Les périodes préélectorales ont cela de rédhibitoire qu’elles font le lit d’activismes hors de propos émanant d’entrepreneurs politiques qui tentent d’occuper le devant de la scène à cor et à cri, avec l’arrière-pensée de tirer des dividendes personnelles de leurs élucubrations dans l’espace public. Ne se limitant plus à nier l’évidence, en tentant de jeter le discrédit sur les réalisations sans commune mesure du président de la République, d’aucuns versent dans une surenchère puérile, en servant à l’opinion des déclarations on ne peut plus tirées par les cheveux. L’une des dernières en date émane du maire des Parcelles Assainies qui, au lieu de s’atteler à respecter son mandat en améliorant le vécu quotidien sur le territoire communal, se distingue par une agitation circonstancielle dans l’optique, comme il en a l’habitude, de préserver ses intérêts crypto-personnels. En s’attaquant à la personne du président de la République Macky Sall il cherche à jeter le discrédit sur un leader qui, en moins de cinq ans a pu créer son parti et remporter l’élection présidentielle de manière démocratique, au nez et à la barbe d’un régime qui a utilisé tous les moyens de l’Etat pour le combattre. Cet homme qui ne doit son existence politique qu’à des coups bas portés à ceux qui l’ont toujours soutenu (Pape Diop, Karim Abdoulaye Wade et dernièrement Khalifa Sall), ne pourra jamais porter atteinte à l’image d’un président qui réalise les engagements pris devant le peuple sénégalais à travers les projets structurants du Plan Sénégal Emergent.
Après avoir cheminé avec Khalifa Sall pour jouir de son aura en vue d’être réélu maire des Parcelles Assainies, il a entrepris de retourner sa veste en faisant de l’œil à ses anciens camarades du Parti démocratique sénégalais. Et bien que conscient de l’étau judiciaire dans lequel est empêtré le maire de Dakar, cet avocat du diable œuvre dans le sens de défendre l’indéfendable, en cautionnant à la surprise générale les détournements de deniers publics présumés pour ce qui a trait à la gestion de la caisse d’avance de la ville de Dakar dont il dit avoir amplement bénéficié.
L’attitude qui siérait en la matière devrait être de balayer devant sa porte, en prenant en charge les préoccupations des Parcellois. Ne serait-ce qu’en améliorant la qualité des services de l’hôpital Mame Abdou Aziz Sy qui manque à ce jour de services de radiologie et d’ophtalmologie pour ne citer que ceux-là. Fort heureusement, le président de la République, dans une dynamique de développement inclusif, et hors de toutes considérations politiciennes, s’est attelé, depuis son élection, à transformer de manière significative les conditions de vie des populations. Sous ce rapport, il n’a ménagé aucun effort pour financer la reconstruction du stade municipal des Parcelles Assainies qui est resté cinq ans hors service, du fait de l’incapacité du maire qui a privé la jeunesse de pratiques sportives. Dans ce même ordre d’idées, le président Macky Sall a permis, à travers le programme de modernisation des villes (Promovilles), de faire du pavage des rues ensablées des Parcelles Assainies une réalité. Aussi, à travers l’Agetip, le chef de l’Etat n’a ménagé aucun effort pour réfectionner les écoles en ruines, soulageant par la même occasion des vieilles doléances des parents et élèves de la commune. Un président de la République au service de sa population diffère de loin d’un maire au service de ses intérêts personnels.
DJIBRIL BA, CADRE APR AUX PARCELLES ASSAINIES
Balayer devant sa porte? Expliquez-moi: 1,8 milliards d’un homme politique de plus de 30 ans de carrière dont plusieurs fois ministre, député et Maire de Dakar contre 8 milliards entre 2001 et 2008, soit 8 ans seulement de carrière d’un autre politicien. Qui est plus vorace et badola?
VA TE FAIRE FOUTRE. UN PRESIDENT MINABLE QUI ENGLOUTIT 1200 MILLIARDS DE NO MAIGRES FRANS SUR 52 KILOMETRES DE RAIL APRES NOUS AVOIR CLASSER PARMIS LES 25 PAYS LES PLUS PAUVRE DU MONDE. LA DECENCE VOUDRAIT QUE MACKY DEMISSIONE POUR INCOMPETENCE ET INAPTITUDE.
Il est trop orgueilleux pour reconnaître sa nullité, son incapacité et son incompétence qu’il sait au plus profond de son âme. D’ailleurs, l’orgueil est mal placé puisque Wade nous apprend que ses parents toucouleurs lui ont confié que diam leu.