XALIMANEWS : Le chroniqueur de Dakar matin dans sa chronique de la semaine, accuse le président de vouloir briguer un 3e mandant
Pape Ale Niang a dénoncé les élections locales repoussées. Selon le journaliste, cette décision est un deal de l’exécutif, avant d’ajouter que les législatives seront de même.
« Tout ce qui intéresse Macky Sall, c’est avoir un 3e mandant », a-confié PAN.
EN TOUT CAS LES JALONS QU’IL POSE DE JOUR EN JOUR NE SONT PAS FORTUITS MAIS QU’IL N’OUBLIE PAS QUE DIEU AIME LA VERITE QUI FINALEMENT PRENDRA LE DESSUS SUR LA FORCE.
DIEU NE DESCENDRA PAS POUR REGLER NOS PROBLEMES, IL FAUT QUE LES SENEGALAIS S’ARMENT DE COURAGE ET DE FAIRE FACE A CE REGIME.
Ce serai hautement souhaitable et bénéfique qu’il en soit ainsi. Un bienfaiteur qui continuera ses œuvres surhumaines et ses belles réalisations multiples et multiformes Il a bien droit a deux mandats de cinq ans.Il en est à son tout premier
…commentaire venant d’un des corrompus du pouvoir qui n’en ont cure du bien-être des sénégalais. La seule chose qui les intéresse c’est les miettes qu’il reçoivent du pouvoir qui lui même s’enrichit coup de milliards et ne voudrait surtout pas lâcher le pouvoir.
Cest faux
Une digression, mais j’aimerais bien que nos compatriotes sachent qu’un président, à l’image de José, peut se donner entièrement à son peuple sans devenir riche. Nos télévisions privées comme nationales n’ont jamais évoqué la présidence de ce grand monsieur jusqu’à son départ volontaire de la présidence de son pays.
POUR INFO – RAPPEL :
José Mujica, le président « le plus pauvre du monde »
L’ancien guérillero des années 1970 est devenu président de l’Uruguay en 2009. Très populaire auprès des jeunes et des défavorisés, « Pepe » s’est fait le héraut de la lutte contre la société de consommation.
Le président uruguayen, José Mujica, chez lui, dans sa ferme, à l’écart de Montevideo, le 25 juin 2013. MARIO GOLDMAN/AFP
Il a passé douze ans dans les geôles des militaires pendant la dictature en Uruguay, torturé et enfermé deux ans au fond d’un puits. José Mujica, dit « Pepe », président de l’Uruguay, a même confié que, pendant ces années noires, ses uniques compagnons étaient une grenouille et des rats avec lesquels il partageait des quignons de pain… Des années se sont écoulées, José Mujica a fait son autocritique sur son passé de guérillero mais, à 78 ans, cet homme jovial et moustachu garde le coeur à gauche.
Né le 20 mai 1935 dans une famille modeste (son père était d’origine basque et sa mère une descendante d’Italiens), José Mujica a commencé son parcours politique au côté de militants anarchistes, avant de devenir un des dirigeants des Tupamaros, une guérilla urbaine des années 1970 qui pratiquait des vols armés et des enlèvements, ce qui lui vaudra d’être incarcéré de 1973 à 1985.
Au lendemain du retour de la démocratie, en 1984, M. Mujica bénéficie des lois d’amnistie. Et commence un brillant parcours politique : il fonde le Mouvement de participation populaire (MPP), adhérant au Front élargi en 1989. Elu député en 1995, il devient, quatre ans plus tard, le sénateur le mieux élu de l’histoire uruguayenne. En 2004, il est nommé ministre de l’agriculture. Ce parcours sans bavures se conclut en novembre 2009 par son élection à la présidence, avec plus de 52 % des voix.
BIEN QU’ATYPIQUE, IL MÈNE UNE POLITIQUE PLUTÔT LIBÉRALE
Chef d’Etat atypique se présentant comme le « candidat des pauvres », José Mujica mène une politique fidèle à la tradition, plutôt libérale, du pays. L’Uruguay a été l’un des premiers pays du monde à abolir la peine de mort, en 1907. Six ans plus tard le divorce était légalisé. Vingt ans plus tard, les femmes obtenaient le droit de vote. Et, depuis 2008, les couples homosexuels peuvent adopter des enfants.
La présidence de M. Mujica a été marquée par plusieurs avancées : le Parlement, le 10 avril, a adopté, après de vifs débats, la loi autorisant le mariage entre personnes du même sexe. En décembre 2012, c’est l’avortement qui était légalisé. L’Uruguay devenait le premier pays d’Amérique du Sud à dépénaliser l’IVG. En revanche, M. Mujica a dû freiner son projet de placer sous le contrôle de l’Etat la production et la commercialisation de la marijuana.
Ce petit type de pape ale daffa yabater ta soff wakhou fitna rekk laye wakh yallanagnou yalla moussale thi mom .dimbalegnou boye politique nga ngenn takhaw thi guewbi wanner fobokk sonale nganou.
Qui nakk moye niang DRAGON.