Je demande aujourd’hui et tout de suite la libération immédiate de M. Khalifa Ababacar SALL, car la détention arbitraire ne peut pas faire l’objet d’une réparation.
L’arrêt de CEDEAO annule l’ensemble de la procédure. Les droits de Khalifa A. SALL ont été violés. Vous n’avez pas le droit de donner un jugement contraire à la CEDEAO.