XALIMANEWS- Après la BBC, la chaine américaine CNN vilipende le Sénégal et l’envoie sur le banc des accusés. En effet, une enquête de ladite télévision montre la situation des enfants talibés notamment dans les rues de Dakar.
Le documentaire en question explique, par ailleurs, la non implication de l’Etat dans le phénomène des enfants talibés au Sénégal.
Selon les experts, cette nouvelle information « risque de faire beaucoup de bruits et impacter négativement sur l’image du Sénégal et lui couter des restrictions sur certains financements internationaux ».
Enquête sur les talibés : Le Sénégal sur le banc des accusés.
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Le Président Yaya Djameh avait interdit formellement la mendicité dans son pays, ce qui provoqua une ruée vers le Sénégal de tous les marabouts exploiteurs d’enfants de la sous-région. Le Sénégal étant un pays dont les autorités étatiques sont incapables d’imposer le respect des lois, pourquoi ces exploiteurs hésiteraient ? C’est une grande honte de voir qu’au Sénégal, des enfants venus des régions du Sud et des deux Guinées sont envoyés dans les rues pour mendier.
SEUL LE DIOLA NE CONNAIT PAS LA MENDICITÉ, DIOLA LIGUEUY REK KHAMOUL YALWANE. ALLEZ DANS LES ZONES DIOLAS EN CASAMANCE E VOUS VERREZ.
Bien,vue.c’est pure que la drogue des gens qui vivent sur le dos de ces pauvres enfants en disant misulmant .la honte
Vrai. Le diola ne mendie pas, ne vole pas, et ne triche pas non plus. Je suis allé dans des villages de la Casamance. Quand les gens sortent pour aller vaquer à leurs activités,
ils ne ferment pas les portes de leurs maisons car il n’y pas de voleurs.
Chez les diola, même le handicap n’est pas un motif de rejet social, un handicapé moteur est pris en charge par sa classe d’age et participe à toutes les activités de ce groupe, il se mariera et travaillera pour nourrir sa famille, dans les travaux champêtres, sa famille et sa classe d’age l’assistent et selon la gravité de son handicap, il travaillera comme les autres. La mendicité est arrivée à ziguinchor avec les gens venant de kolda et velingara. Un diola a honte de tendre la main.
Nos Daaras, des sources de cette endémie sempiternelle. L’éducation religieuse islamique en question, également la polygamie et le problème adjacent de natalités