DÉMENTI DE TOUBA: la ville sainte clarifie et recadre une certaine presse qui n’a fait que travestir les propos du Khalife Général des Mourides. Selon le porte parole, Serigne Moustapha Mbacké Lakram, il n’a jamais été question de viser Idrissa SECK, Président de Rewmi.
Ainsi le Khalif Général de Touba rectifie ceux qui, par des interprétations politiciennes voudraient s’en prendre à Idrissa SECK à travers le propos selon lequel » avant d’être Mouride il faut d’abord être musulman « . Le porte parole parlait de lui-même et non de Idy comme d’autres l’ont sciemment prétendu.
Autrement dit, Touba ne doute pas de la mouridité de personne qui s’en réclame et ne discrédit non plus celle de personne fut-elle Idrissa Seck.
Diaradieuf Serigne Touba
Je dois dire, pour replacer les choses à l’endroit, que l’on cherche à intoxiquer l’opinion publique. On évoque des philosophies telles que « révisionnisme primaire » pour dénoncer l’évocation, en closing joke, des desserts servis aux sénégalais du régime des « tirailleurs sénégalais ». Voici de nouvelles couches pour donner de la matière aux adversaires de la paix et à ceux qui commettent des communautaristes wolofs pour cet exercice politicien mais occultent le rôle des sénégalais qui ont les « collaborateurs indigènes ».
Galaye Baye Diagne, franc-maçon de premier niveau, ne s’était-il pas fait rebaptiser Blaise pour rejoindre le bataillon des fonctionnaires collaborateurs de la France coloniale ? Ne s’était-il pas fait distinguer en organisant le recrutement forcé des tirailleurs sénégalais ? Et pourtant, il est présenté en héros national.
La population chrétienne du Sénégal, métissée culturellement et biologiquement pour des raisons tenant à la faiblesse de son fonds culturel et à l’obscurité de son complexe naturel, n’a-t-elle pas jusqu’ici un penchant pour la civilisation française au point de rouler des « r » et de siffler « s » quand ses ressortissants s’expriment en public ? Senghor n’a-t-elle planifié et mis en œuvre son assimilation ?
Le décret de 1903 n’avait-il pas laïcisé les enseignements à l’école des fils d’otages, décemment appelés « école des fils de chefs » ? Cela freinait-il les chefs religieux d’y précipiter les enfants ? Combien de francs-maçons bon teints ont été, ainsi, reversés dans la société sénégalaise ? Quelles sont les grandes familles religieuses sénégalaises qui se sont distinguées dans la collaboration ? Quelles sont les fables qui entourent ces cultivateurs d’arachides, empêchés de vivre dans la tranquillité, et à qui l’on prête des dons de prier sur la mer, de tenir dans un four, de dompter un lion affamé ? etc…
Combien d’émigrés sénégalais survivent en France ? Et pourtant, ils sont les plus durs à critiquer ce pays qu’ils ne pensent jamais quitter. Et ces étudiants sénégalais en France qui se précipitent minablement dans la société française à la chasse des blondes aux yeux bleus ?
»Cela freinait-il les chefs religieux d’y précipiter les enfants ? » cette interrogation absurde à propos d’une école dite »des otages ». Tout le reste on l’a déjà entendu. Donc réponse inutile.
serigne saliou MBACKE ,il y’a plus de 10 ans avait dit ceci de idrissa seck et c’etait en directe avec sud fm si je ne trompe, IDRISSA GNEUW NGA, MAA NGUI SEEDELOO MBOOLOMI NI; LOO WAKH DEF NGA KO, DIOULLITE AKKHANE NGA, donc si des vieux niak diome comme ibrahima sène ce communiste se permet de juger de couye dioullite ak kouye mouride, dafa yap dioullitou sénégal yi, mais surtout leur benno niak yaakar ne sait plus ou donner de la tête
Monsieur confond rouler les r naturel pour les idiomes du Sénégal et les grasseyer typique du français moderne
Monsieur parler français avec l’accent français ou parisien comme on dit c’est grasseyer les r et donc ne pas les rouler comme chez la plupart des idiomes au Sénégal
En qoui ce débat concerné t il les chrétiens ? Êtes vous pétri d un levain supérieur à celui de ces derniers que vous traitez de tous les noms ? Des raisonnements aussi fallacieux ont déjà mis le feu dans plein de pays qui ne demandaient qu a vivre en paix. Mandou, tey ne font pas de mal.