produite veut produire un effet manifeste ; mettre en doute ma crédibilité et marquer un renoncement de ma part et disqualifier ma qualité si vous permettez. Le débat public se mène sur un espace libre et pour moi, seuls les arguments comptent.
Ceux qui ont une lecture objective des extraits publiés par Birahim peuvent au moins attester un fait, jamais il n’a été question de mettre en doute la valeur artistique de l’oeuvre proposée, encore moins discréditer son esthétique d’ensemble, ni chahuter sa signification dans nos consciences. Toutes choses qui conférent à une œuvre une place de choix à la bourse des valeur de l’art, une valeur marchande sûre et une attraction assurée.
Soyons clairs, la mise en cause de cette valeur n’a jamais été mon propos. Encore qu’il faille rappeler à juste titre que des experts de l’esthétique de l’art avaient fait valoir à l’époque des arguments dignes d’intérêt au sujet de l’œuvre en construction, en expliquant que le choix de la Corée du nord pour édifier ce monument était contestable.
Leurs arguments n’avaient pas qu’un fondement idéologique. Les auteurs avaient à l’époque pretendu que la liberté de création, l’indépendance d’esprit, soubassement à la production de toute œuvre, dont les capacités et valeurs sublimunales en font finalement un objet d’attachement, ne sauraient être fécondées et éclore dans un environnement totalitaire – suivez mon regard -, plus prompt à brider la pensée et l’inspiration, qu’à en faire une dynamque de création.
Considérons la première critique tendant à saper ma crédibilité à assurer la tutelle sur le Monument. A ce sujet, je souhaiterais m’appuyer un peu sur l’histoire de l’Art, telle que certains d’entre nous l’ont apprise, pour m’expliquer avec Birahim Seck. Je parle en particulier de l’Art plastique. Cette histoire nous enseigne, fort oppotunément, que toutes les grandes oeuvres devenues des pièces précieuses du patrimoine de l’Humanité, sont nées dans la controverse. Elles sont le fruit de fortes confrontations entre des courants antagonistes très forts, sur la manière de conceptualiser l’art, de le créer et de le présenter au peuple.
Rappelons-nous des joutes épiques entretenues par les tenants de l’art académique et les adeptes de l’art moderne. Sans oublier cette rupture fracassante intervenue entre l’académisme et le modernisme du fait d’un nouveau courant appelé l’impressionnisme. C’est pour dire que, même si j’étais contre l’esthétique du monument, contre sa construction, ce qui n’a jamais été le cas, rien ne saurait constituer contre moi des faits si dirimants, pour me refuser, ne serait-ce qu’au plan intellectuel, la tutelle du Monument. Seul peut en décider la volonté de celui que notre Norme fondamentale donne la qualité de gardien et de protecteur des Arts, en l’occurrence le Chef de l’Etat.
Attardons-encore encore sur la controverse au sujet de l’Art. Celle-ci a toujours traversé de part en part son existence en tout temps. Plus près de nous, on se souvient de la forte contestation de la conception et de l’organisation de ce qu’on a appelé l’Ecole de Dakar par l’ancien Président Léopold Sédar Senghor.
De jeunes artistes encore en formation à l’école des Beaux Arts de Dakar, l’un des chefs de file de la contestaion, mon ami, l’artiste El Hadji Sy, décida de peindre avec les pieds, les pinceaux coincés entre l’orteil et les autres doigts du pied, pour ridiculiser les enseignements du maître qui prétendait que pour faire l’art plastique, il fallait un pinceaux bien tenu par la main, la toile bien accrochée à un imposant et beaux chevalet.
Mon cher Birahim, le propre de l’Art c’est de se nourrir souvent de la controverse. Et celle à la quelle j’avais pris part en son temps, plutôt que de me disqualifier, me positionne pour davantage comprendre le sens de ce Monument, afin de pouvoir assurer avec encore plus de clairvoyance une garde bienveillante, avec le concours des differents responsables qui en assurent la gestion quotidienne.
Figurez-vous M. Seck, que toutes les œuvres monumentales qui constituent des marques saisissantes du patroimoine de l’humanité sont nées et ont été édifiées dans la controverse, voire dans le rejet pur et simple. Gustave Eiffeil eut du mal à trouver des ressources pour construire sa tour. Aujourd’hui, l’attraction que celle-ci engendre, contribue grandement à la réputation de Paris, première destination touristique mondiale. Si Paris est choisie pour organiser les Jeux olympiques de 2024, cette tour jadis controversée, y est certainement pour quelque chose.
Les pyramides : Khéops, en passant Lepsuis et Athribis et les cinq autres merveilles du même acabit, dressées à Ghizé et ailleurs en Egypte, ont été toutes imposées par les pharaons dans la controverse. Il en fut de même pour la Grande Muraille de Chine et pour d’autres œuvres monumentales qui font la fierté culturelle et le bonheur touristes du monde entier et celui des nations qui en sont les dignes héritiers.
Notre Monument de la Renaissance ne fait pas exception. Ce Monument est une grande œuvre artistque . L’œuvre d’art, la vraie est unique. Cette qualité artistique procède davantage de cette unicité qui tient au fait que, c’est le seul au monde qui offre la plus longue distance que l’on parcourt dans son antre de bas en haut.
C’est le seul Monument au monde dont le « ventre » offre un espace de mobilité en hauteur de plus de 75 mètres. Aucune autre œuvre au monde ne présente une telle faculté. Même pas la statue de la Liberté à New York, qui dispose de moins de hauteur dans son antre.
Je ne retire pas un mot des critiques que j’avais formulées sur les procédures, sur les mécanismes de construction du Monument. Voilà ce que j’avais dit à ce propos et que vous-même avez repris dans votre article rédigé depuis la station balnéaire de Saly : « Comment un Chef d’Etat en exercice peut-il, raisonnablement, expliquer à son pays et au monde, une décision aussi surréaliste que grotesque, que celle consistant à immatriculer en son nom personnel, une œuvre édifiée avec les moyens de la Nation, avec les fonds publics, qui plus est, sur un terrain appartenant à l’Etat ? Il y a des limites que la décence interdit de franchir dans la conduite des affaires publiques ».
J’avais en particulier fustigié et dénoncé le mode de gestion préconisé, par l’entremise d’une société privée, dans laquelle le Chef de l’Etat en exercice détiendrait des parts. J’étais plutôt contre l’appropriation par une personne, fut-il Président de la République, de ce bien public, construit avec l’argent du contribuable sénégalais, de surcroît sur le patrimoine foncier de l’Etat. Je dénonçais donc, et à juste titre, l’immoralité du business que quelqu’un a voulu faire sur le dos du peuple sénégalais et au nom de l’Afrique. Aujourd’hui, j’ai même la naïveté de croire que mes critiques justes, ainsi que celles émises par de nombreux autres Sénégalais, dont Birahim Seck lui-même et le Forum Civil, ont pu décider l’ancien Chef de l’Etat, sans le dire publiquement, à renoncer à son projet, cédant à la clameur populaire ainsi engendrée.
Alors pourquoi ce qui était hier juste doit aujourd’hui avoir une autre qualité ? Nous avions raison de dire non, comme vous le soulignez par la citation rapportée ci-dessus. Aucun Sénégalais n’ignore aujourd’hui la manière par laquelle ce Monument a été érigé. Je gère l’avenir, en essayant de faire en sorte que la gestion publique du Monument dont j’assure la tutelle technique, soit conforme aux valeurs d’efficience, d’efficacité que nous partageons ensemble.
Contrairement à ce qui était prévu dans le projet originel, une société privée ne gère pas ce Monument qui appartient au peuple qui en assure la garde par le biais de la tutelle que j’exerce en son nom. Birahim figurez-vous que parfois, vous avez eu à dénoncer la prolifération d’institutions qui, selon votre analyse, n’apportent pas grand-chose à la conduite de notre projet démocratique. Et qui plus est, coûtent cher. Ce fut le cas quand le Sénat a été dissout.
Vous avez pourtant, à juste titre, accepté de siéger dans le Conseil Economique et Social qui a remplacé le défunt CRAES. Cette institution avait également essuyé de lourdes critiques. Vous siégez dans le Conseil et vous vous rendez ainsi utile à la Nation. Votre posture n’est nullement en contradiction avec la véhémence de votre discours sur la gouvernance de l’Etat, sous le magistère de son Excellence, le Président MAcky Sall. C’est votre choix assumé, je le respecte. Je m’y astreint en signalant toutefois que je n’ai jamais voulu prendre de charges sous l’ancien régime qui eût nécessité un decret signé par la plus haute autorité de l’époque. Pourtant, l’occasion ne m’avait pas manqué. J’avais cependant préféré faire un autre choix. Le vôtre aujourd’hui n’est pas plus noble que le mien, hier. Comme mon choix, non plus, n’est pas plus légitime. Loin s’en faut ! Je ne vous disqualifie pour aucune charge qui vous serait destinée. En démocrates, respectons les choix des uns et des autres. Parlons des idées portées, des principes qui fondent nos actions, la démocratie ne s’en porterait que mieux !
Pour conclure, je ne veux noter nul non dit dans votre texte. Seulement, par précaution je voudrais, m’inspirant de la reflexion d’un grand penseur, rappeler que je ne suis plus un journaliste s’exprimant librement sur des faits collectés et proposés à la censure de l’opinion.
D’autres continuent de le faire admirabelement bien. Quand je l’étais, je préférais dire aux dirigeants d’Etat ce que je pensais de ce qu’ils faisaient et qui ne me paraissait pas juste et conforme aux intérêts de la Nation. Je refusais d’attendre qu’ils soient déchargés de leur magistère pour le faire. Lorsque même ils ne seraient plus puissants, ni capables de se rectifier pour le bien du peuple. Je ne suis plus journaliste, ni un intellectuel organique engagé, sinon dans un projet politique bien défini et que je suis décidé à porter avec force détermination. Aucune incohérence sentie en moi qui serait de nature à me troubler. J’assure avec fierté et dévouement la tutelle du Monument de la Renaissance Africaine. A ce titre, je suis plus qu’ engagé à faire pour le temps que j’assumerai cette noble fonction, tout ce qui est possible, pour étendre son rayonnement et pour polir sa splendeur. Merci de m’avoir permis de prendre part à un débat fort utile et intéressant.
Toutefois, je voudrais vous inviter, au-delà du débat fécond certes et d’où jaillit la lumière, à vous joindre à nous, dans l’action. Nous, institutionnels, professionnels de la Culture et autres acteurs culturels, figures emblématiques de la Culture et de l’économie culturelle (leaders du mouvement associatif, entrepreneurs et managers culturels, artistes de toutes disciplines culturelles sans exclusive ; cinéastes, écrivains, musiciens de tous genres, conteurs, slammeurs, traditionnalistes et autres communicateurs traditionnels, artisans d’art, stylistes, cuisiniers, etc.), vous invitons à venir prendre part à l’œuvre inlassable de construction de notre identité nationale (dans le respect des diversités culturelles), à la promotion de l’économie culurelle et à la mise en place d’un environnement propice à la création d’emplois culturels décents. Voilà, à mon avis, le seul combat qui vaille dans ce domaine, le seul combat épique qui mérite en ce moment de mobiliser nos énergies et d’occuper notre temps si précieux.
Abdou Latif Coulibaly
Coulou miii, Ndiogou Wack Seck avait raison, il faut lui parler. Dégoul toubab. Combien de MOI dans ce texte ? Les je, ma, mon, en pagaille, comme nous les diolas nous disons. Bilahi cui’la, il est plus proche de Fann-psychiatrie que des Dents de la Mer. Son texte daaal, mince couche de confiture sur un petit morceau de pain, le montre dans son illimité étendue. Limite et limité. Au texte d’un actiVIDE, Birahim, répond celui d’un autodanseur du ventre. Amoul bopp amoul guene. Bernard Dadie woo, Hampathe woooy, Guizeh wouy, naa monument de la renaissance et son gardien, simagrees Kesseh. Macky doit en pleurer. Malgré le ndaga composé pour lui. Tcheumm, lampyis takkna liimoy negritude façon Sokone.
Suicide ministerioso, ministériel.
Sois sérieux toi aussi. C’est rare d’avoir un texte aussi bien écrit que celui de Latif. Il respecte la ponctuation, difficile de trouver une faute, les phrases sont bien formulées etc. Je ne vois pas ce qui te pousse à dire que dégoul toubab, mais moi, même si je suis anti-Macky, je trouve texte intéressant.
Yow foo djangue nassaraaan ? Kholaatal sa bopp. Point final. Latif lui-même sait qu’il est expert en salmigondis, diakhaasse-melanngnseeeh.
En verite Mr Coulibaly tu peux ecrire mais le plus important pour le senegalais lambda est que tu ne crois en ,tu crois a l’argent a la promotion.
En grosso modo tu n’est pas honnete et cela c’est la triste realite que les seneglais ont de toi, ce monumement l’autre jour j’ai regarde une emission avec des tourists americains qui etaient variment content on construit in pays avec la vision de Mr wade la pure realite est que vous ne faites rien pour votre pays sinon t’engrosser avec l’argent des senegalais pas meme capble d’edifier un ,,rien de toi savoir manier le francais tu es nul et mediocre .
Bonjour
Birahim Seck a encore raté une belle occasion de la fermer. Le malheur est que le niveau de la réponse de ALC est beaucoup trop élevé pour un guignol de cet acabit.
Il confond la controverse autour du financement d’une oeuvre, et la réalité, la qualité, la légitimité, ou l’exploitabilité de l’oeuvre.
Si l’AIBD ouvre ses portes, avec toute la controverse qui a entouré son financement depuis les Wade, est-ce que cela enlève à cet aéroport toute légitimité d’être versé au patrimoine du Sénégal ?
Est-ce que tous ceux qui circulent sur la Corniche, y installent des attractions, la considèrent comme la plus belle partie de Dakar, ne devraient pas le faire lorsqu’ils se souviennent des comptes et mécomptes de l’Anoci ?
On peut dire la même chose sur tellement d’infrastructures qui renforcent aujourd’hui la qualité de vie du Sénégal.
A force de baver sur tout ce qui bouge, certains en oublient de réfléchir.
Et pour conclure, ALC a bien raison d’assumer sa nouvelle posture, à savoir contribuer à l’édification du Sénégal, non plus en dehors, mais à partir d’une position lui permettant de montrer ce qu’il sait faire à part écrire des livres et des critiques. L’essentiel est que celui qui a quelque chose à lui reprocher dans le travail qui lui a été confié, le fasse de façon objective, au lieu de continuer à aboyer en lui reprochant de ne pas faire ceci ou cela. On juge les personnes sur ce qu’elles font, pas sur ce qu’on aimerait qu’elles fassent.
Qu’est-ce qui empêche à d’autres pseudo journalistes d’investigation de mener le même travail que ALC faisait du temps de Wade ? Certains se sont bien essayés d’écrire des livres, ou de publier des enquêtes. Mais ce n’est pas de la faute à ALC ou à d’autres si ces livres ou ces enquêtes ont été des flops. Un travail il faut le mener avec rigueur, talent, esprit, patience, réflexion.
A bon entendeur !!!! Salut les insulteurs
OBSERVATEUR
Que vaut une personne qui se targuait de ses principes mais dont le temps a démontré qu’ils sont à géométrie variable?: Mener un combat farrouche pour disait-il combattre la monarchisation, la gabegie et les coups d’état constitutionnels sous Wade et se taire comme une carpe devant la dynastisation, la mega-gabegie et les coups d’état constitutionnels sous Macky. On appelle ça une pauvre personne sans conviction tartuffe. ALC ne vaut plus ce qu’il valait depuis que son masque est tombé.
Cette longue digression bourrée de citations inutiles n’a qu’un seul but : noyer le poisson.
Au moins les sénégalais comprendront maintenant que ce genre de personne n’est intéressé que par ses intérêts : l’argent, les honneurs, tout le reste n’est que baratin.
Beaucoup de sénégalais pensaient que ce type parlait pour un intérêt Sénégal quelconque, eh bien non parce que Wade ne lui faisait pas manger, macky a compris que toutes ces personnes n’ont pas de colonnes vertébrales
Tu n’as rien dis ici, Birahim vous a interpellé sur les dessous soit disant occultes qui sous-tendaient le financement de ce monument que vous dénonciez à l’époque avec certitude et qui faisait que une bonne partie de l’opinion te croyait ..Maintenant que vous avez la charge et la gestion de ce monument qui semble vous fasciner actuellement nous voulons savoir si ce financement a respecté tous les normes de bonnes gouvernance et de transparence si oui vous devez informer la population si non vous avez l’obligation de traduire en justice les responsables. C’est ça le sens de l’interpellation de B Seck mais pas pour nous faire la théorie sur l’art et les controverses issues des monuments dans le monde. Si vous ne le faites pas on peut considérer que tu es un menteurs manipulateur qui combattait subjectivement un régime.
Mon plus grand regret dans la vie, est de m’être déplacé à New York pour écouter ce guignol et acheter son livre « contes et mécomptes ». Des badolo comme lui, il y en a malheureusement plein dans notre administration. De pauvres types dont le passé frustre dicte leur conduite indigne devant l’argent.
….De pauvres gens dont le passé frustré dicte la conduite indigne devant l’agent….
Par Allah, je jure que vous touchez le cœur du problème actuel du Sénégal.
Malheureusement, il n’y a pas de remède pour un passé frustré indigne. Tout l’or et tous les honneurs du monde ne suffiront pas.
Bien évident qu’il a fait hors sujet. Il n y rien à attendre de cette dame de compagnie. Prostitué mercantile devant l’éternel. La vie étant cyclique, les sénègalais, abusés qu’ils sont par les régimes successifs de mal gouvernance, vont mettre en place ce président digne tant attendu qui nous mettra toute cette merde de dame de compagnie en prison.
On lui demande les « comptes et mécomptes » du « monument de la décadence », il nous sert une dissertation sur l’art et l’esthétique. Que c’est vomissant de lire un intellectuel qui se renie!!!
tais toi corrompu