«C’est difficile de se réveiller au lendemain d’une défaite. On a battu la Tanzanie et hier (jeudi) on a perdu contre l’Algérie. Je pense que c’était un jour sans. Cela arrive parfois et on va tirer des leçons. L’équipe a tout donné, mais on n’a pas réussi à gagner ce match. Il y a un match à jouer et on va se concentrer sur ça. Il (le coach) nous de mande de ne rien lâcher et de continuer à travailler. C’est un peu dur de perdre un match comme ça. On va continuer à travailler et relever la tête contre le Kenya. Je pense que tous les matches de la CAN sont des finales. Il n’y a pas de petites équipes. Il faudra se battre jusqu’au bout. Même les grandes équipes perdent des matches et parfois elles s’adaptent au jeu proposé par l’équipe adverse ».
Lamine Gassama
« On a pris conscience des manquements du match d’hier (jeudi) contre l’Algérie. On va visualiser les matches qu’on a disputé pour corriger et penser au Kenya. Je pense c’est notre entame qui nous a fait défaut. On a tardé à se mettre dans le bain et on a essayé de revenir au fil du match. Sur ce match, il y a eu aussi de bonnes choses et il faut s’appuyer sur ça. On n’a pas manqué d’impact. L’équipe a montré du caractère, mais celle algérienne a su nous contenir en commettant pas mal de fautes pour nous sortir du match. Il y a eu des phases arrêtées et cela a cassé notre jeu. Il n’y pas d’inquiétude à avoir. Il reste encore un match et on notre destin en main. On n’est pas surpris de l’impact physique. On sait qu’on est en Afrique et c’est à nous de montrer que nous sommes aussi forts dans ce domaine. L’impact physique fait partie de notre ADN de jeu. Je pense qu’il faut oublier ce match et se pencher sur le prochain. On sait que le Kenya à gagner et il y a un énorme en jeu. Mais, il faut qu’on se focalise sur nous d’abord. C’est le Kenya qui doit s’adapter à notre jeu et pas l’inverse. Sur le banc, j’étais impuissant à l’idée de ne pas pouvoir aider les partenaires. Donc, on a vécu le match comme eux avec beaucoup de déception. La compétition va très vite et on veut se faire pardonner ce résultat très vite. On a toute l’attention du continent mais on suffisamment de maturité pour faire face à tout cela. Cela fait quatre ans que le groupe grandit ensemble, on a suffisamment d’expérience pour mettre cette pression de côté ».
Abdoulaye Sow
« Un de vos confrères a écrit ce matin (hier), en mettant cela à la une et repris par beaucoup de réseaux sociaux, des accusations d’une gravité extrême. En ce qui me concerne, je voudrais apporter des réponses parce que je ne suis pas du genre à recevoir des coups et ne pas les rendre. On m’accuse d’avoir pris 20 militants de l’APR de Kaffrine et de les avoir déplacés à la charge de l’État, ce qui est inexact. Depuis que je suis à la Fédération et dans le football, à chaque que je me déplace pour un tournoi, que ce soit la Coupe d’Afrique ou la Coupe du monde, j’ai déplacé parmi des compatriotes concitoyens kaffrinois qui sont dans le mouvement associatif, j’en ai invités. Cette fois-ci aussi, j’ai invité 10 Kaffrinois que j’ai totalement pris en charge. Ce n’est ni la Fédération ni le ministère des Sports. Je peux mettre à votre disposition les billets d’avion et les factures de prise en charge ici. Il aurait dit que les ai mis dans un hôtel de luxe. Ils sont dans le même hôtel que les supporters et c’est moi-même qui ai décidé de le faire pour ne pas les dépayser. Quel est le drame dans ça ? Oui, je suis venu avec mon fils de 14 ans que j’ai logé dans l’hôtel des Kenyans et qui est totalement pris en charge par moi et passe la nuit avec moi. Où est le problème ? Il ne me voit qu’à 2H du matin après avoir pris mon travail. Je suis toujours sur le terrain alors que j’ai aussi d’autres obligations professionnelles. Je pense que je vais être félicité par ma nation pour le devoir que j’ai fait et l’engagement que j’ai, mais on ne peut pas me mettre comme ça alors que le journaliste lui-même ne m’a jamais interrogé pour me demander ma version. Le minimum est qu’avant d’écrire sur une personne, nous avons tous des familles, des amis, des camarades, c’est d’abord de me poser la question. Après, il est libre d’en faire ce qu’il veut. Mais jusqu’à aujourd’hui (hier), je n’ai jamais été interrogé, mais on veut simplement salir mon nom.
Vous êtes vieux vu la texture de vos vaines et ligaments je vous donne 36ans
Tu gagnes combien par mois pour pouvoir payer 10 billets d’avion frais comprises. Soyons serious. Vous savez quoi l’argent sale versè a vous par ahmad ahmad vous savez pas quoi en faire le pourquoi de ces depenses faramineuses