XALIMANEWS : patron de l’Alliance pour la citoyenneté et le travail s’est prononcé sur l’affaire Boughazelli, cité dans une histoire de trafic de faux billets de banque d’une valeur de 46 millions FCFA.
« Je considère qu’un député doit être honorable. Il doit être en quête permanente de l’honorabilité. J’espère que les faits vont démentir ce que nous entendons sur cette affaire. Mais, si c’est confirmé, cela pose un problème extrêmement grave. Dans ce cas, cela devrait conduire à s’interroger sur le choix de ceux qui doivent représenter le peuple à l’auguste Assemblée nationale », a dit Abdoul Mbaye. Des propos rapportés par Pressafrik.
Abdoul Mbaye sur l’affaire BOUGAZELLI: « Si c’est confirmé, cela devrait conduire à s’interroger sur le choix de ceux qui doivent représenter le peuple à Assemblée…»
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Un president sans honneur, ni dignite qui passe tout son temp a mentir. Un president tricheur qui change les lois pour rester au pouvoir. Un president voleur et corrompu qui vole les resources de son pays aves son frere ne peut avoir que des Bougazelli. Senegalais you bakh yi, amoul kene koussi deff macky sall nawle.
Je pense qu’il ne faut pas attendre un tel fait pour poser la question sur le choix de ceux ou celles qui doivent etre député (ées)…
Mr bigamie… vous êtes très mal placé pour donner des leçons de morale
Professeur Ndiack Fall: « le député Bougazelli peut bien être arrêté »
A la suite de Me Abdoulaye Babou, le professeur Ndiack Fall confirme que le député Seydina Fall Bougazelli peut bien être arrêté.
« L’immunité parlementaire n’entre pas en jeu quand il s’agit d’un flagrant délit. Et dans le cas cité concernant le député Seydina Fall, c’est bien de cela qu’il s’agit », a confié le professeur de droit à la .
Et de poursuivre, « ce n’est pas pareil avec le cas de Khalifa Sall. L’article 61 de la constitution et 51 du règlement intérieur de l’Assemblée nationale, prévoient qu’en cas de flagrant délit, le député ne peut pas être couvert par l’immunité parlementaire ».
L’activiste Franco-Béninois « afro-centriste » Kémi Séba avait été arrêté à son domicile dakarois le vendredi 25 août au matin. Après avoir été interrogé par la police, il avait été présenté au procureur du tribunal de la capitale sénégalaise. Cette arrestation faisait suite au dépôt d’une plainte de la Banque centrale des Etats de l’Afrique de l’Ouest (BCEAO). Kemi Séba avait été filmé brûlant un billet de 5 000 francs CFA lors d’un rassemblement à Dakar contre cette monnaie.
Kémi Séba avait été placé en détention dès le lendemain. Selon l’ONG qu’il a fondé, Urgences panafricanistes. D »après l’article 411 du code pénal sénégalais, le Franco-Béninois risquait entre cinq et dix ans de prison.
L’homme est accusé de « destruction volontaire et publique d’un billet de banque », selon la police sénégalaise. Une deuxième personne avait également été interpellée et placé en garde à vue. Tous deux avaient ensuite été déférés devant le parquet à la mi-journée.