XALIMANEWS : La caution pour la présidentielle passe désormais de 65 à 30 millions. Ceci fait suite à la décision du président de la République de revoir à la baisse.
Pour les élections législatives, signale Wal fadjri, qui donne la nouvelle, elle est fixée à 15 millions. Le journal rapporte qu’en ce qui concerne les élections locales, la caution passe de 10 à 5 millions francs Cfa.
Cette décision intervient une semaine après le retrait du projet de loi portant modification du Code électoral en vue de l’instauration du parrainage. Lequel, revu, sera soumise aujourd’hui à l’Assemblée nationale, selon Wal fadjri.
Même ramené à une caution de 100 000 FCFA, cela ne serait jamais la preuve d’une ouverture démocratique de Macky Sall. Au contraire. Le blocage contre la démocratie, il le fera sur un autre point du même processus.
En dehors d’une simple stratégie communicationnelle, et des plus insultantes, celle qui considère les destinataires comme des moutons, comment expliquer:
– Le parrainage intégral pour réduire le nombre de candidatures, pour rationaliser (pour faire joli), et;
– La baisse de la caution des candidats pour faciliter les candidatures, et donc les augmenter.
La hausse des cautions a toujours eu pour raison le blocage des candidatures fantaisistes. La preuve en est que ceux qui prouveront qu’ils n’ont été des candidats fantaisistes se voient restituer leur caution s’ils font plus de 5%. Le parrainage, s’il n’avait pas des visés cyniques du tyran auraient pu suivre le même chemin.
Chaque acte de Macky Sall est une insulte aux personnes intelligentes, et, en même temps, approfondissement de l’abêtissements des moutons souteneurs.
Il parait que le président veut prendre 2 semaines de repos pour aller supporter nos joueurs.
Mr le Président, surtout n’allez pas en Russie.
J’ai vraiment peur que vous portez malheur à l’équipe, comme vous le portez à notre pays, au bord du chaos.
Un président qui ne respecte ni ses engagements ni sa parole, un président qui ne manifeste ni respect ni considération pour son pays..
Un président qui mène une gouvernance sans aucune valeur morale ou humaine, sans dignité ni aucune grandeur.
S’il vous plais, Mr le président, si le cœur vous en dit, allez vous promener ailleurs.
Merci d’en tenir compte.