Xalimasn.com
Malgré le respect que tout démocrate lui doit du fait de son passé glorieux de combattant pour les causes justes, le doyen Amath Dansokho méconnait les réalités ivoiriennes. En 2000, Laurent Gbagbo n’a pas gagné la présidentielle parce qu’il n’y avait pas d’élection. A la suite du coup d’état du Général Guë, celui-ci a organisé précipitament une mascarade électorale où seulement 23% des électeurs ivoiriens ont participé. Au soir de la proclamation des résultats, il y a eu tellement de confusion et Gbagbo en a profité pour dire à ses jeunes patriotes de marcher sur le palais. Le vieux Général, désemparé et ne pouvant pas contenir la foule a fui et Gbagbo s’est installé au pouvoir avec la complicité bienveillante de la France parce que la 43eme Bima etait juste à côte mais elle n’a pas réagit. D’ailleurs ce coup d’Etat des jeunes militaires qui avaient renversé Bédié pour installer Guë avait une connotation éthnique.Les gens du Nord etaient totalement exclus de la gestion des affaires de L’Etat. Seuls les Baoulés et les Agnis occupaient les grandes directions de l’administration et dirigeaient le pays. Plus tard Bédié y a ajouté L’Ivoirité qui était un facteur d’exclusion; sur les routes les forces de l’ordre contrôlaient les papiers et déchiraient systématiquement ceux des Nordites pour leur lancer au visage que vous n’êtes pas Ivoiriens: Houphouët vous avez donné des papiers mais maintenant il faut nous les rendre et rentrer chez vous. En 2002, au début de l’insurrection du Nord, c’est la Licorne qui était venue sauver Gbagbo en stoppant la progression des FN et les empêcher de prendre Yamoussokro et San-Pédro. La France a volé deux fois au secours de Gbagbo. Mais quand celui-ci s’est confortablement installé il a commencé à faire pire que ses prédécesseurs. Toute la police et la gendarmerie est entre les mains des Betes, des Didas.. bref de son groupe ethnique: les Krus. Toutes les grandes directions de l’administration et les grands ministères sont entre leurs mains inexpertes et balladeuses. Le dada des FPI c’est la femme, l’alcool, les belles voiture, les villas somptueuses et faire des funérailles où la beuverie prime sur le chagrin. Tous les concours de l’administration sont vendus par le régime de Gbagbo après le quotas de la FESCI. Ie mérite n’est plus de mise avec ces minables refondateurs. Ils tuent, volent et violent à profusion. Ils essayent de masquer leur incompétence par un discours xénophobe et anti-impérialiste qui ne riment plus avec les réalités du monde moderne. Les recettes du pétrole et des mines ne sont pas budgétisées depuis que Gbagbo est au pouvoir. Il en fait sa cagnotte personnelle. Il les a confisquées pour son profit personnel et de celui de sa Camaria. Cette manne financière lui permet d’entretenir une milice liberienne et angolaise pour exterminer la nuit ses principaux opposants. Les Ivoiriens vivent sous un régime de terreur pire que celui de Mougabé et des anciens amis de Mr Dansoko qui ont été balayés par Gorbachev. Amath, vous êtes aujourd’hui en Guinée pour fêter l’investiture de votre ami le Président Alpha Condé; allez faire un tour chez Cellou Dallein Diallo pour lui dire que la France n’en est pour rien dans tout cela? Ici on accuse la France de l’autre côté on applaudit la France. Amath, à votre âge ,évitez la politique du VENTRE.
Mor Khouma
M. Khouma, apparemment vous connaissez bien l a Cote d’ Ivoire, mais vous ne dites pas la verite, car c’ est a peine si vous ne dites pas que Gbagbo est arrive au pouvoir par un coup d’ Etat.
Ace propos, voici ce qu’ on peut lire sur Wikipedia ., meme si Wikipedia n’ est ni la Bible ni le Coran,.Le principe en etant qu’ il contient des informations que chacun peut a tout moment modifier s’ il les trouve inexactes, vous pouvez aller y donner votre version. Et on verra si elle tient la route.
« Après quatre années de dictature, le coup d’État du général Robert Guéï est légitimé par la reconnaissance du Front populaire ivoirien (FPI) de Laurent Gbagbo et le Rassemblement des républicains de Côte d’Ivoire (RDR) d’Alassane Ouattara. L’échec de plusieurs tentatives de coup d’État oblige les partisans d’Allassane Ouattara au sein de l’armée à fuir au Burkina Faso.
Les sept candidatures présentées successivement par le Parti démocratique de Côte d’Ivoire (PDCI), dont Henri Konan Bédié à la présidence en 2000, sont éliminées par la Cour suprême. Il en est de même pour le candidat du RDR, Alassane Ouattara, jugé non-Ivoirien. Au total, quatorze des vingt candidatures à l’élection présidentielle présentées par des partis sont rejetées par la Cour suprême. Le décompte des bulletins de vote place Robert Gueï en seconde position derrière Laurent Gbagbo le 22 octobre ; il s’autoproclame néanmoins président de la république ce qui déclenche d’importantes manifestations de la population, bientôt suivie par la gendarmerie. Les affrontements opposent la garde prétorienne du général Gueï à la population. Les premiers sont rapidement vaincus mais les affrontements se prolongent entre partisans de Ouattara et partisans de Laurent Gbagbo. Finalement, le 26 octobre, c’est Laurent Gbagbo qui est proclamé président sur décision de la Commission électoral ».
Une des choses qui ressort de cette relation c’ est que l’ eternel fomenteur de putsh en Cote d’ Ivoire c’ est bien connu , c’ est incontestablement le President de la Republique du Gollf , celui- la meme qui enfourche aujourd’hui le cheval de la COMBINE-EAUTE-INTER-MACHIN-ALE pour tenter encore de perpetre un coup d’’ Etat.
L’ autre chose qui apparaît c’ est que le decompte avait comme aujourd’hui donne Gbagbo gagnant .
Pour ce qui de la situation actuelle la Commission Electorale Independante n’ a pu lattribuer la victoire a Ouattara qu’ en gonflant le taux de participation reelle de 70% ,tel qu’ il avait ete publiquement donne a la face du monde par la Commission Electorale Independante, a 81,12% selon la declaration faite en cati mini par M. Bakayoko en l’ absence des autres membres de la Commission, hors delais legaux et au siege de la campgne de son candidat lors de la procla mation des resultats provisoires que le Representant de l’ONU, M. Choi, n’ hesita pas a rendre definitifs outrepassant outrageusement son mandat car il procede a une verification a la place d’ une certification qui selon les regles en viguer est censee authentifier des resultats acceptes. Ce faisant M. Choi a substitue a la procedure de certification actuellement pratiquee en cas d’ elections apres un conflit celle de verification surannee qui etait en usage pour les territoires non autonomes dans les annees 60 et que l’ ONU aabandonne depuis.
En effet, comme le rappelait comme le rappelait:le Directeur Adjoint de l Assistance Electorale de ONU, Monsieur ALI-DIABATE TADJOUNE dans un rapport publié en février 2008, à l’occasion d une réunion de la Francophonie sur la Problématique des Elections après un conflit :
« En Côte d’Ivoire, quatre (4) instances sont chargés de s’assurer que le processus électoral se déroule de façon régulière, libre, transparente et pacifique :
i) la Cour Constitutionnelle est chargée de connaître du contentieux pour les élections présidentielles et législatives ;
ii) ii) le Facilitateur (le Président du Burkina-Faso) a un rôle d’arbitre pour la mise en œuvre de l’Accord Politique d’Ouagadougou (APO) ;
iii) iii) les observateurs nationaux et internationaux se prononceront sur le processus ;
iv) iv) en plus de ces trois premières instances, le Conseil de Sécurité6 a donné mandat au Représentant Spécial du Secrétaire Général de l’ONUCI pour certifier toutes les étapes du processus électoral en cours. »
Il ressort de cette declaration qui engage l’ ONU QUE C’ EST BIEN LE Consil Constitutionnel qui est competent pour connaître du contentieux pour les élections présidentielles et législatives ;
La vvictoire de M. Gbagbo, n’ en deplaise a la communaute internationale est sans bavure et irreversible.
Malgré le formidable complot contre la Côte d’ Ivoire et son gouvernement légalement élu, la situation du pays au plan social et économique est globalement bonne, comparée aux autres pays de la sous-region. La Côte d’ Ivoire n’ est pas en situation de faillite et bien au contraire se trouve toujours dans le peloton de tête en Afrique de l’ Ouest. Pour s’ en convaincre il n’ est que de se referer à l’ Indice de Developpement Humain (IDH) publié chaque année par le PNUD depuis 1990.
Pour rappel, l’ IDH (indicateur composite ou synthétique) integre trois séries de données :, a savoir :
• l’espérance de vie à la naissance (qui donne une idée de l’état sanitaire de la population du pays),
• le niveau d’instruction mesuré par deux indicateurs : le taux brut de scolarisation (nombre d’élèves dans le primaire, le secondaire et le supérieur / effectifs des classes d’âge concernées) et le taux d’alphabétisation des adultes,
• le PIB réel (c’est-à -dire réajusté compte tenu de l’inflation) par habitant, calculé en parité de pouvoir d’achat (c’est-à -dire en montant assurant le même pouvoir d’achat dans tous les pays) ; le PIB par habitant donne une indication sur le niveau de vie moyen du pays.
Si l’on se réfère au chemin parcouru depuis 2000, année d’accession de Gbagbo au pouvoir jusqu’ à ce jour, en comparant l’ IDH de la Côte d’ Ivoire à celui du Sénégal par exemple, on voit qu’ en 2000 ce dernier était classé 154ème avec un indice de 0,431, devant la Côte d’ Ivoire classée 156ème avec un indice de 0,428 .
En 2010 par contre c’est la Côte d’ Ivoire qui devance le Sénégal et se classe 163ème avec un indice de o,484 devant le Sénégal 166ème avec un indice de 0,464.
C’est bien la preuve que malgré la stuation défavorable créée par la guerre civile et la partition du pays, le bilan de M. Gbagbo n’est pas, globaement pris, aussi négatif que ses detracteurs le présentent.
Quant aux atteintes aux droits de l’homme et notamment les atrocités commises et dont attestent des charniers comme celui trouvé à Yopougon, elles l’ ont été de part et d’ autre sans qu’ on ait pu en déterminer de façon irréfutable les vrais responsables.
Alors arretez de vous associer a cette immense cabale contre Gbagbo et la Cote d’ Ivoire un pays frere et ami.