Depuis 2000, nombre de dérives considérables dans la communication qui peuvent avoir des effets néfastes pour la paix entre les différentes communautés confrériques et ethniques sont notees au Sénégal. Adja Astou n’a, ni été la première, ni celle qui a fait pire. Et, au moins, elle s’est excusée et rectifiée moins de 24 heures après sa dérive. En cette fête des mamans, mes pensées et prières vont aussi vers elle et ne dis non à cette justice sélective. « Le juridisme du buzz ne fait pas un état de droit » comme l’a si bien dit Thierno Bocoum
Soutien à Adja Astou.(Par Mohamed Dia).
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