Le 23 Mars 2015, Karim Wade était condamné à une peine de 6 ans de prison ferme assortie d’une amende de 138 milliards à verser au trésor public sénégalais. De cette date à maintenant, tout est et a été une question de loi et droit. Son rejet des listes électorales est aussi réglé par la loi et en l’espèce par celle électorale en son article 31. Dura lex, Sed lex.( Dure est la loi mais c’est la loi) .
In fine, aucune surprise, ceux qui ont quitté le Pds avant le simulacre de congrès d’investiture de veille de condamnation, tout comme ceux qui sont restés post-verdict, n’ont jamais ignoré que Wade- fils était disqualifié par la loi. Les uns ont pris leur responsabilité face à la dictature de la famille Wade et sont partis, les autres qui sont restés sans conviction, ont voulu montrer leur fausse loyauté.
Pour le reste , le Président Macky Sall est en dans les enjeux d’emergence et de développement économique de notre pays et il n’y a que cela qui retient son attention. Le 24 Février 2019, il y aura élection, le Président Macky Sall sera réélu en fonction de son bilan et le Sénégal se réveillera le lendemain comme d’habitude tranquille et les senegalais au travail. Les menaces ne passeront pas et d’où qu’elles viennent.
Cheikh NDIAYE
Conseiller Technique Présidence de la République
Responsable Politique Apr Grand Yoff
Conseiller Municipal
Exclusion de Karim Wade sur les listes électorales : Dura lex, Sed lex
Date:
nafékh you bone yi nguéne done kane moy khalate diléne falate ay macky ak ngourou rambath ak wakh loudoul deugu wakhma rék kane mokay khalate.
yéne gni ande ak mom yeup bakhouléne dou ngéne ay niti dara.